Une fille bien sage
Le 09/02/2010
Je m’appelle Doriana, j’ai 18 ans, bientôt 19. Ma copine Laura vient d’avoir 18 ans. On a toujours dit de nous que nous sommes très jolies, très sexy, un brin provocantes, et cela depuis notre plus jeune âge. Je le crois volontiers à voir tous ces regards brillants qui nous déshabillent en permanence, ceux des femmes comme ceux des hommes. Cela nous excite et nous mouillons abondamment.
C’est vrai, toutes deux, nous adorons le sexe. Nous y pensons en permanence, de jour comme de nuit. C’est notre raison de vivre, notre passion.
Depuis toutes jeunes, nous découvrons ensemble et faisons toutes deux l’expérience de tout ce qui peut nous apporter la plus grande des jouissances sexuelles. C’est ainsi que notre premier orgasme, nous l’avons connu dès l’âge de 12 ans en nous caressant et en nous léchant mutuellement. C’était une découverte superbe que de sentir notre bas-ventre exploser. Depuis nous n’avons eu de cesse que de rechercher de nouvelles jouissances. Nous nous entraînions à nous masturber l’une devant l’autre, l’une l’autre, à introduire nos doigts dans nos chattes toujours plus profondément, à inviter d’autres copines pour varier nos plaisirs et aussi pour les initier. Ainsi nous avons pris goût à accueillir la langue des filles sur notre sexe depuis que nous avons 14 ans. A les lécher aussi, à malaxer leurs seins naissant, pincer leurs petits tétons, à utiliser des godes, des vibromasseurs de différentes variétés, de grosseur et de puissance, à introduire nos mains dans leurs vagins étroits autant que l’on pouvait. Elles criaient, pleuraient, riaient, aimaient beaucoup et nous aussi. On y passait des journées et des nuits et nos orgasmes s’enchaînaient, on ne pouvait plus s’en passer.
Je me souviens que lorsque je n’étais pas chez moi, je m’arrangeais toujours pour me masturber dans la rue, au collège, à la cantine, dans les bus, au cinéma. Pour cela, je mettais une culotte très fine pour faciliter mes propres caresses et une jupe ou bien une robe assez large pour accéder à ma chatte le plus souvent possible. Ou alors je mettais un jean dont j’avais renforcé la couture de l’entrejambe et ainsi toute la journée le tissu frottait contre mon clitoris. C’était délicieux.
C’est à 15 ans que j’ai voulu goûter aux hommes. La première fois c’était avec mon professeur de maths. Il était venu chez moi pour me donner des cours. Je le trouvais très attirant et en plus on s’aimait bien. On était tous les deux, assis côte à côte et j’ai mis ma main sur son sexe. Je sentais qu’il bandait. Alors j’ai déboutonné sa braguette, sorti son sexe et me suis mise à genoux pour le sucer. Je voyais bien qu’il aimait ça. Moi je découvrais la douceur de ses couilles dans mes mains et sa grosse bite dans ma bouche. Je l’ai sucé avec fougue et il a tout versé dans ma bouche. C’était une première pour moi, celle d’avaler le sperme d’un homme. J’en ai adoré la saveur et la consistance et depuis ce jour-là j’ai recherché toutes les occasions possibles pour sucer des hommes. J’ai continué plusieurs mois avec mon prof de maths qui était amoureux de moi et c’était réciproque. Ma première idylle a duré jusqu’aux vacances. Les amis de mon prof se rendaient également chez moi quand mes parents n’étaient pas là. Ils venaient pour que je les suce et moi je me régalais. Le plus souvent, ma copine Laura était présente et à deux nous pouvions sucer plusieurs hommes toute l’après-midi. Nous étions des petites filles déchaînées.
La plupart des hommes qui nous rendaient visite étaient heureux de ces bonnes occasions mais Laura et moi nous en voulions toujours plus. Alors on s’est arrangée pour aller chez l’un d’eux qui avait une grande maison et vivait seul. Comme cela, on était à l’aise. Moi je disais que j’étais en cours. On a voulu d’abord voir tous ces hommes nus et les contempler en train de bander. Eux aussi adoraient s’exhiber devant deux jeunes filles, deux adolescentes que nous étions, et, à leurs yeux des fillettes bien innocentes. C’est ce qui les faisait bander avant même que l’on intervienne. La plupart étaient d’ailleurs mariés et ils y trouvaient un divertissement qu’ils n’avaient pas chez eux. Une fois nus, on les branlait puis quand on voyait qu’ils étaient bien mûrs on mettait leur queue dans notre bouche pour les avaler. Ils étaient ravis et nous heureuses de notre pouvoir sur les mâles.
