Souvenirs de vacances
Le 29/12/2012
Nous sommes à Tahiti pour une semaine de vacances. Un couple d’amis nous héberge et nous fait découvrir l’ile. Nos premières journées se passent à se balader, se prélasser sur les belles plages fréquentées par des touristes comme nous et à fouiner dans les boutiques de souvenirs et de fringues locales. Nous enchaînons le soir repas dans restaurants exotiques, bars à cocktails et boîtes de nuit. La semaine passe très vite dans une entente cordiale et complice avec nos amis. Le dernier jour, ils nous proposent de nous amener sur une plage encore sauvage, peu fréquentée. Avant d’y aller ma femme va faire un dernier achat avec notre ami. Sa femme et moi partons à la plage, où ils nous rejoindrons ensuite.
Après avoir roulé un bon moment nous arrivons dans un endroit qui au premier abord ne semble pas idyllique. Nous laissons la voiture, traversons pendant dix bonnes minutes un petit bois de palmiers desséchés, puis descendons une falaise sur un chemin escarpé pour arriver dans une crique de sable blanc de 50 mètres de large au maximum. Notre amie fait un rapide tour de la plage de ses yeux verts émeraude et murmure « chouette il n’y a personne aujourd’hui". Nous nous dirigeons sur la gauche. Je la suis, reluquant ses fesses, jusqu’à qu’elle pose son sac sur le sable. Elle déroule sa serviette et celle de son mari et je l’imite. Le temps qu’elle fouille dans son sac, je m’assois sur la serviette, ôte mes vêtements et enfile rapidement mon maillot. Après avoir attrapé sa crème solaire, elle retire d’un seul geste sa robe vers le haut. Je pensais découvrir son bikini ,je constate avec fascination qu’elle est entièrement nue. Ne voulant pas jouer le voyeur je me retourne, attendant qu’elle enfile son maillot. Deux minutes plus tard, je la retrouve allongée sur le dos, toujours aussi peu vêtue offrant sans retenue ses atouts féminins au soleil et à mon regard inquisiteur. Mes yeux se posent d’abord sur ses seins honnêtes déjà dorés, puis restent rivés sur une petite pilosité au-dessus de la vulve lisse qui invite au cunnilingus. Je me retourne vite sur le ventre pour cacher une érection que je ne peux contrôler. Je suis hypnotisé par ses petits seins pointés vers le ciel et de temps en temps jette un œil furtif sur sa petite ‘moustachatte’ brune. Ma trique de puceau ne s’arrange pas et suis embarrassé lorsqu’elle me demande « tu gardes ton maillot ? ». « Euh non » je réponds « mais je vais d’abord prendre un petit bain, j’ai déjà chaud ». Je quitte mon slip de bain lui tournant le dos et cours en petite foulée vers la mer. J’espérais que le contact de l’eau fraîche calmerait mes ardeurs, mais sa tiédeur la maintient. Je prends donc mon courage à une main et l’agite frénétiquement jusqu’à abandonner mon sperme aux poissons. La fièvre retombée je reviens vers elle, ravi maintenant de pouvoir lui exposer mon sexe ; légèrement au-dessus de la moyenne. Je m’allonge sur le côté m’exclamant « Ouf ça fait du bien ! ». Une réplique fuse spontanément : « c’est ta petite branlette qui t’a fait du bien ? ». Cette franchise me surprend, je balbutie « pardon ? » et elle enchaîne avec un petite sourire moqueur « ne soit pas gêné, j’ai compris ton état d’excitation. C’est flatteur pour moi, d’autant plus que tu n’as pu le calmer qu’après une masturbation ». Je lui rétorque qu’en effet son corps sublime et surtout sa coupe pubienne aphrodisiaque ont provoqué cette érection. « Ça te plait ? C’est J.P. qui me l’a faite, je l’aime bien moi aussi ». La phrase attise ma jalousie. Que n’aurais-je pas donné pour être à la place de J.P. lors de cette séance d’épilation ! Je m’allonge sur ma serviette et prend mon livre pour penser à autre chose. Je n’arrive pas à me concentrer sur ma lecture, ce corps dénudé à mes cotés. Elle étend la crème solaire sur sa peau, d’abord sur son ventre, puis sur ses seins les malaxant bien pour faire pénétrer. Elle tartine ensuite ses cuisses de cette substance blanche, les caresse longuement, recommence l’opération à l’intérieur, descendant et remontant vers sa foufoune imberbe qu’elle n’oublie pas. Ces gestes provoquent des vibrations à la racine de mon bambou de nouveau prêt à grimper. Je me demande si elle me provoque ou si cela fait partie de sa nature frivole. Mais je ne veux pas trop gamberger ,car je n’oublie pas que nos conjoints respectifs doivent arriver.
