Envie de cunni
Le 26/11/2011
Il y a quelques semaines, avec deux copines dans les toilettes d’une jolie maison, nous avons discuté de cunni.
« Je vous promet les filles, ça faisais 8 mois que j’en avais pas eu, je me suis sentie renaître ! »
C’est Lucie qui parle, elle a un nouveau copain. La chanceuse nous raconte qu’elle s’est faite dévorer le minou toute la nuit.
« Je te déteste, j’suis trop jalouse, j’en peux plus, c’est pourtant pas compliqué, je veux un mec me lèche la chatte ! »
Elle, c’est Alice en privation de cunni depuis qu’elle est arrivée ici... comme moi ! Et à les écouter parler, l’une heureuse et satisfaite, l’autre boudeuse et râleuse, je suis appuyée contre le mur et je mouille grave. Je porte une petite robe légère, une mini culotte toute fine, je fais de léger mouvements de bassins, presque invisibles, totalement incontrôlables, et je sens l’humidité entre mes cuisses. Je pense « Moi aussi, je veux qu’on me lèche la chatte » et simplement le fait de formuler ces mots dans mon imagination en rajoute à mon trouble. J’ai envie de mettre ma main dans ma culotte, je sens un manque à combler à l’intérieur de moi, j’ai envie de langue, de doigts, de sexe, ou de je ne sais quoi pour stopper ce supplice !
Lucie me souris, j’ai l’impression qu’elle devine mon trouble « c’est de parler de cunni qui te fais rougir ? - non non, c’est que j’essayais de me rappeler comment était le dernier, et ça remonte à tellement longtemps ! » et j’ai peur que l’humidité entre mes cuisses me trahisse.
La dernière fois, c’était avec Émile, mon ami-amour, qui sais s’y prendre comme personne ! Sa langue est tellement chaude, elle sait jouer avec mon clito, fouiller dans les plis et replis de mes lèvres, sa bouche se délecte de mon nectar. Dans ces moments là, j’en oublie qui je suis, rien d’autre qu’une bouche géante, béante, qui ne connais que le plaisir.
C’était il y a 6 mois.
Toute la soirée j’y pense, en dansant, assise sur une chaise, en disant au revoir à tout le monde, sur le chemin en rentrant chez moi. Ma petite culotte est trempée.
En retrouvant mon lit, je pense à la scène des toilettes, à Émile, aux filles, à leurs lèvres que j’aurai voulu embrasser, à leurs mains dont j’aurai aimé des caresses, à leurs jolies robes courtes, invitations à glisser la main dessous, à sentir leur chaleur. Je sais qu’il faut que je me calme.
Je glisse un doigt, deux, j’appuie avec l’autre main ma main déjà affairée contre mon clito, je mets mon bassin en mouvements et... je jouis vite et fort, avec des images où tous les corps et les langues se mélangent.
La semaine suivante, je m’endors dans les bras de Cédric.
Cela fait un peu plus de 4 mois que je suis avec Cédric. Je lui ai parlé de cunni, vite fait, il m’a dit que ça n’était pas dans ses coutumes. J’ai décidé de lui laisser un peu de temps.
Je suis allongée sur le côté. Je suis doucement réveillée par ses baisers dans le cou, à la racine de mes cheveux, un frisson de désir me parcours. C’est le matin, vu le jour qui commence à se lever, il doit être 6h. Je le sens descendre dans le dos, ses baisers sont plus humides que d’habitude, plus langoureux. Il s’attarde sur mes hanches, il me retourne d’un coup et passe au dessus de moi, se lève au pied du lit. Il attrape mes cuisses en se penchant sur mon corps nu, je sens son souffle chaud sur ma toison, mes grandes lèvres, et sans que je sois prévenue, il me tire vers le pied du lit et met mes fesses au bord. Lorsqu’il m’écarte les cuisses je pense « mais qu’est-ce qu’il lui prends ? ». Il se met à me laper le mieux du monde, je le laisse faire avec délectation. Quelques secondes et je lui dit d’une voix rauque « c’est trop bon Cédric ». Il ne m’écoute pas tellement il semble affairé ! Ses mains tiennent le haut de mes cuisses par dessous. Cette pression forte près de mes fesses, la sensation de ne pouvoir me soustraire à son petit jeu me donne encore d’avantage de plaisir. Sa langue caresse, se cogne, entre en moi, j’écarte les cuisses au maximum. Le chaleur de sa bouche, je le sens aspirer, mordiller mes grandes lèvres, son nez qui cogne, je ne suis qu’un torrent de source chaude intarissable !