Les hommes étaient de plus en plus nombreux à venir. C’était devenu une récréation plusieurs fois par semaine. De nombreuses copines sont venues aussi et c’était super de voir tous ces hommes de tous âges et des filles jeunes qui les faisaient jouir et prenaient elles aussi un immense plaisir.
J’avais, je crois, 16 ans quand j’ai voulu que l’on me baise. J’avais choisi le mec qui me plaisait le plus pour me dépuceler. J’ai eu un peu mal mais à partir de la fois suivante, on a fait l’amour tous les jours. Bien que plus jeune que moi Laura s’y était mise aussi. On était dans la même pièce et on avait chacune un homme pour nous baiser. C’était vraiment super. Après on a voulu varier et on a pris deux, puis trois, puis beaucoup d’hommes différents pour nous faire l’amour. On a même essayé deux hommes à la fois l’un pour notre chatte l’autre pour pénétrer dans notre anus. Moi j’ai tout de suite adoré. Laura a mis plus de temps mais ensuite c’est elle qui voulait avoir deux hommes ensemble et ne pouvait plus s’en passer.
Très souvent on prenait trois hommes à la fois, l’un pour nous baiser, l’autre pour nous prendre par derrière et le troisième à sucer. Puis on tournait et ensuite on échangeait les hommes. On finissait très tard la nuit mais on s’amusait bien.
Nous étions très organisées et notre découverte des plaisirs du sexe répondait à une méthode. Chaque fois que l’on avait bien expérimenté une pratique on passait à la suivante. Puis on s’est mises à tout exploiter de ce qu’on savait faire : branler, sucer, avaler le sperme, se faire pénétrer devant, derrière et plusieurs fois par des hommes différents. On aimait bien aussi que des mains d’hommes nous fouillent le sexe aussi profondément que possible mais on n’a pas réussi à ce qu’ils y introduisent complètement la main, nos vagins sont encore trop étroits. En définitive, on trouvait toujours des hommes sympa, prêts à répondre à toutes nos exigences et nous étions encore plus affamées de sexe.
Un jour on s’est dit, Laura et moi, que ce serait très amusant de réunir tous les hommes que l’on connaissait et de leur demander de se branler puis d’éjaculer sur nous. Cette demande leur a beaucoup plu. Ils sont venus en grand nombre et nous nous sommes mises totalement nues au cours d’un superbe strip-tease. Au fur et à mesure que l’on se dévoilait, ils se mettaient à bander dans leurs pantalons et cela nous amusait bien. Puis chacun a sorti son sexe de sa braguette. Tous ces sexes bien droits, c’était beau et rien que leur vue nous procurait une jouissance intense. On s’est allongée sur le sol, ils se sont branlés plusieurs fois et ont tout déversé sur notre visage. C’était vraiment pour nous une sensation superbe. Comme on était couvertes de sperme toutes les deux, on s’est léchées mutuellement le visage et ensuite on s’est offert un 69 tellement on mouillait. Un excitant mélange de saveurs !
On aimait bien tous ces hommes, les branler, les sucer, recevoir leur sperme sur notre corps, se faire baiser par chacun d’eux à tour de rôle. On était au final tout un groupe de filles à s’offrir des hommes aussi souvent que l’on pouvait. Mais nous étions aussi des sentimentales. Les mecs qui ne nous plaisaient pas, nous le faisions savoir et ils s’éliminaient d’eux-mêmes. Les autres étaient adorables. Il n’était jamais question d’argent entre nous. Par contre ils avaient tous un petit geste à notre égard. Ils nous offraient des fleurs, des chocolats, des beaux vêtements et, le plus souvent, de la fine lingerie coquine qui nous ravissait.
