Brève rencontre
Le 12/04/2009
Je décidais de prendre mon après-midi. Le boulot m’oppressait, je voulais me changer les idées, me détendre. Alors, programme Spa. J’appelle le centre des Cinq Sens et leur réserve une séance massage – relaxation et soins du corps pour la fin de l’après-midi. Mais avant tout, passage à l’hypermarché du coin, histoire de remplir ce frigo de célibataire trentenaire, me disant qu’après la séance de ce soir, je n’aurai aucune envie de ressortir.
Je déambule dans les allées de cet hyper, peu de monde, il est vrai qu’à cette heure nombreux sont les clients plutôt au travail. Au détour d’une allée, une femme, de quelques années mon aînée me croise. Je la regarde. Jolie femme, apprêtée, séduisante… Nous nous retrouvons dans une autre allée, nos regards se croisent. Je lui souris, elle me sourit. Je m’éloigne, et vais à la caisse. Elle me rejoint derrière deux autres clients, je lui adresse un petit clin d’œil, nouveau sourire… Je pars au parking, pose mes affaires dans la voiture, et me retourne, la scrute. Elle arrive. Bizarrement, mon cœur bat plus fort tout à coup. Je la laisse poser ses affaires dans son coffre. Lorsqu’elle se penche, sa jupe remonte sur ses jambes et offre à ma vue des collants imprimés très séduisants. Je m’approche.
« - Madame, vous avez illuminé mes courses par votre beauté.
Merci pour ce compliment, Monsieur, c’est rare de nos jours.
Il est vrai que ce n’est pas le meilleur endroit pour faire une rencontre mais vos yeux pétillaient et je n’ai pu me retenir de vous cligner de l’œil.
C’est effectivement amusant… (silence)…
Auriez-vous le temps de prendre un café ?
Avec plaisir, ma journée est très morne ces temps-ci. »
Nous fîmes ainsi connaissance. Elle me raconta ses années de mariage, les enfants qui grandissent, le mari plus concentré sur son boulot. Son délaissement progressif… Je lui pris la main, elle s’approcha, je l’embrassai. Elle éprouva une certaine gêne, qui ne dura qu’un instant et m’embrassa de plus belle. Elle me dit : « - Allons chez toi, maintenant ! »
Nous montâmes dans ma voiture, et ma main passait sans cesse du levier de vitesse à sa cuisse. Elle me caressait également, me malaxant la verge de plus en plus fort. En entrant dans le parking souterrain, elle se baissa et ouvrit mon pantalon. Elle commença à sortir mon pénis, et à le caresser de plus belle. Elle me branlait vigoureusement maintenant. Je me garais rapidement. Elle se mit à me sucer, une main sur mes boules, un doigt entre mes fesses… Je la sentais impatiente. Je glissais ma main sous sa jupe et sentis son string sous son collant. Je lui proposais de monter chez moi. Dans l’ascenseur, à peine rhabillé, je la serrai contre moi, lui passait la main dans le chemisier. Au diable si nous trouvions des voisins… Une fois chez moi, je l’emmenai au salon, et l’assis dans le sofa. Je remontais sa jupe, entrepris d’enlever son collant, en prenant soin de lui caresser chaque jambe délicatement. Elle fut parcourue de frissons. Quelques poils dépassaient de son string. Ma langue goûta son intimité à travers cette lingerie raffinée. Mes mains ouvrirent délicatement son chemisier, laissant apparaître une très jolie poitrine rebondie… Les tétons pointaient sous le tulle. Elle respirait plus vite. Ma langue découvrait ses lèvres, déjà gonflées et humides.
Elle se laissait aller entièrement à mes caresses et à ma langue… Toute haletante, elle ne cessait de pousser des petits gémissements. Mes doigts découvraient ses lèvres, allaient et venaient en elle… Elle me prit la main et suça chacun de mes doigts, j’étais excité comme un fou. Je jouais avec son clito, le faisant venir entre ma langue et mes lèvres, le pompant par instants, puis le mordillant à d’autres… Mes doigts passaient entre ses fesses, qui se raidissaient à chaque passage. Un petit « non » soufflé quand je titillais son anus… Ses tétons encore plus durs étaient des appels à ma bouche, et j’entrepris de m’en occuper. Ayant repris un peu de hauteur, elle vit que ma verge atteignait son niveau. Elle l’empoigna et me caressa les bourses avec vigueur… Ma queue entière s’engouffra dans sa bouche. Une multitude de sensations m’envahirent, la chaleur, l’humidité, ses dents, sa langue. Je faillis jouir en elle sur l’instant. Je me retirai et alla habiller ma verge de sa petite protection plastique, et retournai ma partenaire.
Ses fesses offertes devant moi, je la pris par derrière. Son vagin chaud et humide coulissait admirablement. Je la sentais se contracter autour de ma verge. Elle était joueuse, j’entrepris de jouer avec elle. Variant le rythme et ses halètements, je faisais monter la tension, puis la faisant redescendre quand je la sentais venir… Chaque fois qu’elle était au bord de l’explosion, un de mes doigts s’introduisait dans son anus, et je l’entendais me dire à nouveau « non », de plus en plus catégoriquement à chaque fois. Ce qui avait pour effet de faire retomber son excitation, mais également de lui ouvrir un peu plus cette petite rondelle si défendue. J’entrepris alors de la faire jouir. Mes pénétrations étaient plus vigoureuses, plus rapides, plus … exploratrices… Elle commença à geindre, puis ce furent des vrais cris « encore, continue », et enfin un long râle de plaisir… Je décidais alors d’introduire mes doigts dans son anus, offert à moi. Elle jouissait de plus belle et criait. Elle se rendit compte que j’étais en elle à la fin de son orgasme, et me remercia « oh, ça aussi, c’est bon en fait »… Je venais de dépuceler l’anus d’une séduisante mère de famille de 36 ans… Quelques mouvements de bassin à nouveau en elle, et je me mis à jouir moi aussi…
Nous restâmes l’un contre l’autre sur ce sofa quelques minutes. Puis, elle me demanda de la ramener, nous ne parlâmes pas beaucoup durant le trajet, mais à chaque fois, c’était ponctué de sourires malicieux de sa part. J’avais complètement oublié ma séance de spa, mais j’étais aussi bien détendu… Nous nous revîmes durant plusieurs semaines. Nous fîmes l’amour presque à chaque fois… Elle se libéra de son attitude sexuelle très conventionnelle pour devenir une vraie tigresse… Puis, un jour, après une séance encore plus délurée, que je vous raconterai plus tard, peut-être, elle me dit : « - C’était notre dernière fois, notre rencontre m’a permis de reconquérir mon mari. Nous faisons l’amour presque comme avec toi, mais maintenant, je sais que c’est Lui, mon Homme. » Je l’ai laissée partir, en lui souhaitant beaucoup de bonheur et d’épanouissement… Cette histoire avait duré 6 mois… ce fut ma plus belle période sexuelle…
Arnaud, Bordeaux.
Commentaires (2)
Jolie histoire ...
Quand la monotomie s’installe dans le foyer, je crois qu’il ces genres d’escapage pour remettre du pement dans notre vie sexuelle au foyer.