Sous le voile de coton : comment la culotte a volé aux femmes leur liberté

Seconde peau

Sous le voile de coton : comment la culotte a volé aux femmes leur liberté

Jusqu’à la fin du XIXᵉ siècle, les femmes vivaient sans culotte. Le sexe libre, ventilé, vivant — comme depuis des millénaires. La culotte, contrairement à ce que l’on croit, n’a rien d’un attribut féminin ancestral. Elle est une invention tardive, imposée (...)


Beducation ou les joies du bon sexe

Enquêtes

Beducation ou les joies du bon sexe

Le premier mot qui me vient à l’esprit, c’est "Bravooooo", avec beaucoup de O, parce que c’est vraiment bien. Depuis dix-sept ans que SecondSexe.com est en ligne, il nous est peu souvent arrivé de nous dire qu’un nouveau site pouvait apporter quelque (...)


Et les fesses, alors ?

Cinq sens & sexe

Et les fesses, alors ?

On ne parle pas assez des fesses, ces joues magnifiquement érogènes qui, lorsque massées, laissent mieux circuler le sang dans le bassin, augmentant en retour l’excitation sexuelle. Ainsi caressées, pétries, pincées, fessées, ou autres, se déclenche (...)


La Rome Antique et la magie du silphium

Avant & ailleurs

La Rome Antique et la magie du silphium

La folie humaine face aux ressources de la planète remonte à loin et ainsi a disparu une herbe aux qualités folles, servant de Viagra aux uns, comme contraceptif ou pilule abortive pour d’autres. Le silphium, également appelé silphion, laser ou (...)

Mais encore...

Julie Gayet prend l’eros en main

La comédienne Julie Gayet nous reçoit dans les bureaux de sa société de production de films (Rouge International, fondée avec Nadia Turingey). Au mur, une jolie gravure érotique japonaise donne le ton. Julie prépare L’Homme d’après, un film qui parle d’amour et de sexe, « parce que c’est quand les deux sont mêlés que cela m’intéresse », dit-elle.

Virginie Despentes

Avant de s’attaquer au tournage de son nouveau long métrage Bye Bye Blondie, Virginie Despentes présente son documentaire Mutantes sur Pink TV. Une incursion en terres américaines et espagnoles où les mouvements pro-sexe et post-porno queer régénèrent les théories féministes. Le documentaire de 90 minutes, tourné en deux temps, en 2005 et en 2008, se veut ainsi le complément filmé de son livre King Kong Théorie (essai autobiographique et fortement inspiré par les grandes féministes américaines). Devenue lesbienne à 35 ans, l’auteure de Baise-moi vit depuis quatre ans à Barcelone où elle a enfin trouvé des cercles où l’énergie rageuse, la punk attitude, le féminisme et le sexe vont de pair.

« LA » lesbienne n’existe pas

Perchée sur ses talons aiguilles, les jambes galbées dans ses bas résille, les seins surgissant de son décolleté, Wendy ne laisse pas indifférent sur son passage. Sa blondeur et la sophistication de son maquillage achèvent ce physique de pin-up des années 50. En rencontrant Wendy, nous ne nous attendions pas à tant de sex-appeal. Mais à l’écouter parler, nous nous laissons séduire : lesbienne, militante et fière de l’être, Wendy fait voler en éclat tous les clichés. A 28 ans, elle cumule déjà plusieurs vies en même temps : En thèse de Sciences de la communication à la Sorbonne, elle donne des cours aux étudiants de Master 1 et Master 2 de Paris IV, elle est aussi comédienne dans une troupe de strip-tease burlesque, elle écrit également des livres dont Quatrième Génération paru à l’automne 2007 chez Grasset, et comme si elle n’était pas rassasiée, elle s’exhibe au gré de performances sexuelles, tenant lieu de manifestes. Prof, strip-teaseuse, écrivain, reine du fist vaginal, Wendy est tout ça à la fois. Alors nous ne voyions pas qui d’autre aurait pu nous faire le portrait de La Lesbienne des années 2000.