Un jour, la mère d’une de nos copines est venue avec sa fille en disant qu’elle voulait aussi participer et profiter de ces moments exceptionnels de jouissance collective dont lui parlait ouvertement sa fille... Elle s’est jointe à nous et comme elle était très belle on a voulu la lécher. C’est ainsi qu’on a pris goût à mêler dans nos réunions des hommes et des femmes. Plusieurs jeunes mères de nos copines nous ont rejointes et ensemble on se caressait, s’offrait des cunnis, on se mettait à deux ou trois filles pour branler un homme. Ces femmes étaient aussi excitées que nous et elles avaient de l’expérience. Nous avons beaucoup appris d’elles. Notre jeu favori était de se mettre à deux filles, on avait alors 17 ans, et une femme d’environ 35 ans. A trois on prenait un homme et on le masturbait autant de fois que possible jusqu’à qu’il ne puisse plus bander et ni éjaculer et on faisait un concours entre les hommes. Ceux qui avaient joui le plus longtemps avec nous pouvaient faire de nous ce qu’ils voulaient. Plusieurs hommes nous ont ainsi initiées aux pratiques de la soumission et même du bondage. On aimait bien cela. Complètement ligotées, il fallait se traîner à leurs pieds, parfois subir des coups de fouet, des pinces aux tétons, des crochets à nos sexes ; ça faisait mal mais on jouissait comme des folles.
Finalement ce qu’on aime le plus, c’est nous allonger nues au sol et avoir une femme qui s’assoit sur nos bouches pour se faire lécher le clitoris. Ensuite, on demande aux hommes de se branler et de tout déverser sur notre corps, le visage, les seins et aux femmes de nous lécher le corps pour avaler tout le sperme. Là on prend vraiment notre pied.
Aujourd’hui je peux dire que Laura, d’autres copines et moi, nous formons un petit groupe de jeunes filles dégourdies et parfaitement expérimentées. On choisit les hommes et les femmes que l’on veut et on fait avec eux et elles tout ce qui nous plaît.
A 18 ans nous nous sentons des femmes accomplies, fières de nos exploits.
[gris]Adrien[/gris]
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Commentaires (77)
J’aime bien mais je m’étonne que ce soit un homme qui ai écrit cette nouvelle !
Pitié u_u’
J’ai écrit ce récit, mais il est vrai que ce sont 2 jeunes filles de 17 et de 18 ans par leurs confidences qui m’ont inspiré.
ouais, alignement d’expériences sans vraiment d’intérêt
Bin, moi je me demande ce que leur réserve l’avenir si elles ont tout testé à leur age..que reste t’il ? ce récit m’a excitée jusqu’au moment ou il était question de bondage et d’autres extrêmes.....
Moi ça ne m’étonne pas du tout que ce soit un homme qui ait écrit ce texte : ce n’est rien de plus qu’une liste de course de fantasmes masculins...
cela veut dire quoi "une liste de course ?"
un beau texte, bien écrit, réaliste et fantasmatique. Toutes les filles en rêvent. Passer à l’acte est une autre histoire. C’est toute la vertu de cette belle aventure.
Je comprends qu’une fille jeune peut avoir toutes ces idées en tête . C’est l’âge du tout est possible dans l’imagination et c’est bien de l’exprimer surtout sous la forme de confidences à un homme ; Par contre il faut faire la part des choses et ne pas inciter la fille à passer à l’acte.
Je crois que ce beau récit reflète autant l’imaginaire érotique des jeunes filles que celui des hommes.
je crois que ce beau récit reflète autant l’imaginaire érotique des jeunes filles que celui des hommes.
18 ans est l’âge où toutes les formes de sexualité explosent dans la tête d’une jeune fille. Si on prend cette histoire comme une sorte de conte surréaliste où tout est exagéré à l’extrême,à mon avis ça peut passer.
J’aime, c’est mon histoire, enfin mon rêve. Jamais je n’oserais !
Moi avec une bonne copine de coeur et un seul copain , ça va
Un peu poussé tout de même ma petite !
une lecture très excitante, mais une lecture seulement !
des filles déchainées comme ça , ça existe vraiment ?
j’aimerais essayer
moi aussi mais je ne sais pas si j’oserais avec tant de mecs
bon restons sur terre
Je suis d’accord avec Nadine
ahhhhhhhhhh les Teens ! toujours aussi excitantes !
on aime bien ça même si on ne va pas jusqu’au bout. C’est pas interdit de rêver !
