Clarisse

Le 08/09/2011

Je n’étais avec Clarisse depuis quelques semaines seulement, et jusqu’à ce jour nous n’avions échangé que baisers et quelques caresses furtives, sans avoir été plus loin. Je savais qu’elle était passionnée par la photographie, et ne sortait jamais sans un appareil dans son sac à main. Alors que nous nous promenions tranquillement, elle me proposa :

— Tu ne voudrais pas poser nu pour moi, cela me ferait énormément plaisir.

Voyant l’occasion d’aller un peu plus loin dans nos relations, je ne me fis pas prier.

— Alors je t’attends demain en début d’après-midi chez moi, mes parents ne seront pas là nous serons tranquille.

C’était plus qu’une phrase anodine, j’y voyais là une véritable promesse d’un après-midi entre amoureux, où je pourrais enfin lui faire l’amour. Comme promis j’arrivai chez elle vers 14h00, en ayant soigné ma tenue et enduit mon corps avec le parfum qu’elle adorait.

— Monte dans ma chambre et déshabille toi, me dit elle en ajoutant : je vais chercher mes appareils et j’arrive.

Je me mis rapidement nu et m’assis sur le lit. A peine arrivée, elle se déshabilla également en m’annonçant :

— Ne te formalise pas si je suis nue également, c’est un principe que j’applique à chaque fois que je prends quelqu’un en photo dans cette tenue. Tous ceux qui assistent à la séance doivent se déshabiller aussi, ainsi, le modèle qui pose est plus à l’aise et mes photos sont beaucoup plus réussies.

Dans ma tête je me disais qu’elle faisait vraiment trop de « chichis », mais peut être qu’elle ne voulait pas passer pour une fille trop facile.

— Avant de commencer je vais appeler deux amies qui désirent faire ta connaissance, j’espère que cela ne te gêne pas.

Avant que je ne puisse répondre, elle avait déjà son portable en main.

— Allo Béa, c’est Clarisse, passe chercher Dominique et venez chez moi, je vais vous présenter Raoul.

— Bon on va pouvoir commencer. J’ai déjà fait beaucoup de nu, garçons et filles, et je ne suis pas particulièrement prude. Ce que j’aimerais, c’est que tu ne te caches pas trop à chaque pose, j’adore prendre plus particulièrement les sexes des garçons en photo.

Les premières photos étaient assez sages, elle commença par me prendre de dos, debout devant la fenêtre de sa chambre. Ensuite elle me fit mettre assis sur le bord de son lit, le corps légèrement en arrière, les bras appuyés en arrière.

— Pense à ce que je t’ai dit tout à l’heure, et fait moi plaisir en ouvrant bien tes genoux.

Je n’étais pas très à l’aise, d’habitude ce sont plutôt les filles qui sont dans les magazines qui prennent ce genre de poses.

— Maintenant mets toi à genoux sur le lit, les jambes bien écartées bien sûr.

Au même moment j’entendis le carillon de l’entrée sonner. Clarisse sortit de la chambre, et je l’entendis dire à ses amies :

— Nous sommes dans la chambre, venez nous rejoindre.

— Tu vas rester comme tu l’es, mais tu vas te redresser pour être bien droit. Mets tes mains derrière la tête.

Ce n’était pas un souhait, cela ressemblait plus à un ordre. Je me pliai tout de même à ses désirs.

Jugeant que je n’étais pas assez présentable, elle passa derrière moi pour m’appuyer sur le bas du dos afin que mon corps soit bien d’aplomb. Mais elle souhaitait que le reste soit également bien droit, alors elle m’embrassa longuement en me caressant jusqu’à ce que je sois dressé de partout.

Dix secondes après, ses amies entrèrent dans la chambre, j’eus la surprise de ma vie en les voyant arriver, elles n’étaient pas nues comme son fameux principe l’énonçait.

Béa était habillée tout en jean : pantalon, chemise et blouson. Les cheveux courts, et le corps plutôt androgyne, on aurait pu la confondre avec un garçon. Quand à Dominique c’était le monde à l’envers, je m’attendais à voir une fille, et en fait c’était un garçon aux allures féminines. Maquillé comme un top modèle, il portait un ensemble que j’aurais fort apprécié chez une fille : un pantalon blanc hyper moulant, et une chemise totalement ouverte laissant apparaître sa poitrine sur laquelle brillait une formidable collection de collier que lui aurait envié Mister T. Le plus drôle fut lorsqu’il se mit à parler d’une voix super aiguë, et à bouger avec les même manières qu’une folle de chez Michou. J’avais l’impression de rêver, malgré mon envie de rire jamais je n’avais été aussi mal à l’aise.

— Qu’il est mignon ce beau jeune homme, annonça Dominique de sa voix de fille, tu aurais pu nous le présenter bien plus tôt.

Il s’avança pour me faire la bise, et en profita pour laisser traîner sa main sur mes parties intimes.

— Qu’est ce qu’il est gros et dur, dit il pour flatter mon ego. Je ne peux pas résister à l’envie, prends moi en photo pendant que je lui fait un petit bisou.

