Comment ces pauvres bougres-là peuvent-ils avoir une idée de notre bonheur et de ce qu’est le conin de votre maîtresse s’ils n’en tâtent pas ? Je n’entends nullement qu’ils y déchargent, mais seulement qu’ils y plongent rapidement leurs vits pour en (...)
M. Gobert, je dois l’avouer, quoiqu’il fût homme du monde et riche, en aucun temps de ma vie n’aurait été mon fait. Il affichait une rigidité de principes et une austérité de langage qui me semblaient absolument incompatibles avec la qualité d’amant (...)
Aussitôt que ma bouche eut quitté son sexe, le directeur expédia sa femme et se rua à ma poursuite, renversant au passage la pile des magazines d’Aline. Je n’eus pas le temps de régler la température de l’eau, ni de fermer la porte à clef. Il avait (...)
Le directeur plaça un tabouret de part et d’autre de la table pour que je puisse y poser les pieds. Son associé accroupi se mit à brosser mes cheveux qui tombaient en rideau autour de la planche. Il accompagnait ses gestes de mots très doux, et je (...)
La boîte aux lettres s’ouvrait d’une pichenette. Une enveloppe tomba à mes pieds, une enveloppe à fenêtre : le directeur général de la société Joli-cœur m’écrivait personnellement. Afin de me prouver son attachement, il m’offrait pour la bagatelle de cent (...)
Mais, avec Hernán, le sexe était une danse de couple. Une chorégraphie qui unissait deux corps et leur conférait une unité harmonieuse, composée de quatre jambes et quatre bras, de deux torses et deux têtes. Cela ne faisait aucun doute, j’avais (...)
Sarolta se repaissait des tortures qu’elle lui infligeait ainsi, et rien n’égalait la jouissance qu’il lui procurait, lorsqu’étendue sur un moelleux canapé, lui-même vautré dans la poussière, il appliquait avec ferveur ses propres lèvres sur les pieds de (...)