Beducation ou les joies du bon sexe

Enquêtes

Beducation ou les joies du bon sexe

Le premier mot qui me vient à l’esprit, c’est "Bravooooo", avec beaucoup de O, parce que c’est vraiment bien. Depuis dix-sept ans que SecondSexe.com est en ligne, il nous est peu souvent arrivé de nous dire qu’un nouveau site pouvait apporter quelque (...)


Et les fesses, alors ?

Cinq sens & sexe

Et les fesses, alors ?

On ne parle pas assez des fesses, ces joues magnifiquement érogènes qui, lorsque massées, laissent mieux circuler le sang dans le bassin, augmentant en retour l’excitation sexuelle. Ainsi caressées, pétries, pincées, fessées, ou autres, se déclenche (...)


La Rome Antique et la magie du silphium

Avant & ailleurs

La Rome Antique et la magie du silphium

La folie humaine face aux ressources de la planète remonte à loin et ainsi a disparu une herbe aux qualités folles, servant de Viagra aux uns, comme contraceptif ou pilule abortive pour d’autres. Le silphium, également appelé silphion, laser ou (...)


Wonder Woman

Avant & ailleurs

Wonder Woman

Les femmes n’ont pas plus de super-héroïnes sur lesquelles se construire et se projeter, que de pornographie pour veiller sur leur libido. Il y en a une, à laquelle de nombreuses féministes actuelles se raccrochent lorsqu’il faut trouver des (...)

Mais encore...

L’érotisme au fil des pages

« La Grèce classique ignore les frontières entre littérature "normale" et littérature érotique. Omniprésent, l’érotisme lié au culte de Dionysos, dieu de l’ivresse, de la joie et des bacchantes, se développe de façon spontanée et évidente dans les textes. » Dans La littérature érotique ou l’écriture du plaisir, Franck Evrard évoque une période révolue où la littérature érotique avait pleinement droit de cité. Cet âge d’or a par la suite laissé place au regard sévère porté par les autorités sur une forme d’écriture jugée « subversive ». Mais qu’en est-il aujourd’hui ? La censure n’est plus à l’ordre du jour, mais seulement deux maisons d’éditions, les Editions Blanche et La Musardine, sont spécialisées en littérature érotique. Quels obstacles a-t-il fallu franchir pour pouvoir publier librement les textes les plus brûlants ? A l’heure où la Bibliothèque Nationale de France dévoile enfin sa Bibliothèque de l’Enfer*, comment a évolué l’édition érotique à travers les âges ?

La frustration ou l’éperon du désir

La frustration. Un mot terrible qui sent le couperet. Syndrome du désir court, contrarié, étouffé dans l’œuf.
Rendons à l’orage son éclair.
À l’origine du mot frustrer, une déception sans rédemption. Le verbe signifiait « rendre vain », « tromper », « être dupe de ». Un jeu de menteurs où rôde la déception, cette terrible peine-à-jouir. Un tour d’impasses-passes. La frustration est un jeu qui creuse son sillon entre la satisfaction immédiate et la privation. Entre les deux se joue le désir, hésitation entre l’attente projective, érotisée, et sa réalisation. Et si, plus qu’une douche glacée, la frustration était l’aiguillon du désir, son éperon acéré ?

Katia Bielli, aroma-fée-rapie !

Katia Bielli a 53 ans et un charme fou. Un sourire qui frise dans les yeux, des mèches blondes nouées sur la nuque, une silhouette de moustique soulignée d’une coquetterie chic : l’image de la copine de Peter Pan surgit comme une évidence, sur le seuil de la boutique Senteurs de Fée. Mais la fée Katia est spéciale : c’est une Clochette qui aurait lu Colette, féministe surtout pas muette, qui à défaut de savoir voler, sait se donner des ailes. Son secret : ces petites fioles aux senteurs exquises et au pouvoir presque magique… Portrait d’une femme qui veut et fait du bien aux femmes.