Vous les jeunes, vous fantasmez, c’est votre manière de découvrir le monde. ; ça passe après
autant en profiter un max maintenant
Difficile "d’écrire" à une main, hein, Adrien ?
"Cela nous excite et nous mouillons abondamment.
C’est vrai, toutes deux, nous adorons le sexe. Nous y pensons en permanence, de jour comme de nuit. C’est notre raison de vivre, notre passion." Non mais LOL !
les récits de fiction, ça n’existe pas ?
on voit bien que c’est pas vrai . Bon c’est amusant. Moi avec un homme et une femme, je suis preneuse.
D : ya pas de fille qui n’aime pas le sexe à 20 ans ou je meurs lol !
nous on est ok pour ce récit comme cinéma qu’on se fait dans la tête.
Ca ne m’a plus, trop hard, trop masculin...
des femmes tel des chiennes
attention à l’orthographe cher (ère) anonyme
Au vu de la diversité des pratiques, je m’étonne que pas une seule fois l’idée de faire jouir ces hommes par leur prostate n’apparaisse. Elles sucent, elles se font baiser, par devant, par derrière, elles sont curieuses, elles sont ouvertes mais on ne peut pas en dire autant des hommes qu’elles fréquentent.
Ca sent le fantasme de mec à plein doigt.
Je suis d’accord avec karma et d’autres anonymes, j’aimais bien le début mais tout ce qui est soumission ou "éjaculé sur nous" ne m’a pas plus. Sinon j’ai bien aimé le reste du texte.
On ne peut pas tout aimer de nos expériences.
si il a des filles qui ont d’autres expériences on est preneuses bien sûr !
C’est normalement interdit par la loi...
Un texte très masculin, des fantasmes masculins. Le texte pourrait servir de scénario à un film porno, c’est dire le niveau de ce texte ! Au secours... Un peu trop limité aux fantasmes d’hommes dominants et de femmes soumises.
j’ai retrouvé au début certaines expériences vécues, mais au fur et à mesure ça devenait lassant et ne laissait aucune place à l’imaginaire, l’excitation et à l’érotisme.
Il n’y a qu’un homme pour croire qu’une femme ait pu écrire ça. C’est du masculin tout craché, je me passerais de faire une analyse de texte, mais c’est clairement pas du porno féminin.
Après, je ne donne pas mon avis sur le reste, c’est une histoire, voilà tout, elle ne m’a pas "touché", c’est le moins qu’on puisse dire.
Il n’y a vraiment qu’un homme pour écrire cela... C’est frappant dès les premières lignes.
Du fantasme typiquement masculin, et je dirais même plus de mec qui passe son temps à regarder toute sorte de films porno.
J’ai admiré Doriana et Laura, 2 filles audacieuses et dominatrices qui jouent avec des hommes objetss.
ou font semblant avec leur imagination galopante
moi j’aime ce texte et ses exagérations, ça m’excite. ; ça m’est égale si c’est un H ou une F qui l’a écrit
moi aussi j’aime
Ca ne choque personne que ces filles se lèchent à 12 ans, utilisent des godes dans des orgies lesbiennes à 14, sucent des hommes à la pelle à 15, enchaînent les coïts à 16 ? Plus qu’être des fantasmes exclusivement masculins où la femme est assoiffée, soumise, sale et prostituée (malgré un rappel de dernière minute "Il n’était jamais question d’argent entre nous."), ce sont des fantasmes pédophiles. Je ne condamne pas leur existence, mais leur présence, dangereuse, à la portée de tous sur ce site. Site d’ailleurs censé être voué au "plaisir féminin", et qui est raconté dans cet article de manière tellement fausse et pornographique qu’on dirait qu’on a affaire à un auteur qui n’a jamais fait l’amour.
C’est dangereux et dégradant.
moi je trouve ce récit bien écrit. La première partie de découvertes sexuelles entre filles me parait juste. Ensuite tout dérape.Dommage
je trouve que les filles débutent leur sexualité bien jeune.
la confession fantasmatique d’une femme. Si j’en faisais un dixième je serais contente
moi un homme fidèle qui me donne du plaisir, ça me suffit lol !
