Confidences ardentes

Le 19/06/2011

J’aime quand il me caresse, j’aime quand il me prend. J’aime sa longue bite quand elle est bien dure. J’aime la prendre dans ma bouche, promener ma langue tout le long de sa hampe. J’aime entendre ses râles quand je le suce goulûment. J’aime quand il me défonce la chatte et le cul. J’aime sentir son membre cogner au fond de mon ventre, quand ce mouvement s’accompagne du bruit de claquement sec de ses coups de reins sur mes fesses. J’aime quand il m’encule, sentir son vit me pénétrer de tout son long, jusqu’à sentir ses couilles frapper ma chatte liquéfiée. C’est si bon de sentir son corps m’envahir entièrement, de me sentir ainsi possédée. Je me sens femelle. Je ne me contrôle plus. J’aimerais sentir sa queue pénétrer simultanément tous mes trous, me sentir de partout envahie par son désir ardent. J’aime sentir son désir pour moi, j’aime le sentir monter et exploser en moi. J’aime le sentir jouir aussi bien dans la chatte que mon cul ou ma bouche. C’est délicieux de sentir son jus chaud se déverser sur ma langue, puis dans ma gorge, boire son désir ; j’adore son goût légèrement amer, mais si doux. C’est si jouissif quand il m’offre ainsi son plaisir. Son désir est pour moi, sa jouissance est pour moi. J’aime l’entendre dire que je suis belle quand je jouis, qu’il aime ma bouche, ma chatte, mon cul, ma peau. J’aime me découvrir à travers son regard et ses mots. Ses mots m’excitent, j’aime leur violence, ce contraste avec la prévenance de ses gestes. Il flatte mon corps qu’il a apprivoisé. Je m’offre à lui malgré moi, sans résistance. Je veux sa peau contre la mienne, mon corps le réclame encore et encore, sans pudeur ni inhibition. Je me sens belle, sensuelle. Mes sens se sont réveillés sous ses doigts. J’ai découvert mon corps à travers ses caresses, le goût de ma chatte et de mon cul. Il a attisé ma curiosité à goûter une femme, comprendre ce qu’il ressent, ce qui l’excite tant quand il me bouffe la chatte, quand il introduit sa langue dans mon petit trou. J’ai découvert en moi une femme que je ne connaissais pas. Je me sens scandaleusement perverse, et en suis fière.