Fuck in space

Le 02/01/2010

Tirée au sort pour le cinquantième anniversaire du premier pas de l’homme sur la lune, je me retrouve ce mardi 21 juillet 2019 prête à embarquer à bord de la navette spatiale Apollo 69.

Dotée d’une libido largement développée, et désireuse de profiter pleinement de ce voyage en apesanteur, je me suis introduit au préalable des boules de Geishas.

Après une brève présentation des membres de l’expédition, deux astronautes américains et Irina, russe d’origine, docteur en neurobiologie, chargée d’étude sur les comportements humains en conditions extrêmes, nous prenons enfin place et bouclons nos ceintures.

Irina, jolie brune aux formes que je devine splendides sous sa combinaison, éveille en moi des fantasmes lesbiens.

Nos regards se croisent, je sens dans ses yeux que je ne la laisse pas indifférente, ce qui provoque chez moi une excitation nouvelle.

Le décollage est imminent, les moteurs démarrent. Les vibrations de la fusée, mes pensées érotiques à l’égard du docteur, et la présence de mon sex-toy ne font qu’accroître mes envies de sexe, je mouille abondamment, une chaleur électrique envahit le bas de mon ventre, un premier orgasme ne tarde pas à venir et me fait tressaillir sur mon siège.

La fusée largue ses boosters, le calme revient dans la cabine, et nous sommes partis pour effectuer deux fois le tour de la terre, pendant une période d’environ une heure trente.

Discrètement, j’extrais mon jouet coquin, qui, soudain m’échappe, flotte dans l’habitacle, et parvient à la hauteur d’Irina. S’en saisissant, elle ne semble pas surprise et plonge son regard dans le mien. L’ambiance devient instantanément complice entre nous, un climat presque bestial semble nous animer.

Dégrafant sa ceinture, elle se dirige vers moi pour me rendre mon bien ; au moment où je l’attrape, elle m’attire vers elle et me roule une pelle majestueuse. Je comprends alors que nous partageons les mêmes désirs.

Nous nous embrassons longuement, sensuellement, sa langue explore toute ma bouche. Je ne pense maintenant plus qu’à lécher tout son corps, assouvir mes pulsions les plus retranchées.

J’entreprends de la déshabiller ; nue jusqu’à la taille, je découvre une poitrine superbe que je prends d’emblée à pleine bouche, je la tête vigoureusement, et ses gémissements sont la preuve qu’elle apprécie énormément.

Je la caresse de toute part, j’enfouis mes mains dans sa longue chevelure animale. Je descends progressivement vers son nombril que je titille du bout de la langue.

Bientôt, je brouterai avidement sa chatte pleine de mouille. Je suis à nouveau au bord de la jouissance.

Je baisse sa combinaison, et là, mon plaisir dépasse toutes mes espérances ; je me retrouve face à une queue raidie par le désir. Et pourtant, rien ne laissait supposer qu’Irina était transsexuelle. J’hallucine !

Je m’empare fermement de son dard et commence à le branler, n’y tenant plus, je lui prodigue une fellation effrénée, alternant rythmes rapides et langoureux.

Je lèche toute la longueur de sa bite, m’attardant longuement sur le gland que j’aspire et lape avec une fougue démesurée.

Je lui donne mes doigts à sucer puis glisse impunément mon index humide dans son cul, je sens son sexe tressauter dans ma bouche.

Alertés par nos soupirs, les deux astronautes se retournent et découvrent la scène.

Vite libérés de leur ceinture, ils enclenchent le pilotage automatique et nous rejoignent en volant.

Rapidement, ils retirent leurs vêtements de spationaute, dévoilant une musculature magistrale, témoignant d’un entraînement sportif intense. Leur érection ne laisse planer aucun doute sur leur état d’excitation, je sens mon foutre dégouliner sur mes cuisses, mes sensations sont divines, j’ai trois bites pour moi seule et j’ai hâte d’être prise de toute part.

Je me déshabille prestement voulant profiter au mieux de tous les contacts charnels qui s’offrent à moi et deviendront forcément de plus en plus ardents. Nous poursuivons sans relâche les préliminaires.

Je les pompe chacun leur tour, me retrouvant parfois même avec deux glands dans la bouche. Mes compagnons de voyage gravitent autour de moi, ils bandent de plus en plus fort, je sens leurs mains me caresser, leur langue et leurs doigts s’immiscent partout dans mon intimité. Je n’en peux plus, mon plaisir est sans limite.

Tandis que nos corps se frottent, fusionnent dans un ballet voluptueux et aérien, dans toutes les positions permises par l’apesanteur, je me retrouve plaquée contre l’un des hublots. Je découvre la planète bleue pour la première fois, c’est magnifique ! Nous sommes peut-être au dessus du Pacifique… Je m’agrippe aux poignées pour admirer davantage cette vue imprenable ; les trois « hommes » s’activent toujours autour de moi. J’embrasse fougueusement un des américains, le deuxième astronaute entreprend un cunnilingus démentiel, ma chatte est en feu ; je jouis à répétition.

Irina s’installe derrière moi, me saisit par les hanches, et m’encule d’un coup après avoir longuement préparé et attendri mon anus avec sa langue et ses doigts enduits de nos salives et de ma jute. Sa pine s’enfonce profondément en moi et ses va-et-vient puissants ne font que redoubler mes orgasmes.

Dans le reflet de la vitre, j’aperçois le balancement harmonieux de ses seins recevant les caresses de nos deux autres coéquipiers. Je sens maintenant la présence d’une queue dans mon con, les deux sexes glissent en moi, me burinent sans répit, tantôt doucement, tantôt sauvagement.

Mon corps est possédé de toute part. Je fourre goulûment dans ma bouche le troisième braquemart encore libre. Je suis en transe. Mon corps est secoué par des spasmes incoercibles.

Irina et les deux américains changent alternativement de place explorant chacun leur tour tous mes orifices brûlants, pilonnant chatte et cul en variant inlassablement les cadences. La fusion est totale.

Notre plaisir s’exprime bruyamment, dans le silence spatial, soupirs, halètements, cris vont crescendo ; j’hurle de bonheur.

L’extase est proche pour eux aussi, ils pourraient jouir et se déverser ensemble en moi. Je choisis néanmoins une autre issue. Je leur suggère de se retirer et d’éjaculer sur mon corps. Je suis couverte de leur sperme. Une partie de leur semence flotte également dans la cabine. Irina la saisit au vol, la déguste avec voracité et entreprend à présent un nettoyage minutieux de ma peau invitant les deux astronautes à l’imiter. Tous trois me lèchent, me lapent. Immédiatement, ils viennent m’embrasser et me faire partager leur nectar dont je me délecte un moment avant d’avaler.

L’expédition arrive à son terme, nous sommes épuisés, incroyablement sereins et détendus. Nous regagnons nos places respectives pour entamer notre retour sur terre.

Nous prenons conscience trop tard, en constatant les caméras, que nos ébats ont été filmés et retransmis en direct sur les chaînes télévisées du monde entier. Je sais que dès mon retour, je me branlerai à loisir, en regardant les images torrides de notre périple dans l’espace.

[gris] Space Girl[/gris]