Sous le voile de coton : comment la culotte a volé aux femmes leur liberté

Seconde peau

Sous le voile de coton : comment la culotte a volé aux femmes leur liberté

Jusqu’à la fin du XIXᵉ siècle, les femmes vivaient sans culotte. Le sexe libre, ventilé, vivant — comme depuis des millénaires. La culotte, contrairement à ce que l’on croit, n’a rien d’un attribut féminin ancestral. Elle est une invention tardive, imposée (...)


Beducation ou les joies du bon sexe

Enquêtes

Beducation ou les joies du bon sexe

Le premier mot qui me vient à l’esprit, c’est "Bravooooo", avec beaucoup de O, parce que c’est vraiment bien. Depuis dix-sept ans que SecondSexe.com est en ligne, il nous est peu souvent arrivé de nous dire qu’un nouveau site pouvait apporter quelque (...)


Et les fesses, alors ?

Cinq sens & sexe

Et les fesses, alors ?

On ne parle pas assez des fesses, ces joues magnifiquement érogènes qui, lorsque massées, laissent mieux circuler le sang dans le bassin, augmentant en retour l’excitation sexuelle. Ainsi caressées, pétries, pincées, fessées, ou autres, se déclenche (...)


La Rome Antique et la magie du silphium

Avant & ailleurs

La Rome Antique et la magie du silphium

La folie humaine face aux ressources de la planète remonte à loin et ainsi a disparu une herbe aux qualités folles, servant de Viagra aux uns, comme contraceptif ou pilule abortive pour d’autres. Le silphium, également appelé silphion, laser ou (...)

Mais encore...

Jeux de langue

Tapie, lovée dans l’obscurité et la tiédeur de la chambre buccale, la langue est notre muscle le plus puissant par rapport à sa taille, soit un ravissant petit organe humide qui n’a rien à envier aux plus grands. Rose, charnue et souple, innervée, vascularisée, parsemée de papilles gustatives, elle est l’organe de nos dégustations et de nos délectations, de nos taquineries suggestives, de nos échanges… Plus ou moins explicites. Située à proximité des autres sens, vue, ouïe, odorat, la langue fonctionne aussi à merveille comme extension tactile pour des explorations érotiques décomplexées… À la découverte de tout ou partie d’un corps son action se décline à l’infini des possibles. Ainsi la langue, excitante excitatrice, peut être tendre, tendue, caressante, pénétrante, glissante, lente et longue ou taquine et rapide… Couplée aux talents de la bouche et des lèvres, ainsi qu’aux humections mesurées de salive, la langue saura satisfaire à la demande bien des demandes, parfois insoupçonnées…

La chimie de l’amour

L’amour n’est plus ce qu’il était ! Dans le temps, la rencontre amoureuse était à la fois mystérieuse et magique. Sacrée, même. C’était l’époque des philtres d’amour, des flèches de Cupidon, des coups du destin. Athée ou mystique, l’homme nimbait l’amour d’une aura énigmatique. Battu en brèche par Freud et ses disciples, le mystère amoureux avait déjà reculé. Mais voici que les sciences cognitives se penchent à leur tour sur nos états d’âme et que nous entendons parler hormones, phéromones et compatibilité biologique !
Aussi la plainte n’en finit-elle pas d’enfler contre ces chercheurs dont les travaux tueraient la magie de l’amour. N’y aurait-il pas là un soupçon d’obscurantisme ? Le recul du mystère signe-t-il nécessairement la fin de la poésie ?
Bien sûr, personne n’a envie de voir son histoire d’amour restreinte à un complexe d’Œdipe mal résolu ou à un emballement précipité de son hypotalamus. Mais est-il vraiment question de ça ?
En réalité, l’amoureux, le poète et le chercheur œuvrent à des niveaux différents. Le premier vit l’amour et le deuxième le chante, tandis que le troisième jette un œil en coulisse. On pourrait donc considérer qu’en explicitant certains des mécanismes de l’état amoureux, les chercheurs, loin d’en dissiper la beauté, lui confèrent une caution scientifique. Car les études menées ces dernières années démontrent ce dont les amants heureux ont toujours eu l’intuition : le sexe est bon pour le moral et pour notre santé. Voyage au cœur de notre cerveau sexuel.

Toutes bisexuelles ?

Attirance fugace ou intermittente, curiosité, fantasme ou mode de vie : de plus en plus de filles avouent avoir un copain et une copine. Qui n’a pas désiré ouvertement, ou sans se l’avouer, une inconnue du même sexe ?