Nuit agitée
Le 05/12/2011
Nous terminons notre première journée de randonnée. Je n’aspire plus qu’à une bonne douche, un petit repas, et une bonne nuit de sommeil pour repartir de bon pied demain. En effet, nous avons organisé un week-end montagne avec mon mari et un couple d’amis. Après la douche relaxante nous prenons un petit apéritif sur une terrasse encore ensoleillée malgré les hauts pics qui avalent doucement le soleil. Mon amie et moi portons toutes les deux des robes légères qui ondoient sous une petite brise rafraîchissante après cette chaude journée. Je change de position sur ma chaise, pour être face à ce souffle et le laisse s’immiscer dans mon entrejambe. Je me félicite de ne pas avoir mis de sous-vêtements après la douche. Cette caresse coquine me rappelle mes premiers émois d’adolescente, amorce ma fontaine et fait dresser mes tétons. Ma rêverie est interrompue par mon mari qui me demande la raison de ce large sourire béat. Je rougis, confuse à l’idée qu’ils aient deviné mon état d’excitation. Mon amie se lève quand la brise plus friponne moule son corps dans sa robe d’où ressortent en relief 2 belles fesses aguichantes. je remarque qu’elle non plus n’a pas mis de culotte. Cela n’a pas échappé non plus à nos mecs qui s’émoustillent illico et s’illusionnent déjà sur une nuit d’amour. Mon amie et moi les refrénons en leur rappelant que nous sommes en gîte, dans une chambre commune. Je ne sais pas si ma réaction instantanée est par puritanisme ou par timidité mais des ébats en public ne m’ont jamais tentée. J’ai toujours eu une sexualité vertueuse même après 15 ans de mariage.
Durant le dîner les hommes qui n’ont pas perdu espoir se font habilement insistants, abordent différents thèmes autour de l’amour, des tabous, des préliminaires pour essayer de faire tomber nos préjugés et réveiller notre libido. Quelque peu relâchée après 2 petits verres, je suis prête à céder mais je ne ressens pas le même désir chez mon amie qui reste réservée. Je n’arrive pas à discerner si elle refuse ou si elle attend que je prenne la décision. Pour ne pas paraître dévergondée, je refuse à la grande déception des mâles.
Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvons toutes les deux dans la pénombre, chacune sur notre couche en attendant nos conjoints qui traînent pour se laver les dents. Nous discutons de la ballade mais je n’ose pas ré-aborder le sujet précédent de peur qu’elle confirme mes principes désuets.
A notre grande stupéfaction, nos maris entrent dans la chambre, complètement nus, leur sexe déjà dressé et se postent debout, chacun au pied du lit de sa belle. Je suis un court instant offusquée et furieuse que mon mari s’exhibe ainsi aux yeux de ma copine, mais cependant je prends moi-même un certain plaisir et de l’excitation à scruter la verge érigée de notre ami. Sa taille ‘XL’ comparée au ‘L’ de mon mari mérite bien ma contemplation jusqu’à même me faire convoiter une mise en bouche. Nous ne bronchons pas, ni elle, ni moi bien que je sois encore un peu timorée, mais je ne veux pas une nouvelle fois jouer la sainte Nitouche. Cette absence de réaction vaut assentiment pour nos hommes qui entament une scène préméditée. Ils avancent sur le lit à genoux, face à nous, font glisser lentement les draps au pied du lit, et relèvent au-dessus de la taille notre chemise de nuit pudique laissant apparaître notre toison. J’en frisonne de plaisir mais je reste contractée. Par des caresses de ses mains chaudes à l’intérieur des cuisses, mon amant m’invite à les écarter et à lui offrir ma grotte. Je m’exécute timidement. Sans tarder il y pose sa bouche et sa langue entreprend l’exploration de ma fente qu’elle connaît déjà fort bien. Je jette un œil anxieux à coté et je vois mon amie dans la même position. Ces petits salauds ont bien préparé leur plan ! Aussi je me relâche un peu plus, écarte davantage mes jambes pour mieux me soumettre. Relevée sur mes coudes je le regarde. J’aime l’observer quand il me lèche, voir sa tête s’activer sur ma vulve, la bouffer, titiller mon petit bouton, être l’esclave de mon plaisir. J’épie la scène d’à coté, la