Sous le voile de coton : comment la culotte a volé aux femmes leur liberté

Seconde peau

Sous le voile de coton : comment la culotte a volé aux femmes leur liberté

Jusqu’à la fin du XIXᵉ siècle, les femmes vivaient sans culotte. Le sexe libre, ventilé, vivant — comme depuis des millénaires. La culotte, contrairement à ce que l’on croit, n’a rien d’un attribut féminin ancestral. Elle est une invention tardive, imposée (...)


Beducation ou les joies du bon sexe

Enquêtes

Beducation ou les joies du bon sexe

Le premier mot qui me vient à l’esprit, c’est "Bravooooo", avec beaucoup de O, parce que c’est vraiment bien. Depuis dix-sept ans que SecondSexe.com est en ligne, il nous est peu souvent arrivé de nous dire qu’un nouveau site pouvait apporter quelque (...)


Et les fesses, alors ?

Cinq sens & sexe

Et les fesses, alors ?

On ne parle pas assez des fesses, ces joues magnifiquement érogènes qui, lorsque massées, laissent mieux circuler le sang dans le bassin, augmentant en retour l’excitation sexuelle. Ainsi caressées, pétries, pincées, fessées, ou autres, se déclenche (...)


La Rome Antique et la magie du silphium

Avant & ailleurs

La Rome Antique et la magie du silphium

La folie humaine face aux ressources de la planète remonte à loin et ainsi a disparu une herbe aux qualités folles, servant de Viagra aux uns, comme contraceptif ou pilule abortive pour d’autres. Le silphium, également appelé silphion, laser ou (...)

Mais encore...

Je pense donc je jouis

"Un intellectuel, c’est quelqu’un qui a trouvé quelque chose de plus intéressant que le sexe", affirmait l’écrivain Edgar Wallace. Pourtant, nombre de philosophes se penchent sur ce sujet. Souvent, d’ailleurs, avec un certain entrain. Le sage a beau tutoyer les considérations les plus hautes, il est avant tout un homme. Sa pensée se nourrit de sa vie, de son environnement, de ses relations aux autres, de ses désirs. Mais, réciproquement, plusieurs philosophes ont eu un impact sur les moeurs de leur époque en s’intéressant à la sexualité. Faut-il refouler les élans de son corps ou les contenter sans le moindre remords ? Tour d’horizon de ces débats sur les ébats.

Portrait d’artiste : Marilyn Minter

Entre fétichisation assumée et érotisation consumée, le travail de Marilyn Minter se distingue parce qu’il ne choisit pas clairement son camp. Elle navigue entre art et mode, peinture réaliste et photographie. Une œuvre suggestive et digestive, overdose de chair et d’accessoires de mode, totalement inféodée à la société de consommation et à ses codes mais y échappant simultanément, se refusant à une catégorisation trop rapide.

La soumission au masculin

C’est un chef de guerre, un résistant, un homme un vrai. Deux soldats le transportent partout à bout de bras, debout sur son bouclier gaulois. Entouré de ses virils guerriers, il tient tête à l’armée la plus puissante au monde, celle de César. Mais quand, rouleau à pâtisserie à la main, sa femme Bonemine déboule sur la place du village et exige qu’il lui « prête » ses porteurs le temps d’aller faire ses courses, Abraracourcix se fait tout petit et obtempère sans moufter. En lisant les albums d’Astérix, nous sourions irrésistiblement au jeu d’inversion des rôles suggéré par Uderzo et Goscinny. Car nous connaissons tous quelques uns de ces couples au sein desquels la femme fait visiblement la loi. Madame porte la culotte, comme on dit. Madame ou le souvenir nostalgique de maman… Mais l’inversion des rôles n’est pas seulement un ressort comique, ou encore une façon comme une autre de vivre à deux. Utilisée à bon escient, elle peut également devenir un aphrodisiaque puissant. L’homme serait-il un soumis qui s’ignore ? Et nous les femmes, des dominatrices en puissance ?