Stratagème
Le 02/12/2009
Elle avait des jambes interminables et d’un galbe parfait. Ses pieds délicats s’accordaient parfaitement à la courbure que ses hauts talons lui imposaient. Sa taille fine était de celles que l’on aimait saisir de la main.
Ses seins parfaits attiraient tous les regards au travers ses vêtements généralement moulants. Un visage ravissant, une chevelure flamboyante qui descendait, splendide, au milieu de son dos terminaient son portrait.
Avec cela, elle était douce, discrète et semblait fragile. Souvent elle rougissait de la façon la plus charmante qui soit.
Elle s’était lancée corps et âme dans une soumission éperdue. Nous débutions une relation passionnante. Elle avait tout à apprendre. Elle voulait tout apprendre. Elle connaissait et redoutait mon goût pour l’exhibition.
Seule elle ne se serait jamais risquée à quoi que ce fût. A mes côtés elle était d’une obéissance scrupuleuse qui lui en coûtait. Mais, et je le lui avais démontré plusieurs fois à son corps défendant, son obéissance à mes demandes indécentes la plongeait dans un état de mortification qui l’excitait au plus haut point.
Cette fois-ci je voulais monter d’un cran son apprentissage et je mis au point un délicieux stratagème.
Je l’invitai le week-end dans mon appartement parisien. Cet appartement avait une partie en mezzanine à laquelle on accédait en empruntant un escalier largement ajouré qui donnait sur le salon. Cette mezzanine était une bénédiction pour tout amateur de BDSM. Voyez : lit à baldaquin aux piliers d’une solidité à toute épreuve, grands miroirs aux cadres extravagants, magnifiques tableaux de scènes évocatrices peints à des époques où la licence sévissait peu, tapis d’une douceur extrême, nombreux coussins de soie, malle contenant aisément des objets, volumineux ou non, objets les plus étranges qui soient et que l’on ne pouvait laisser à la vue de tous, petite cheminée, propice à bien se chauffer, à fournir la nuit une lumière féerique et éventuellement à allumer bougies et chandeliers aux multiples usages, poutres apparentes, crochets au mur…
J’avais même fixé une poulie sur la poutre principale au centre de la pièce.
Bref cette mezzanine était mon refuge, mon repère, le lieu de beaucoup de mes turpitudes.
Et suite à une première nuit où je m’étais rapidement éclipsé, au petit matin, prétextant je ne sais quel rendez-vous impromptu que j’allais vite expédier, je l’avais laissée dans le lit avec comme consigne un peu étrange mais impérative de ne se vêtir que de l’une de mes chemises que j’avais déposée sur le dossier d’une chaise, je savais qu’elle aimait cela, avec l’interdiction formelle de toucher au moindre bouton ni de rapprocher les pans du vêtement dans l’intention de cacher je ne sais quelle partie dévoilée de son corps.
Je lui avais dit que tel était mon caprice et que je voulais absolument qu’elle fût dans cette tenue jusqu’à l’heure de midi.
Je lui avais aussi furtivement glissé, la veille, que j’attendais pour le lendemain un paquet qui contenait une surprise pour elle.
En partant le matin, j’avais laissé en évidence sur la chaise un billet qu’elle ne lut qu’au bout d’un moment. Elle fut surprise de l’apercevoir et se pencha dessus.
Elle blêmit.
Le billet disait :« Dans l’hypothèse peu probable où le livreur portait, avant que je revienne, le paquet que j’ai commandé, merci de lui ouvrir la porte, de recueillir l’objet et de lui remettre l’enveloppe que j’ai laissée sur la table du salon (n’oublie pas pour autant ma consigne de ce matin, * sourire *). »
Son cerveau réfléchit à toute vitesse.
Elle s’était déjà glissée avec délectation, pour s’amuser, dans la chemise de son Maître.
Elle avait joué devant le miroir à bouger, marcher, prendre toutes les poses possibles, pour effectivement constater que le vêtement découvrait, quasiment quoi qu’elle fit, soit ses jambes soit ses seins, soit son intimité, et même le plus souvent, les trois à la fois !
Elle s’en était beaucoup divertie, imaginant le regard de son Maître, profitant à l’avance de l’effet qu’elle aurait peut-être sur lui, se réjouissant de son esprit inventif.