vue d’un autre butineur décuple mon excitation. Je ne peux m’empêcher de les lorgner, je croise le regard de mon amie nous matant aussi et échangeons un sourire complice. Elle a ôté totalement son vêtement de nuit dévoilant ses seins blancs et honnêtes à la chambrée. Je me surprends à désirer les caresser bien que je n’ai pas eu jusqu’à ce jour de tentations homos. Je me rallonge totalement et caresse la tête de mon amant pour l’encourager à prolonger. Sa dextérité à lamper mon sexe m’arrache un petit cri étouffé, puis devant tant de volupté je ne me retiens plus et je libère enfin mes dernières inhibitions pour également flatter les mérites de mon bien-aimé auprès de nos complices. Ces derniers sont plus silencieux, mais leurs corps plus expressifs. Le bassin non rassasié monte et descend sous les coups de langue et réclame encore plus. Il prend ses fesses dans ses mains, les soulève pour mieux pour la brouter. Ce voyeurisme attise sans cesse mon appétit sexuel, aussi après ce premier orgasme buccal j’invite mon bienfaiteur à venir me pénétrer. Il remonte doucement le long de mon corps, embrasse mes seins, mordille mes tétons au passage, avant de se présenter aux portes du bonheur. Sa bite est rapidement avalée par ma chatte gourmande et sa taille ‘L’ me comble largement. Son va et vient progressif sur terrain très glissant me rapproche d’un nouvel orgasme. Mes lèvres rencontrent les siennes et j’y pourlèche mon nectar intime qu’il m’a ramené tel un bourdon. Son rythme s’accélère et j’adore ça. Je n’en peux plus et lui ordonne à deux reprises de me baiser plus fort. Il s’exécute à chaque fois, puis je le sens exploser et répandre sa sève chaude au fond de moi. Malgré son éjaculation il maintient la cadence jusqu’à m’arracher le cri orgasmique qui se mêle aux râles de nos voisins. Ceux-ci s’activent encore, je ferme les yeux pour seulement auditionner leur complainte amoureuse jusqu’aux « Oh oui ! » répétitifs nous prouvant l’arrivée au but ultime.
Après ces ébats impudiques, c’est maintenant le drap qui est tiré et recouvre notre nudité. Je m’endors rapidement en toute quiétude dans les bras de mon amant.
Le lendemain matin nous nous retrouvons au petit déjeuner ou nous parlons de la nouvelle journée qui s’annonce. Habitée par une petite honte resurgie, j’apprécie que personne ne fasse allusion à cette nuit. Néanmoins, je ne peux m’empêcher de répondre par un sourire de connivence à la question de ma camarade « Quand est-ce qu’on organise un nouveau week-end randonnée ? »
[gris]Sucre d’Orge[/gris]
Commentaires (1)
Merci Yves. Merci d’avoir fait passer la pc3a9tition pour Kaddour Terhzaz. Merci pour votre gc3a9nc3a9rositc3a9.La femme de Kaddour Terhzaz a c3a9tc3a9 une amie d’enfance et nous nous smoems quelque peu c3a9loignc3a9es l’une de l’autre. La vie sc3a9pare mais l’essentiel demeure : ce mystc3a9rieux et indc3a9fectible lien de l’enfance et de l’adolescence qui resurgit lors de circonstances cruciales, et cette famille est dans la dc3a9tresse.Merci c3a0 vous mdt d’avoir tout de suite rc3a9pondu. Vous dc3a9montrez que l’amitic3a9 et l’estime de l’autre, mc3aame sans se connac3aetre, ne sont pas de vains mots.J’ai longtemps c3a9pinglc3a9 dans la cuisine ce passage d’une Mc3a9ditation de John Donne (fin XVI-dc3a9but XVIIe sic3a8cle) : Any man’s death diminishes me because I am involved in mankind, and therefore never send for whom the bells tolls ; it tolls for thee. (La mort de tout homme me diminue parce que je fais partie du genre humain ; ainsi donc n’envoie jamais demander pour qui sonne le glas ; il sonne pour toi.)La citation en Anglais est de mc3a9moire. Citation trc3a8s connue, Hemingway en a fait un bouquin d’oc3b9 a c3a9tc3a9 tirc3a9 un non moins cc3a9lc3a8bre film. Mais la vie apprend qu’on devrait se mc3a9fier de ce que l’on essaie de semer, mc3aame en c3a9tant sincc3a8re avec soi-mc3aame. Mais cela est une autre histoire Excusez-moi ! Je vous souhaite de nouveau c3a0 toutes et tous un joyeux Noc3abl entourc3a9(e)s de ceux que vous aimez. Et si vous c3aates seul(e) physiquement, sachez que vous ne l’c3aates pas moralement.