Comme je le craignais (ou je l’espérais) je l’entends qui me demande « tu veux bien m’en mettre dans le dos ? ». Elle s’allonge sur le ventre et me tend le tube de crème. Je me lève dans ma tenue d’Adam et m’assois au bord de sa serviette pour cette entreprise délicate. Je répète ses gestes d’abord sur son dos, puis sur le dessous des cuisses et descends jusqu’aux mollets. Cela me met à nouveau en émoi. Je veux m’arrêter là lorsqu’elle dit « n’oublie pas les fesses les plus sujettes aux coups de soleil ». C’est bien sûr à ce moment que débarquent nos compagnons et j’entends une voix féminine invectiver « il faut surtout pas se gêner », et je me prépare à recevoir un coup de poing dans la gueule du mari. Mais à ma grande surprise il prend la chose avec désinvolture et trouve lui-même les mots pour apaiser ma femme, qui boude dans son maillot, allongée sur sa serviette.
Il se déshabille debout en continuant à discuter, pour attirer notre attention, sans aucune gêne. Il déboutonne sa chemise, qui d’un mouvement d’épaules échoue sur le sable laissant apparaître un torse bronzé et musclé. Il ouvre la braguette de son short, le fait glisser à ses pieds révélant un slip de bain noir congestionnant un paquet prometteur. Il temporise un petit moment dans un striptease étudié, il effleure ses hanches et expulse le dernier vêtement qui libère ses attributs masculins. Ma femme pudique se retourne instinctivement tandis que la sienne et moi-même contemplons ce sexe qui n’a rien à envier au mien. Fier de son effet, il se retourne, exposant maintenant ses fesses musclées et glabres avant de s’allonger sur sa serviette. Nous sommes maintenant trois entièrement nus tandis que ma femme en monokini hésite encore à montrer ses fesses blanches, mais devant le ridicule de sa situation elle finit par l’ôter discrètement.
Complexés au début par notre nudité, nous nous libérons progressivement aidés par l’environnement sensuel de la mer, du sable fin, du soleil et des corps de chacun. L’après-midi s’écoule entre massages à la crème solaire, bronzage et baignades. Nous jouons dans l’eau presque comme des enfants innocents jusqu’au dernier bain, qui prend un tournant érotique. Alors que j’asperge mon amie et suit l’eau lui couler entre les seins et descendre vers sa pilosité, je suis surpris par la posture de l’autre duo, un peu plus loin. Ils sont debout immobiles dans l’eau jusqu’au bas des fesses, lui dernière elle, ses mains sur ses seins, Il est en train de la peloter et doit certainement pointer son sexe entre ses fesses. Je suis ébranlé quelques secondes ne sachant quelle attitude adopter, mais une bouche se colle à la mienne et une langue s’y affaire goulûment, pour toute réponse. Je me laisse faire à mon tour, regardant toutefois si ma femme réagit, mais je vois surtout que les mains de son "amant" sont descendus sur sa foufoune, elle a sa tête jetée en arrière sur son épaule pour mieux s’offrir. Je prends ce signe comme un assentiment de sa part à changer de partenaire et m’active plus auprès de la mienne. Pendant ce long baiser fougueux je pétris ses seins qui m’ont captivés toute la journée, puis descend doucement mes mains le long de ses hanches pour terminer sur ce sexe rasé qui me nargue depuis trop longtemps. Oh extase ! Que la palpation, sous l’eau, de cette douce vulve est jouissive. Mes doigts