Sous le voile de coton : comment la culotte a volé aux femmes leur liberté

Seconde peau

Sous le voile de coton : comment la culotte a volé aux femmes leur liberté

Jusqu’à la fin du XIXᵉ siècle, les femmes vivaient sans culotte. Le sexe libre, ventilé, vivant — comme depuis des millénaires. La culotte, contrairement à ce que l’on croit, n’a rien d’un attribut féminin ancestral. Elle est une invention tardive, imposée (...)


Beducation ou les joies du bon sexe

Enquêtes

Beducation ou les joies du bon sexe

Le premier mot qui me vient à l’esprit, c’est "Bravooooo", avec beaucoup de O, parce que c’est vraiment bien. Depuis dix-sept ans que SecondSexe.com est en ligne, il nous est peu souvent arrivé de nous dire qu’un nouveau site pouvait apporter quelque (...)


Et les fesses, alors ?

Cinq sens & sexe

Et les fesses, alors ?

On ne parle pas assez des fesses, ces joues magnifiquement érogènes qui, lorsque massées, laissent mieux circuler le sang dans le bassin, augmentant en retour l’excitation sexuelle. Ainsi caressées, pétries, pincées, fessées, ou autres, se déclenche (...)


La Rome Antique et la magie du silphium

Avant & ailleurs

La Rome Antique et la magie du silphium

La folie humaine face aux ressources de la planète remonte à loin et ainsi a disparu une herbe aux qualités folles, servant de Viagra aux uns, comme contraceptif ou pilule abortive pour d’autres. Le silphium, également appelé silphion, laser ou (...)

Mais encore...

La nudité faite homme

L’homme est le premier sujet d’étude de l’homme, faisant de la représentation du nu un thème important dans l’Histoire de l’Art. Depuis l’Antiquité on retrouve des représentations de la nudité masculine. Son histoire traduit ainsi les idéologies, mouvements de pensée, courants philosophiques et évolution des mœurs. Avant d’être le reflet implacable de la société, avec le réalisme et l’apparition de la photographie au XIXe siècle, la représentation du nu est avant tout un reflet de la vision idéalisée de l’humanité. Une métaphore de l’esprit, l’extension de l’âme et du divin.

Mauvais genre : redistribution des cartes

Portrait d’Agnès Thurnauer.

« Peindre serait faire des branchements de libido sur de la couleur.(1) »

Agnès Thurnauer manipule l’histoire de l’art comme un matériau. Fortement inspirée par l’œuvre d’artistes masculins majeurs, elle détourne leur travail et le féminise, le questionne. L’artiste française se joue des conventions sociales et dresse un état des lieux incisif. Elle pointe du doigt les fictions de vie imposées aux femmes artistes et aux artistes femmes. Elle renégocie le plan de table avec humour et précision. Lors d’une conférence/discussion à l’occasion de son exposition monographique au Palais de Tokyo durant l’hiver 2003, Agnès Thurnauer affirmait que la notion de désir structurant son travail était à comprendre dans le sens d’un engagement.

Rencontre avec une infidèle

Si l’iconographie de l’infidélité tourne souvent autour du pêché originel, la croqueuse de pomme que nous avons rencontrée, mord dans ce fruit avec gourmandise et sans culpabilité aucune. A 29 ans, Julia est mariée mais aussi infidèle. Ses amours adultérines ont débuté sur Gleeden, le premier site de rencontre extra-conjugale. Lancé en décembre 2009, le site affiche aujourd’hui 400 000 membres dans plus de 150 pays.
Les femmes ont vite trouvé leur place sur cette plate-forme de la tentation, ainsi 110 000 Françaises y sont inscrites. Certes elles sont encouragées par un accès gratuit, (au lieu des 15 euros minimum dont doivent s’acquitter les hommes), mais ce succès féminin tord le cou aux idées reçues.
En 2008, 34% des hommes et 24% des femmes avouaient des relations extra-conjugales, voici comment l’une d’entre elles a basculé dans cette communauté d’infidèles.