Mais là elle ne se réjouissait plus du tout.
L’évocation par le billet de la venue du livreur lui mettait en tête une éventualité qu’elle avait totalement occultée. Se laisser voir dans une tenue parfaitement indécente par un inconnu alors que son Maître n’était même pas là ! Incroyable ! Impossible ! Une irrépressible envie de se cacher la prit, lui faisant tourner la tête en tous sens à l’affût du recoin miséricordieux qui l’escamoterait corps et biens, qui effacerait sa présence, qui annihilerait son existence, pas moins ! Elle ne pouvait pas. Il ne s’était pas rendu compte.
Enfin !
Mais …elle commençait à le connaître et l’idée fit doucement son chemin que c’était peut-être justement ce que son Maître voulait. Le savoir était une chose, s’exécuter, seule, sans son regard, sans sa présence, en était une autre. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que j’avais placé ma webcam, le dernier modèle Philips haute résolution-grand angle, dans une position qui me permettait de voir l’escalier et le salon à partir de l’appartement d’en face que mon voisin m’avait prêté, voisin avec qui j’avais d’excellentes relations mais ceci est une autre histoire.
Ce qu’elle ne savait pas non plus c’est que j’avais obtenu que le paquet fût livré entre neuf et onze heures du matin, ni que j’avais collé un petit mot sur la porte : « pour la livraison du colis, sonnez et allez de suite jusqu’au salon ».
L’attente débuta. Elle était tout d’abord dans un état d’anxiété qui l’empêchait de raisonner. Son Maître allait revenir. D’un instant à l’autre. Bien sûr et tout cela serait fini. A moins que ce ne fût le livreur. Et dans ce cas que ferait-elle ? Un bruit ! ELLE AVAIT ENTENDU UN BRUIT ! Non, ce n’était rien. Une voiture dans la rue.
Elle préférait que plus rien n’advint. Plus de bruit, plus d’événement. L’immobilisme. Le minéralisme. Elle se serait bien vue transformée en statue, image même de l’angoisse, pour la fin des temps. Et puis son esprit se remit à fonctionner, à raisonner. Elle se dit que si son Maître l’avait voulu, elle devait au moins y songer. Elle se mit à imaginer la scène. Le livreur qui vient, on entend ses pas dans le couloir. Il s’arrête. Appuie sur la sonnette. Elle descend l’escalier pour aller lui ouvrir. L’escalier ? Elle n’arrive pas à imaginer la scène. Mais non ! Que je suis bête ! pense t’elle. Quand je descendrai l’escalier il sera de l’autre côté de la porte ! Je peux donc descendre tranquille. Et ensuite, je pourrai peut-être me placer de côté.
Bon il verra les pointes de mes seins mais tout en respectant les instructions de mon Maître je pourrai peut-être limiter les dégâts. Elle se mit ensuite à imaginer le livreur. Elle avait reçu une lettre recommandée la semaine dernière et avait donc croisé son facteur. Son image revint s’imposer dans son esprit. Un homme pas très jeune, plutôt dégarni mais pas trop mal en fin de compte. Très gentil. Un joli sourire elle s’en souvenait bien. A cette évocation et dans la tenue où elle se trouvait, elle commença à sentir un début d’excitation. Mais ensuite ? Qu’allait-elle lui dire ? Elle allait bafouiller c’est sûr ! Il fallait qu’elle y réfléchi…. Mais n’est-ce pas un bruit de pas dans le couloir ? Elle se figea, apeurée, à l’affût.
Il fallait que se soit son Maître. Ce devait être lui. Ce devait être lui. Ce devait être lui… La sonnette retentit. Elle déglutit avec peine. Prit deux fois une grande respiration et mit le pied sur la première marche de l’escalier.
Et là, elle entendit la porte s’ouvrir et une voix inconnue dire « il y a quelqu’un ? » Son pied s’immobilisa. Elle comprit que tous ses plans s’étaient envolés et qu’elle allait devoir descendre l’escalier dans sa tenue, sous les yeux d’un inconnu ! Elle ne put laisser le silence s’installer totalement et elle répondit d’une voix faible et subitement enrouée « oui. J’arrive » faisant lever les yeux de l’homme vers le haut de l’escalier.