s’agitent entre ses lèvres glissantes. En même temps elle enserre ma bite en alerte rouge et l’astique par des mouvements lents de va-et-vient. Je desserre son étreinte pour aller sous l’eau déposer un long baiser sur sa chatte fascinante. Je renouvelle plusieurs fois l’opération. Tandis que je refais surface le temps de reprendre mon souffle, à son tour elle joue la sirène pour sucer l’hameçon le temps d’une apnée trop courte à mon goût. Je m’assois dans l’eau l’invitant à approcher son sexe salé de ma bouche. Je lèche toutes les gouttes de sa vulve et de sa petite crinière, puis ma langue se glisse entre les lèvres pour se délecter du mélange salée d’eau de mer et de cyprine. Elle fouille tous les recoins pour s’enivrer de cette substance et suce le petit bouton. Tes mains caressent ma tête et me donnent la cadence. Je t’aurais amené à l’orgasme si une vague un peu forte ne m’avait pas fait boire la tasse.
Durant ce plaisir j’ai oublié l’autre couple infidèle et ma jalousie. Je jette un œil sur l’avancée de leurs ébats et voir qu’il entraîne ma femme au bord de l’eau où les vagues viennent mourir, bandant comme un taureau. Je suis fier de voir ma femme l’exciter autant. Il la couche sur le sable, elle se laisse couvrir docilement et il la pénètre en aspirant les gouttes d’eau qui dégoulinent sur ses seins. J’attire le regard de ma partenaire en direction de la scène voisine et lui fait comprendre que je désire la même chose. Nous reculons pour nous allonger sur le sable mouillé à une vingtaine de mètres de l’autre couple. Alors que je veux m’allonger sur elle, elle me repousse sur le dos pour m’envelopper de son corps m’avisant que c’est eux qui mènent la partie. Elle engloutit mon sexe dans le sien et nos bassins sont rythmés par le plaisir croissant. Je lutte pour l’attendre et suis récompensé par un orgasme simultané, éjaculant sans retenue dans ce sexe alléchant. Exténués, nous restons dans cette position, l’un sur l’autre, nous couvrant de quelques baisers salés, chatouillés par les vaguelettes qui viennent lécher mes bourses et mes fesses emportant le reste de semence. Nous prenons ensuite, tous les quatre, un dernier bain nettoyant et revitalisant durant lequel j’embrasse et caresse tendrement ma femme pour lui montrer combien je l’aime.
Nous rejoignons nos serviettes. Elle et moi sommes à la fois heureux mais confus de notre emportement charnel et un peu empruntés auprès de nos amis dans la conversation qui suit. De nouveau, ils nous décomplexent et avouent que c’était prémédité de leur part. Durant notre séjour ils s’étaient confiés l’un à l’autre, lui révélant que ma femme était bandante et qu’il la sauterait bien et elle confessant que je ne lui déplaisais pas non plus.
Enorgueillis par ces révélations, nous confirmons que cela nous a enchanté et regrettons qu’ils n’aient pris l’initiative plus tôt, car nous repartons demain matin. Ils craignaient que leur tentative fut mal acceptée et ne gâche la fin du séjour. Mais il ne faut pas abuser des bonnes choses et peut-être n’aurions-nous pas retrouvé les mêmes émotions si l’échange s’était banalisé au fil des jours.
[gris]Sixneuf[/gris]
Commentaires (3)
Bof… Les récits féminins sont tellements mieux écrits … tellement plus agréables à lire …
Histoire agréable à lire, contexte plaisant.
moi j’ai bien aimé surtout la 1ère partie