Si on montre des textes comme cela aux jeunes filles de maintenant, c’est leur apprendre a devenir des actrices pornos. Sa fait chier pour la gente masculine surtout quand le texte est écrit par un pervers masculin... Mais vu que les limites n’existent plus, laissons faire ...
Il semble que la publication de ce texte pose problème à certaines personnes. Voici donc quelques explications :
Notre site est dédié au plaisir féminin et nous privilégions les histoires écrites par des femmes, pour que le désir féminin s’exprime le plus possible, dans toutes ces variétés.
Néanmoins, nous n’avons jamais exclu les hommes du site, et lorsque nous avons trouvé certaines histoires suffisamment bien écrites nous les avons publiées. Et de même que les grands auteurs de l’Enfer n’ont pas nécessairement mis en pratique ce qu’ils ont écrit (ni Sade, ni Alfred de Musset, ni George Bataille, ...) car ils écrivent de la fiction, de même, nous n’attendons pas dans cette rubrique que les gens nous livrent des confidences sur leurs pratiques, mais qu’ils nous livre leur imaginaire. Entre le réel et la fiction, il y a un monde : celui de l’écriture.
comme c’est bien dit !
J’ai su des les premieres lignes du texte que l’auteur etait masculin... Je ne le trouve absolument pas erotique. Il est certes bien ecrit mais sans subtilite.
Je ne l’ai en revanche pas trouve misogyne ou degradant, au contraire, durant tout le texte on parle de plaisir, d’envie, de fantasmes...
Eh oui, la femme aussi peut avoir envie de sexe sans sentiments !
En effet, Elise, en tant qu’observateur amateur des comportements féminins, il me semble que les femmes prennent de plus leur autonomie sexuelles hors des sentiments profondément amoureux. Mais l’amour reste au final une valeur dominante. C’est heureux.
monsieur le moralisateur moi je fais ce qui me plait lol !
Un texte écrit par un Homme sur un site dédié aux femmes... ?si je suis venue ici, c’est justement parce que la plupart des sites sur les plaisirs et désirs sexuels,répondent aux fantasmes des Hommes, et voila que je découvre un texte navrant,naif,et surtout ininteressant con sacré aux hommes.
les femmes très jeunes ont des fantasmes qui m’étonneront toujours par leur excès
pour moi c’est une sorte de récit initiatique d’une jeune fille qui s’éveille au sexe. J’aime
Tout cela ressemble beaucoup plus à un fantasme masculin et à une liste de courses mal rédigée par un homme (pour reprendre un autre commentaire) qu’à une histoire de petite fille dévergondée. Pitié …
Le début est plutôt réussi. Le style un peu brut de décoffrage, mais pourquoi pas. Et j’aime beaucoup le paragraphe sur les coutures renforcées pour se masturber. Mais ensuite le style est vraiment très (trop) proche du porno mainstream. C’est du factuel brut, performances maximum, et ressenti minimum."ça nous excite", "on aime ça"... mais encore ? Par exemple en parlant partouze, pour moi ce qui compte, c’est pas combien de mecs dans la soirée, c’est comment chacun va lentement s’enfoncer et me remplir et....
Mais puisque cela plait tel que à certain(e)s tant mieux, il en faut pour tous les gouts !
Excuse-moi Doriana, peut-être ai-je involontairement trahi tes confidences.
Ce récit m’a laissée très mal à l’aise... Et je pèse mes mots. Deux gosses de douze ans qui se paluchent, c’est aux bornes de la pédophilie , non ?
Et ceux qui voient ça avec du recul sans être attirés par les enfants ... Soit, chacun son point de vue, c’est pas impossible. Mais imaginez le tas de tordus qui peuvent tomber dessus, comme disait Roxanne c’est dangereux. Et j’ajouterais malsain.
Sans parler des personnes comme moi potentiellement choquées de voir évoquées des gosses avec une sexualité débridée.