A son tour il se figea et ses yeux s’agrandirent comme sur un dessin de Tex Avery au meilleur de sa forme. Il découvrit une vision incroyable. Une apparition, un ange ! Elle devait donc descendre ces marches. Un premier pas écarta le pan de la chemise et découvrit sa jambe, de son pied nu au haut de sa hanche. Le second qu’elle fit pourtant très prudemment n’arrangea pas les choses et découvrit le tissu qui recouvrait encore l’autre cuisse et montra à l’homme qui ne la quittait pas des yeux son intimité entièrement épilée, douce, fragile, émouvante. Dire que son envie était forte de ramener avec ses mains les pans de la chemise sur elle serait édulcorer l’aspiration impérieuse qu’elle ressentait. Mais non. Elle voulait obéir à son Maître, et elle lui obéirait !
Les deux pas suivants, exécutés un peu nerveusement, empirèrent la situation. Le tissu, rejeté vers l’arrière, exhiba sans rémission son ventre et ses seins. L’homme n’en revenait pas. Une puissante érection lui vint, involontaire, incontrôlable. Perdue pour perdue, voyant qu’elle était l’objet d’une observation attentive, elle se lança dans l’escalier pour le descendre maintenant d’un pas assez rapide, qu’un spectateur extérieur aurait pu prendre pour assuré si la couleur de ses joues ne venait pas clairement démontrer le contraire.
Tout cela donnait un tableau des plus plaisants que la caméra enregistrait consciencieusement.
Elle arriva dans le salon et s’approcha courageusement du porteur. N’arrivant pas à détacher son regard de la belle poitrine placée sous ses yeux, il avait pris l’immobilité d’une statue. Elle fut obligée de dire quelque chose : « vous avez un paquet pour moi ? ». « Heu, oui, bien sûr, le voici », dit-il d’un ton charmant, ayant presque l’air d’un élève pris en faute. Elle le prit et ne sachant quoi en faire, son regard se tourna vers la table, où elle vit l’enveloppe destinée au coursier dont son Maître lui avait parlé. Elle posa le colis, prit la lettre et lut l’inscription que l’on pouvait clairement déchiffrer : « A REMETTRE AU PORTEUR DU COLIS. A LIRE DE SUITE SUR PLACE ». Elle pâlit à la lecture de ces mots et tendit la lettre d’une main peu assurée à l’homme en lui disant : « je crois que vous devez lire ce qui est inscrit dans l’enveloppe ». L’homme s’en saisit et fronça les sourcils. Il lut et ses yeux s’agrandirent à nouveau. Une légère rougeur colora ses joues pendant qu’il déglutit avec lenteur.
Il éclaircit sa voix et dit d’un ton incertain :« Voilà. Excusez-moi mais je dois vous lire cette lettre à voix haute. » Après avoir laissé passer un silence d’hésitation il reprit :
« Cher Monsieur,
Je me suis permis de vous placer dans une situation qui peut comporter, vous le verrez, certains avantages pour vous si vous le désirez.
La femme fort peu vêtue que vous avez devant vous est ma compagne et obéit à la lettre à mes instructions. Aussi je vous demande de lui lire ce mot qui lui dicte expressément ma volonté de se laisser faire entre vos mains.
A vous, je vous autorise à vous saisir d’elle et à la caresser sur tout le corps sans exception. Vous le ferez avec tous les égards que sa grande beauté impose, mais vous pourrez laisser exprimer votre envie voire votre passion si tel est votre désir. Vous pourrez également lui commander toute pose que vous souhaiterez lui voir prendre.
Elle devra vous obéir comme si ces ordres venaient de moi.
La seule chose que je vous demande est de ne pas la pénétrer même si à coup sûr son intimité semblera y être fort disposée au bout d’un moment.
Avant de débuter, je vous demande de recueillir son assentiment, un simple oui de sa part à la fin de cette lecture suffira. Je ne suis pas loin et je vais revenir d’un instant à l’autre, ne vous interrompez pas pour autant.
Vous pouvez commencer.
Aimablement vôtre.
L »
Il laissa tomber la lettre de ses mains et regarda la splendide femme face à lui, en commençant à réaliser qu’il était dans une situation qui ne se présentait qu’une fois dans sa vie.