Sur ce, il se mit à genoux, et en fait de bisous, il commença une véritable fellation. Après quelques minutes, Clarisse l’arrêta :

— Attends un peu, je n’ai pas fini de faire mes photos, laisse moi terminer.

Je n’arrivais pas à savoir si elle se doutait que cela se passerait ainsi, ou si elle était complice de son ami.

— Reste dans la même position, mais retourne toi que je te prenne de dos.

Une fois dans la position demandée, j’entendis Dominique susurrer :

— Il est encore plus beau de dos.

Après quelques photos dans cette position, Dominique s’approcha de moi et me dit :

— Tu veux bien te mettre à 4 pattes mon chou.

— C’est une excellente idée, fais moi plaisir, annonça Clarisse en se positionnant pour me prendre de trois quart avant.

A peine en position, je sentis une main de Dominique se glisser sous mon ventre et prendre doucement possession de ma virilité, et l’autre me caresser les fesses puis aller doucement vers le reste de mon service trois pièces.

— Ne bouge surtout pas, vous êtes superbes tous les deux me glissa Clarisse.

Je dus subir les attouchements de Dominique sans broncher, même si je devais reconnaître chez lui un certain talent pour ce type de caresses. Lorsqu’elle eut pris suffisamment de photos, Clarisse vint alors se mettre cuisses ouvertes devant moi et me demanda :

— Je n’en peux plus d’attendre je suis trop excitée, je t’en prie Raoul occupe toi de moi.

Sur ce elle attira mes lèvres vers son ventre. Après plusieurs minutes que ma langue la fouillait, elle intervint de nouveau.

— Regarde Dominique, il est aussi beau que toi, tu ne voudrais pas lui faire plaisir ?

Pris par le désir de donner du plaisir à Clarisse, je ne m’étais pas aperçu que Dominique avait cessé de s’occuper de moi, et qu’il était entièrement nu, son sexe fièrement érigé tout près de mon visage. Il attendait que mes lèvres délaissent Clarisse pour s’occuper de lui, il n’en n’était évidemment pas question. Clarisse sut une nouvelle fois se montrer persuasive.

— Tout à l’heure tu n’as rien dit lorsqu’il t’a fait un bisou en arrivant, cela n’avait pas l’air de te déplaire, tu pourrais à ton tour lui faire plaisir. Tout ce que tu lui fais, je te le ferai aussi. Tu lui fais d’abord un petit bisou, et ensuite tu le laisses te diriger.

N’attendant pas ma réponse elle rapprocha davantage mon visage du ventre de Dominique, qui se colla lui aussi à me toucher. Vaincu, je rendis sa caresse buccale à Dominique.

Béa qui s’était fait aussi discrète que possible depuis le début, avait l’appareil photo en main, et n’attendait que cela pour immortaliser cet instant particulier. Après avoir pris plusieurs photos, elle posa l’appareil et vint se mettre derrière moi pour me prendre dans sa bouche.

Dominique s’écarta, laissant Clarisse prendre mon visage derechef et le plaquer à l’endroit où il était auparavant. Je sentis alors la langue de Béa délaisser ma verge, et perçus quelques secondes plus tard celle-ci s’insinuer entre mes fesses pour me pénétrer plus intimement. Clarisse avait maintenant changé de position, elle m’avait fait retourné sur le dos, et s’était couchée sous mon corps, puis s’était enfichée sur mon sexe tendu. Au même moment je sentis quelque chose de doux et chaud me pénétrer, en même temps qu’une douleur bizarre m’envahir : c’était Dominique qui avait repris la place de Béa et me pénétrait par derrière. Clarisse me maintenait fortement dans ses bras pour que je ne puisse m’échapper, mais je sentais les tressaillements de mon corps qui bougeait malgré moi d’avant en arrière. Béa avait repris l’appareil photo et ne cessait de nous prendre tous trois sous tous les angles.

Après quelques secondes qui me parurent une éternité Clarisse et Dominique jouirent de concert. Béa, bonne fille, n’attendit que cet instant pour me rendre heureux à mon tour.

Clarisse me donna des explications plus tard dans l’après midi, quand nous fument de nouveaux seuls. Elle était véritablement amoureuse de moi, mais tout autant et depuis longtemps de Dominique.

Étant donné les mœurs un peu particulières de celui-ci, elle savait qu’elle ne pourrait jamais avoir de relations physiques avec lui. En me prenant comme intermédiaire elle avait l’impression que c’était avec lui qu’elle faisait l’amour.

Tout cela avait été combiné d’avance, et pour que ne sois pas déçu, Béa avait été chargée de s’occuper de moi.

Je me souviendrai longtemps de ce premier rendez-vous galant avec Clarisse.

[gris]Azkinato[/gris]

Crédit photo : © Horst P. Horst

Commentaires (2)

  • Anonyme

    Ce texte me touche. Je m’appelle moi même Clarisse et je suis une passionnée de photographie.

  • Adrien

    Je veux moi aussi poser nu pour Clarisse et que ses copines m’observent , me caressent et plus encore.