Chaude aurore
Le 04/09/2011
Tu viens me voir à Abidjan, mais je ne veux pas qu’on reste à la capitale, alors je t’emmène dans mon village, sur la côte. On séjourne dans un magnifique complexe hôtelier, construit sur un pic.
Une fois arrivés, nous nous désaltérons, nous douchons, dînons... la journée a été fatigante, ne nous laissant pas le temps de faire l’amour, alors nous échangeons de douces caresses. Mais tu me sais très coquine, mon amour, alors il me viens la délicieuse idée que tu m’épiles. Ce que tu fais avec plaisir. Tu mets la crème épilatoire sur ma grotte et me débarrasse de tout mes poils, jusque dans mon petit trou. Le faire nous excite. Alors je descends ton pantalon et te pompe, tu ne perds pas de temps et m’éclabousse, j’avale ta liqueur gloutonnement et je file sous la douche ôter de mon corps les restes de crème. Je reviens toute lisse, merci mon coeur. Tu m’enlace et nous sombrons dans un doux sommeil.
Mais je suis une lève tôt, à 5h30 je commence à te faire des baisers dans le dos, j’adore ça. Tu sais ce que cela signifie ! Je te tire du lit, te demande de mettre un short, direction la plage. Je tombe d’admiration devant beauté de la nature au petit matin et pour rien au monde je ne veux rater ce spectacle. Mais dans ma tête se trame un spectacle d’un autre genre, qui j’en suis sûre te plaira. Je sors de la douche, vêtue de mon bikini orange, tes yeux brillent, j’aime ça... Je m’apprête à mettre un paréo pour masquer mes formes généreuses. Tu me l’arraches.
— Non mon ange tu es trop belle, ne cache rien.
Je me sens rassurée, confiante et nous partons.
Le soleil se lève tout doucement, il n’y a personne. La brume se dissipe peu à peu, le chant des oiseaux annonce une matinée ensoleillée. Tu m’enlaces, torse nu, je fonds de bonheur. Nous marchons en direction des rochers et je t’attire dans un coin. Loin des regards indiscrets, déjà ton dard se lève. Je t’embrasse, je suis mouillée au point que le petit triangle qui cache l’entrée de ma grotte est tout humide. Tu me caresses avec douceur et amour, je guide tes doigts vers ma grotte. Ils s’engouffrent dans ma marre de plaisir, je replie une jambe contre une roche pour que tes doigts experts aillent encore plus loin. Je jette ma tête en arrière et me cambre de plaisir. Je t’astique le dard, sans oublier tes tétons rougis d’excitation. Je retire ton burin, il est beau ! Je l’embrasse, me mets à genoux pour l’aspirer. Je mets beaucoup de salive, tu t’appuies sur mes épaules et des spasmes traversent ton corps, je sens que t’es pas loin. Je me relève, me retourne contre la roche,huuuuuuuum le contact rugueux avec mes tétons me fait frissonner ! et toi, qui n’arrêtes pas de me malaxer les fesses.
Dans un souffle je te demande de dénouer mon bikini, le bout de tissu tombe, libération ! Mon entrecuisse est inondé. J’écarte mes fesses et tu viens me prendre, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, tu pétris les parois de ma grotte, c’est troooooooooop bon. Tu deviens un peu violent, m’arraches un petit cri et m’embrasses dans le cou pour te faire pardonner. Mais tu n’arrêtes pas, sinon je vais me fâcher. Ma fontaine se déclenche. Je cambre les reins de bonheur. Tu vas de mon petit trou à ma grotte, t’apprêtes à le faire encore une fois mais, pas de bol, tu exploses sur mes fesses et je ne compte plus le nombre de fois où je suis venue ! Nous tombons sur le sable tiède quelques minutes, avant de piquer une tête. L’eau est si fraîche que je claque des dents.
— Rentrons mon amour je vais prendre froid.
Chemin faisant, nous croisons des villageois, certains se retournent sur mes formes, d’autres baissent les yeux, imaginant ce que nous venons de faire. On s’en fout ! Nous passons notre chemin enlacés, tu me caresse les fesses, m’embrasse pour montrer que je t’appartiens et j’adore.
De retour à la chambre, je cours prendre une douche bien chaude et c’est reparti. Le garçon toque à notre porte pour nous signaler que le petit déjeuner est servi, mais nous préférons ne pas l’entendre, il n’ a que nous au monde : un cochon et une salope.
[gris]Grotte de Femme[/gris]
Commentaires (1)
j’aurais aimé une suite plus exotique et plus voyante, mais je confirme la sensualité des gestes et faits , une magie érotique, et sensuelle, je dirais que la plus reine des salopes.. pleins de fantasme et de désir. moi j’ai fantasmé parce que je me retrouve en cette personne.
t’es adorable ma chatte.
stafino