Sans bouger d’un pouce, il ajouta un peu fiévreusement : « Heu, permettez-vous ?… » Elle baissa les yeux au sol et répondit d’une toute petite voix : « oui ».
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Il s’approcha alors tout doucement d’elle et tendit un doigt hésitant en direction de son sein gauche. Il avait du mal à faire les derniers centimètres qui le séparaient de sa peau si diaphane. Elle ne bougeait plus laissant ses bras le long du corps, ne s’opposant en rien à l’exploration de ses formes.
Enfin il atteignit la peau soyeuse de la femme et commença doucement à caresser sa poitrine. Il y prenait un plaisir immense. Il avait du mal à croire à ce qui lui arrivait.
Elle même n’était pas indifférente à l’instant qu’elle vivait et leurs respirations à tous deux commençaient à devenir plus saccadées et profondes. Il déplaça ses mains vers ses épaules et fit tomber la chemise au sol. Elle était maintenant entièrement nue.
C’est alors que je fis mon entrée.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
La première chose que je remarquai fut la jeunesse et la sorte de candeur qui émanaient de chaque geste du porteur. C’était un homme de 22 ou 23 ans, assez grand, aux épaules plutôt larges. Sa musculature devait être fine mais bien dessinée. Il était brun et son visage avait des traits très réguliers qui accentuaient son apparence d’innocence, le genre d’homme discret que l’on ne remarque pas au premier abord mais qu’une femme découvrira avec plaisir pour peu qu’elle laissât ses yeux errer sur lui quelques secondes. Il s’était écarté d’elle et me regardait, assez inquiet. Je me dis qu’il était le candidat idéal pour ce que j’envisageais de faire.
Je m’avançai rapidement vers eux et reprit doucement le poignet de l’homme pour placer sa main sur le sein de mon amie. « Je vous en prie. Faites. Caressez, tâtez, palpez, empoignez, ». Je tournai autour d’eux frôlant, là une hanche, ici un sein, « observez, inspectez, auscultez, goûtez cette peau divine. Elle est à vous. Elle est à moi bien sûr, mais elle est à vous aussi, puisque je vous la prête. »
Il reprit ses caresses, sur ses cheveux défaits, ses épaules délicates, ses seins dressés qu’il effleurait sans oser en déformer le galbe, son ventre palpitant, ses cuisses magnifiques. Ses gestes marquaient sa silhouette comme un dessinateur devant une feuille vierge saisirait fébrilement de son fusain les contours d’un magnifique modèle. Il continuait à lui faire face.
Je lui dis : « et ses fesses, elles ne vous intéressent pas, ses fesses ? »
Il s’approcha vivement, se colla à elle torse contre torse, et ses mains vinrent trouver, puis toucher, puis caresser, puis empoigner avidement ses fesses admirables. Il poursuivit ses caresses, de plus en plus animé, ses mains semblaient maintenant comme aimantées, attachées à ses formes harmonieusement rebondies. « Isabelle, tu devrais déshabiller notre ami, il serait plus à l’aise. » Alors qu’elle était restée relativement inactive, poussant néanmoins de jolis soupirs et rejetant parfois sa tête en arrière yeux fermés, enivrée par la douceur des effleurements, elle se mit à le déshabiller avec une sorte de précipitation qui en disait long sur son état d’excitation.
Quand il furent tous deux nus et qu’ils eurent un peu repris leurs ébats, je les interrompis : « Je vois que vous appréciez bien son postérieur. Nous allons donc l’honorer comme il se doit. Veuillez vous asseoir sur ce siège. Il est confortable », lui dis-je en lui tendant une chaise du salon. Il s’exécuta, un peu hésitant. « Voilà. Vous allez lui donner une fessée. »
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Je pris Isabelle par les épaules et la coucha au travers de ses genoux.
« Là, installez-vous bien. Prenez son sein de votre main gauche pour affermir la position et appliquez vos claques alternativement sur chaque fesse. » Je vis ses doigts se refermer voluptueusement sur un sein qui pointait joliment vers le sol. Elle en soupira d’aise. Puis il éleva sa main disponible et appliqua …une tape minuscule sur le magnifique fessier qu’il avait sous ses yeux. Elle tourna la tête vers lui, interrogative. Je ne pus m’empêcher de partir d’un grand éclat de rire. « Excusez-moi. Je ne devrais pas rire. Mais c’était si drôle et si prévisible. Votre retenue est tout à fait normale, mais vous devez y aller plus fort. Pour vous aider, je vais demander à votre partenaire de vous guider. Elle devra vous demander de frapper plus fort chaque fois qu’elle jugera qu’elle peut le supporter. En revanche pour un peu corser l’affaire, elle n’aura pas l’autorisation de demander de réduire la force des coups.