Je me souviens que du monde dort dans les pièces à côté, et je me retiens de crier mon plaisir. J’essaie de me calmer, je pense à mes copines, il me tarde de leur dire « les filles, ça y est, il l’a fait, et j’ai grave pris mon pied ! ». Là, comme pour me punir de mon inattention il lâche le dessous de mes fesses et pose une main entre ma cuisse et mon sexe, il appuie pour écarter encore d’avantage mes jambes, me lèche encore plus profond. Je ferme les yeux, tord mon cou, je ne veux pas que ça s’arrête, jamais. Il joue avec un de ses doigts de l’autre main, passe sur mon clito, glisse entre mes lèvres et s’enfonce en moi, j’ai envie d’exploser ! Le deuxième doigt rentre comme si ça avait toujours été sa place, je pense qu’il est en train de me regarder, je me cambre …
tududut tududududutut youhou tududut …
J’attrape le téléphone qui vient de me réveiller. Il est 7h, je dois me préparer pour partir au travail. Je regarde Cédric, que le réveil a à peine dérangé, je repense à mon rêve, je le regarde, frustrée et désireuse. Il entrouvre les yeux et me dit « toi, tu as tes yeux de coquine du matin, viens là » Il me fait grimper en amazone au dessus de lui, sa cuisse entre en contact avec mon sexe qui est trempé. Son sexe se durcit immédiatement « et tu n’as pas que les yeux ! » Il attrape un préservatif, je déchire l’emballage de ma bouche, j’attrape sa bite, ses couilles et je le suce quelques secondes, en jouant délicatement avec ses bourses pour qu’il soit bien dur, comme j’aime !
Je mets le préservatif et aussitôt, je m’empale sur lui, c’est trop bon ! Je l’empêche de bouger en calant mes mains sur son torse, je vais d’avant en arrière, ondulant des hanches, ses coups de bassins me transportent, un cri s’échappe de ma bouche, il enlève mes mains de son torse, me serre contre lui et m’embrasse, me chuchote à l’oreille « doucement, ma belle, il y a du monde dans l’appart’ » Je les avais oublié ceux-là ...
Il serre notre étreinte avec ses mains sur le haut de mes fesses, mon bassin est libre de ses mouvements, mais appuie fort contre son bas ventre, j’ai la tête dans son cou et je l’embrasse, je le croque pour empêcher le son de sortir de ma bouche. Je le sens bien au fond de moi, mon clito qui frotte et frotte encore, une vague de plaisir m’inonde, je ralentis le mouvement, il sait qu’il peut me pousser plus loin, il me fais glisser à côté de lui, me mets sur le ventre et passe derrière moi. Je tends mes fesse vers lui, j’ai envie qu’il s’enfonce en moi d’un coup, et mon envie est immédiatement comblée. J’ai la tête dans l’oreiller, le dos cambré au maximum, c’est lui qui gère les mouvements en empoignant mes fesses avec forces, le rythme s’accélère, je ne pense qu’à mon plaisir, je mors l’oreiller et je jouis sans savoir si l’on fait du bruit ou non, je n’entends plus rien de toutes façons... Je sens son gros sexe trembler en moi, il ralenti, un deuxième tremblement, il caresse mon dos trempé, je remonte le haut de mon corps sur l’oreiller et il s’allonge sur moi.
Je n’ai qu’une envie, qu’il reste allongé sur moi, me rendormir.
tududut tududududutut youhou tududut … Il est 7h10, et j’ai bien besoin d’une douche !
Ok. Il ne fait pas de cunni, mais son sexe, qu’est-ce qu’il est bon !
[gris]Sarah[/gris]