Comme un rêve ...
Le 21/04/2014
LUI : J’ai faim ... ! Mon appétit est vif
J’ai faim... J’ai froid, sans Elle
J’aurai faim, et froid... faim et soif et froid et brûlant d’ardeurs
J’aurai mal... et je serai vide et seul sans VOUS souffrant les plus délicieux maux de l’absence, moi qui suis plein de toi
ELLE : Je me sens Amoureuse de vos mots, d’une voix sûrement ... de mots ... dits ... et non-dits ... ! Perdue, toute seule, à la croisée des chemins
LUI : Les chemins qui se croisent ne doivent pas être décroisés ... seules vos jambes peuvent l’être !!!
ELLE : A la croisée de nos chemins parallèles … Sans Vous pour me tenir la main ... me tenir la main, me tenir par la main, autant que par la fleur de mes seins, ou par les brins de mon gazon
LUI : Oh, comme j’aimerais qu’ELLE soit avec moi, sur moi, en moi ...
Partager avec ELLE toutes ces merveilles ...
Chanter en Italien ... la faire chanter ... ne serais je pas son professeur ?
ELLE : Me pendre à son bras ...
Parcourir les ponts, les ruelles ...
En lui murmurant à l’oreille ...
LUI : … Des choses que je sais ... que je sens ...
ELLE : Car je vous devine. .. je vous devine, oui, mais je crois surtout que je vous pressens …
Et plus tard, dans la chambre ...
Vous offrir mes seins, mon ventre, mes flancs ...
Vous offrir mon entrecuisses ...
LUI : Vous regarder m’ouvrir vos cuisses, votre regard implorant que mon visage s’y enfouisse…
ELLE : Pour que tu t’y glisses ... découvrir sur l’étoffe de ma culotte mes senteurs de femme
LUI : Te caresser ... Te mordre ...
Pétrir tes épaules ... tes cuisses. ..
Te couvrir de baisers ...
Glisser le long de ton corps ...
ELLE : Glisse doucement, lentement, glisse toi encore, patine sur mon corps !
T’apprendre à aimer ce que j’aime ...
LUI : t’apprendre ce que j’aime, découvrir ce que tu aimes, ce que tu as toujours rêvé vouloir aimer ...
ELLE : Je veux qu’un jour tu aies envie de me dire : "Je t’aime ..."
Je ne veux pas d’une relation ordinaire ...
LUI : Je veux une relation hors de l’ordinaire, je veux n’importe quelle relation qui ne soit pas mièvre, ni vulgaire ni inutile ni en demi teinte
ELLE : Je veux une relation qui enrichisse, qui fasse décoller et le cortex et les sens.
Je veux que le matin, au réveil, Vous puissiez voir mes yeux, mon sourire ...
Même si je suis loin de Vous ...
LUI : Tout comme je veux que tu découvres et redécouvres mon regard quand tu ouvres les yeux, je veux qu’à ton réveil, chaque matin, tu aies envie de prendre ton petit déjeuner assise toute nue devant moi, que tu ressentes une intense envie te tordre le ventre, je veux que les désirs que tu éprouves, toutes les formes de désirs, t’embrasent la tête et t’inondent les cuisses
ELLE : Je veux tant sentir que vous ayez hâte d’entendre ma voix ...
LUI : Je veux que ma voix Vous berce et Vous fasse frémir, qu’elle TE caresse ou TE cingle
ELLE : Je voudrais votre sourire en m’imaginant, nue, sous une chemise à Vous,
Bien trop grande pour moi ...
Me penchant contre Vous
La chemise s’entrouvrant ...
Sur mes seins ... sur mon ventre ...
Je désire tant vous enivrer de mon odeur ...
ELLE et LUI… Que vont-ils encore désirer ? Quand … ?
LUI : offrez moi vos odeurs, vos senteurs, osez me révéler les parfums de votre chatte, ses saveurs lorsque Vous êtes excitée comme une chatte en chaleur,je veux respirer vos aisselles et découvrir leur musc ambré, j’attends que tu m’offres sans pudeur les effluves de ton cul ...
ELLE : Je brûle que vos mains me caressent ...
Avec une infinie tendresse ...
Puis, qu’elles s’emparent de mes fesses ...
Et me plaquent contre Toi ...
Je rêve que tu enfouisses ta tête dans mon triangle d’or
LUI : dehors, dedans, dans les rues, sous un bois, au cinéma, au fond d’une ruelle …
Laissez -vous envahir par cette douce chaleur
Cette brûlure qui réveille vos sens endormis
Laissez -vous bercer par mes mots à toute heure
Vous qui commencez à le désirer aussi ...
VOUS ...sur notre petite nuage !
ELLE : Je veux sentir le désir parcourir votre corps ... enflammer votre cœur comme votre esprit. Que votre sexe se fasse dur dès que je m’approcherai ...
Laissons –nous envahir par cette frénésie
Cette passion si récente qui nous relie
Laissons-la s’immiscer doucement en Nous
Toi ... qui doute encore de moi parfois ...
Vous et moi ... sur notre doux nuage !
LUI : Que ton sexe coule dès que tu m’aperçois, même de loin !
Que jamais je ne sois pour toi assez proche ...
Je veux que nous soyons Passion ...
Que nous soyons Fusion ...
Je veux que nous nous désirions ...
Bien au-delà des mots ... Bien au-delà des gestes ...
Laisse-toi envahir par cette tendresse
Mes caresses tant voulues
Laisse-les atteindre ton coeur avec adresse
Toi ... qui avais peur de l’inconnu !
Toi et Moi ... sur ce petit nuage !
ELLE : Que nous soyons amants, amoureux, complices ...
Que nous soyons rhapsodies, symphonies, cantates ...
Que nous soyons notes, et silences ...
Qui prolongent les notes ...
Que nous soyons poèmes ...
Que nous soyons violons ...
Jouant à l’unisson ...
Laissons-nous envahir par ce bien être
Ces instants de complicité
Laissons-les en toi et moi naître
Toi et Moi ... qui commençons à nous envoler !
Toi ... sur un petit nuage !
Laisse -toi envahir par cette chose
Ce brasier au creux de Toi
Laisse-le se raviver pour que cet Amour éclose
Toi ... qui tendrement, délicatement ... n’a plus froid !
LUI : Je veux, je voudrai parfois que tu sois sans culotte pour que tu te sentes offerte
attise mon corps, couvre le de tes désirs, inonde moi de tes envies, et de ta jouissance, frotte ta chatte à mon torse, à mes lèvres, viens sur moi, accroupie, marque mon corps des traces de tes envies mouillées
que ton sexe coule dès que tu m’aperçois, même de loin !
Que jamais je ne sois pour toi assez proche ...
Je veux que nous soyons Passion ...
Que nous soyons Fusion ...
Je veux que nous nous aimions ...
Bien au-delà des mots ... Bien au-delà des gestes ...
Que nous soyons amants, amoureux, complices ...
Que nous soyons rhapsodies, symphonies, cantates ...
Que nous soyons notes, et silences ...
Qui prolongent les notes ...
Que nous soyons poèmes ...
Que nous soyons..." Je t’aime..."
Que nous soyons violons ...
Jouant à l’unisson ...
Ô, combien j’aspire à te faire terriblement frémir, languir, tressaillir tes fesses, ma promesse !
Arpège Majeur