Et les fesses, alors ?

Cinq sens & sexe

Et les fesses, alors ?

On ne parle pas assez des fesses, ces joues magnifiquement érogènes qui, lorsque massées, laissent mieux circuler le sang dans le bassin, augmentant en retour l’excitation sexuelle. Ainsi caressées, pétries, pincées, fessées, ou autres, se déclenche (...)


La Rome Antique et la magie du silphium

Avant & ailleurs

La Rome Antique et la magie du silphium

La folie humaine face aux ressources de la planète remonte à loin et ainsi a disparu une herbe aux qualités folles, servant de Viagra aux uns, comme contraceptif ou pilule abortive pour d’autres. Le silphium, également appelé silphion, laser ou (...)


Wonder Woman

Avant & ailleurs

Wonder Woman

Les femmes n’ont pas plus de super-héroïnes sur lesquelles se construire et se projeter, que de pornographie pour veiller sur leur libido. Il y en a une, à laquelle de nombreuses féministes actuelles se raccrochent lorsqu’il faut trouver des (...)


Il y a 100 ans, quand Berlin multipliait les genres

Avant & ailleurs

Il y a 100 ans, quand Berlin multipliait les genres

De 1919 à 1933, il existait à Berlin* un Institut de Sexologie très en avance sur son temps et peut-être même sur le nôtre, puisqu’il s’intéressait avec une très grande bienveillance aux sexualités dites "intermédiaires", aux droits des femmes, ainsi qu’à (...)

Mais encore...

Damien Odoul

Damien Odoul, touche-à-tout invétéré (réalisateur, artiste, poète…), vient de réaliser l’Histoire de Richard O., film qui flirte avec un érotisme qui se fait rare au cinéma. Pour son 5ème long métrage, il a décidé de filmer l’intime en repoussant tout en douceur les frontières du cinéma dit classique. Il ne pouvait envisager de tourner ce film en « jouant » les scènes sexuelles, il voulait de la chair palpable et du plaisir brut. Il a donc obtenu de ses acteurs qu’ils se livrent corps et âmes devant sa caméra, sans tricherie, sans faux-semblants. Entretien avec un réalisateur passionné auquel, apparemment, peu de gens résistent.

Désir d’ivresse, ivresse du désir

« Il y a une sexualité qu’on ne peut vivre que sous alcool. Boire, c’est ça aussi : c’est accueillir ce qui devait rester caché. De notre propre désir. » Virginie Despentes, extrait de Les Jolies choses. Elle ne date pas d’hier, cette amitié particulière entre sexe et alcool. Les Grecs vénéraient Dionysos, le dieu du vin qui est « né de la cuisse de Jupiter » (1), la cuisse désignant par euphémisme les organes sexuels du Dieu des Dieux. Or Dionysos est avant tout un dieu de la végétation arborescente et de tous les sucs vitaux : sève, urine, lait, sang et sperme. Depuis cette Antiquité, où les fêtes dionysiaques étaient toujours simultanément des fêtes érotiques, le vin met la tête à l’envers et les jambes en l’air...

Françoise Rey

En 1989, La Femme de Papier, écrit par une inconnue, révolutionne le monde de la littérature érotique féminine. Son écriture sensuelle et terriblement érotique prouve que les hommes ne détiennent plus le monopole des situations transgressives et provocantes. Elle devient avec sa première publication la « Grande Dame » de la littérature érotique. Après quelques années de silence, Françoise Rey publie mi-novembre Des Guirlandes dans le sapin aux Editions Blanche, l’occasion pour nous de la rencontrer. Elle nous parle de ses goûts, de son œuvre, de son statut d’écrivain érotique. Auteure de plus d’une vingtaine de romans et nouvelles érotiques, La Femme de Papier est avant tout La Femme de Passion… Passion du désir d’être elle-même, de la liberté d’avoir un sexe… et du plaisir d’en jouir.