Moi même à mon jeune âge, je ne me vois pas fantasmer sur des choses aussi hard ... et je ne m’estime pas coincée pour deux euros, sinon je ne serais pas ici :)Mais chacun fait ce qu’il veut du temps qu’on ne fait du mal à personne, et que ça reste dans le domaine du fantasme.
N’empêche : j’ai une boule dans la gorge, surtout pour le début.
Ce récit m’a laissée très mal à l’aise... Et je pèse mes mots. Deux gosses de douze ans qui se paluchent, c’est aux bornes de la pédophilie , non ?
Et ceux qui voient ça avec du recul sans être attirés par les enfants ... Soit, chacun son point de vue, c’est pas impossible. Mais imaginez le tas de tordus qui peuvent tomber dessus, comme disait Roxanne c’est dangereux. Et j’ajouterais malsain.
Sans parler des personnes comme moi potentiellement choquées de voir évoquées des gosses avec une sexualité débridée.
Moi même à mon jeune âge, je ne me vois pas fantasmer sur des choses aussi hard ... et je ne m’estime pas coincée pour deux euros, sinon je ne serais pas ici :)Mais chacun fait ce qu’il veut du temps qu’on ne fait du mal à personne, et que ça reste dans le domaine du fantasme.
N’empêche : j’ai une boule dans la gorge, surtout pour le début.
l’histoire est un peu poussée mais la réalité c’est que très jeunes les filles ont une vie sexuelle active.Moi je m’y retrouve bien.
moi aussi, mais en imagination seulement. Je ne me vois pas passer aux actes comme ça même avec mon copain.
les femmes ont des ressources érotiques illimitées. Les z’ommes sont jaloux.Les pauvres ...
ya des hommes athlètes du sexe, mais nous les femmes c’est naturel. On s’offre des orgasmes à répétition. C’est cool !!
Pour ma part, on peut dire que je ne sais pas quoi penser de ce texte...
Je n’ai pas non plus mis trop de temps à me rendre compte que c’était écrit par un homme... aucune explication de ce qui se passe vraiment dans le corps de ces filles, juste "elles aiment ca"... Très bien, très développé..
En lisant ce texte, moi qui fantasme parfois sur des scènes à plusieurs (j’ai 19ans), je peux comprendre que cela excite certaines personnes, mais pitié, serait-il possible de laisser les mineures hors de tout ça ? C’est dangereux.
D’accord les fantasmes peuvent rester des fantasmes je n’en doute pas, mais si la pédopornographie est interdite sur le net alors que beaucoup ne passerons sans doute pas à l’acte, comment est-il possible de trouver ça ici ?
Doriana et Laura sont majeures. Seules leurs souvenirs remontent à leur jeune adolescence. Quelles sont les filles qui n’ont pas connu très tôt de tels émois sexuels ?
Je suis d’accord avec Sébastien. Il ne faut pas confondre l’évocation des pratiques sexuelles des jeunes filles ados entre elles et les relations sexuelles imposées par des adultes à des mineurs.Lol !
Existe-il des filles sages ? Moi depuis très jeune je pense au sexe et j’aime. Aujourd’hui à 46 ans j’y pense toujours et j’aime encore plus. Je suis pas dépravée pour autant. J’aime mon chéri net je n’en changerais pas même pour essayer un super héros du sexe.
moi aussi j’ai 46 ans (! !!). Je me suis mariée jeune (21 ans) et avec mon mari mes relations sexuelles sont toujours aussi variées. Mais j’ai pas perdu pour autant mon imaginaire érotique et mes fantasmes. C’est mon " jardin secret".
que dire de ce récit ? un condensé dans le temps ce que toute femme a fait ou fera tout au long de sa vis sexuelle. J’ai aimé.
tout à fait d’acord avec Roxanne, M et bien d’autres. Ce texte relève uniquement de fantasmes exhibitionnistes de mecs, et le côté limite pédophile est un peu inquiétant. Pour moi, ces filles relèvent plus de cas sociaux que de jeunes filles qui découvrent et assument leur féminité et leur sexualité. Si vous voulez des découvertes vraiment bien écrites, lisez Onze Minutes de Paulo Coelho !!
moi quand j’avais 18 ans je rêvais de tout ça en vrac. Du délire dans ma tête seulement. J’aurais jamais osé !