Je vous recommande néanmoins de ne pas toujours frapper exactement au même endroit et d’espacer vos coups de quelques instants afin de laisser diffuser l’impact de vos claques et de laisser transformer la douleur induite en plaisir. Vous pourrez également de temps en temps alterner une série de claques avec des caresses plus douces. » Pendant que je débitais cette petite litanie, il tournait le visage vers moi et m’écoutait avec l’attention d’un élève studieux. « Débutons. » Ajouté-je.
Quelques coups timides furent ponctués de « plus fort s’il vous plaît », jusqu’à ce que les mouvements prennent de l’ampleur et que leur impact commencent devenir sonore. « Oui. Bien. Vous pouvez y aller. Bravo. » Dis-je en guise d’encouragement. La belle ne disait plus rien mais commençait à fermer les yeux et à se concentrer sur ses sensations et sur son plaisir qui ne tarda pas à venir. La couleur de sa peau se modifiait petit à petit. Elle se mit à gémir doucement à chaque coup. Elle balançait sa tête de droite et de gauche quand une main venait la caresser. « Vous pouvez caresser son intimité » lui glissé-je à l’oreille afin de ne pas déconcentrer la belle. Elle gémit plus fortement quand il s’exécuta.
Il alternait maintenant série de claques, caresses des fesses et caresses du sexe. L’excitation de notre amie augmentait, son agitation grandissait. Je laissais les choses prendre de l’ampleur quand elle dit « Maître, s’il vous plaît » d’une voix suppliante. « Permettez » dis-je à l’homme. Je pris mon amie par les épaules, l’aida à se relever pour immédiatement la placer à genoux, sa tête et son buste s’écrasant sur le siège du sofa qui était à côté.
Je sortis mon sexe durci depuis le début de la scène et l’enfonçai d’un coup dans sa fleur épanouie et brûlante. Je ne réprimai pas un râle de plaisir à cette sensation merveilleuse.J’entrepris des va et vient profonds alors que mes mains s’appuyaient sur ses deux fesses, constatant combien elles avaient été chauffées par leur récent traitement.
L’homme s’était levé et se masturbait en nous voyant œuvrer.
Nous jouîmes très vite. Elle la première. Moi quelques secondes plus tard, m’étant retiré de son antre pour répandre ma semence sur sa peau cramoisie et y apporter quelque douceur. Notre ami était fort dressé et avait besoin d’une miséricordieuse conclusion. Sans un mot, Isabelle croisa mon regard pour requérir mon assentiment, je lui fis volontiers le petit signe de tête attendu, et toujours sur ses genoux elle alla se placer entre les jambes de l’homme. Il lui présenta son sexe tendu et enflé qu’elle engloutit goulûment. Elle se mit à le sucer avec passion, à le lécher somptueusement sur toute sa longueur, à le saisir à sa base, tout en caressant ses bourses de l’autre main. Soumis à ce régime, il ne mit que quelques secondes à jouir à son tour.
Nous terminâmes cette matinée autour de réjouissants éclats de rire et de quelques bulles de champagne qu’imposait le baptême de fessée de notre invité encore quelque peu ébahi de ce qui lui était advenu.
[gris]Libertin 123[/gris]
Commentaires (1)
dit :Euh, elghinn, j’ai aucun souics du tout, et je suis en 1024*600 sur un EEEPC d’un pote, le0.Le menu inutilisable sans JS hmmm, c’est juste qu’il se plie/de9plie pas. Donc paf, il est plus cache9 par de9faut nulle part, et hop, souics re9gle9.Enfin, quand e0 remettre l’ancien the8me, non ! Je l’aimais pas, je le mettais faute d’avoir un truc qui me botte. C’est pareil pour celui le0, il me botte pas mais plus colore9 que l’ancien, et j’avais envie de couleur. Cela dit t’as le droit de me proposer des the8mes WordPress, si t’es pas content