Bière savoureuse

Le 26/06/2012

Depuis quelques temps je suis en vacances chez toi. Ces quelques semaines ensemble nous permettent de nous retrouver avant d’affronter encore une fois les longues semaines de séparation. Malheureusement, même si moi j’ai pu avoir un congé, il n’en va pas de même pour toi, et je passe mes journées seule à attendre ton retour.

Si j’arrive à m’occuper une bonne partie du temps, les dernières heures de la journée sont toujours interminables. Aujourd’hui j’ai décidé de te faire une surprise pour te délasser à ton retour du travail. Alors dès le début d’après-midi je m’active. Je sors en ville me trouver de nouveaux sous vêtements. Je me plais à imaginer ton regard appréciateur qui court sur mon corps. Je me fixe sur un ensemble gris satiné, avec un soutien-gorge qui met en valeur ma poitrine, et le string assorti.

Puis je rentre, prends une douche. J’adore sentir l’eau ruisseler sur mon corps. J’oriente le jet de façon à ce qu’il coule sur ma nuque, pour me détendre. J’imagine que ce sont tes lèvres qui remplace le jet d’eau. Rien de tel pour m’allumer et tu sais en jouer. Mais ce soir, mon cher, c’est moi qui te chaufferai. A cette idée, je laisse mes mains vagabonder sur mon corps. Elles pressent mes seins l’un contre l’autre, avant de s’aventurer plus bas. Ma chatte est épilée intégralement comme tu l’aimes et à peine l’ai-je effleurée qu’une décharge électrique me transperce le bas ventre. Je ne peux résister à changer l’orientation du jet d’eau et de le diriger vers mon sexe. Écartant mes lèvres d’une main et tenant la paume de douche dans l’autre, je titille adroitement mon clitoris avec l’eau. L’abandon est très tentant mais je me réserve pour toi. A mon grand regret je coupe l’eau et sors de la douche. Je n’ai pas vu le temps passer et tu ne va pas tarder. Je me presse d’enfiler mes nouveaux dessous, me maquille, et complète ma tenue par une paire de talons aiguille noirs.

J’entends ta clé s’insérer dans la serrure et je m’empresse de me faufiler dans la cuisine. "Je suis rentré" que tu m’annonces depuis l’entrée. Puis je t’écoute te diriger dans le salon, t’asseoir dans le canapé en soupirant. C’est le moment que je choisi pour entrer en scène. Du frigo, je sors une canette de bière bien fraîche que je t’apporte. Tu te retournes en entendant mes talons claquer sur le sol et quand tu me vois, pas un mot, mais tes yeux parlent pour toi. Je te sens me déshabiller du regard tandis que je me plante devant toi, aguicheuse au possible. Je te tends la bière que tu acceptes avec gratitude et alors que tu en bois la première gorgée je me glisse au sol entre tes cuisses. Mes mains, expertes, ne s’embêtent pas longtemps avec ton pantalon. Je fais adroitement sauter le bouton et ouvre ta braguette avant de libérer ta queue déjà raide. Plantant mon regard dans le tien, j’approche doucement ma bouche de ton sexe et le lèche lentement sur tout son long, des bourses jusqu’au gland. puis, je me concentre uniquement sur ce dernier : le titille, l’agace avec ma langue que je fais aller et venir sur ta petite fente. Et sans prévenir, j’avale ta queue toute entière, t’arrachant un gémissement de surprise et de plaisir mêlés. J’adore te sucer, et sentir ta queue gonfler dans ma bouche, c’est pourquoi je m’active sur ton sexe sans te laisser de répit. Je vais et viens, les lèvres serrées sur ta verge, de plus en plus vite. Toi, tu continues de siroter ta bière en me regardant te sucer.

Quand ta main se glisse dans mes cheveux je sais ce que tu veux. Je te laisse faire. Tu rassembles mes cheveux en une queue de cheval avant de m’enfoncer ton sexe encore plus profondément en bouche. Je sens ma chatte commencer à mouiller devant un tel traitement. Tu baises ma bouche comme n’importe quel autre de mes trous. J’aime cette sensation de soumission.

Puis tu t’arrêtes. Me relève la tête et cherche mon regard. Tu n’as pas besoin de parler je lis dans tes yeux que je t’ai fait envie, que tu ne comptes pas t’arrêter là, et surtout, que je vais prendre cher. Me tenant toujours par les cheveux, tu te lèves et me relèves par la même occasion, avant de me traîner vers la table de la salle à manger. Tu écartes d’un grand geste les papiers qu’il y avait dessus et me plaques poitrine contre la table.

Tu n’as pas lâché ta bière, je t’entends boire les dernières gorgées pendant que je reste là, complètement offerte, le cul tendu vers toi. Cette attente, de savoir ce que tu me réserves, me fait mouiller de plus belle. Tu te plaques contre moi, m’embrasses dans le cou puis descends avec de petits baisers le long de ma colonne vertébrale. Tu dégrafes et m’ôtes mon soutien gorge quand tu le rencontres, et continues ta lente descente. Arrivé à la naissance de mes fesses, tu fais glisser mon string sur mes chevilles.

D’une main, tu agrippes un de mes seins, et de l’autre tu joues à ton tour avec mon sexe. Ton doigt s’insinue entre mes lèvres et vient titiller mon clitoris. Je gémis sous tes caresses. Mes gémissements redoublent quand ta langue vient remplacer ton doigt. Elle passe repasse sur mon clito, me lèche toute entière avant de me pénétrer. Mes jambes tremblent sous le plaisir, et ne voulant pas me faire défaillir trop vite. Tu ralentis le mouvement avant de le stopper complètement. Puis tu me penches sur moi et me murmures à l’oreille "tu sais ce que je veux t’entendre dire"...

"Encule-moi !!". Les mots sortent de ma bouches avant même que j’ai pu le penser. Mais une fois prononcés je sais que c’est ce que je veux aussi. Tu ne te fais pas prier. Et je sens ton sexe qui appuie qui mon petit trou. Malgré ton désir que je sais brûlant tu fais bien attention à ne pas me faire mal et tu prends délicatement mon cul. Une fois que je t’ai entièrement en moi tu commences tes vas et viens. Je ne gémis plus, je crie de plaisir. Tes mains sur mes hanches, renforcent la puissance de tes coups. Je cambre le dos pour mieux te sentir. J’adore quand tu m’encules comme ça, par derrière, comme une catin.

Je te sens ralentir le rythme, surement pour ne pas venir trop vite. Mais hors de question de te laisser faire. Je vais et viens moi même, faisant aller et venir ta queue dans mon cul. "salope tu vas me faire jouir". Je sais, je le veux, je suis proche de la jouissance moi aussi. Tes mots décuples mon ardeur et je bouge encore plus rapidement. Tu reprends le contrôle pour m’infliger quelques coups de butoirs bien mérités et qui ont raisons de nous deux. Nos râles se mêlent alors que tu gicles dans mon cul et que je jouis à l’unissons.

Épuisé mais plus que satisfait tu me retournes, et me serres dans tes bras. Blottie contre ton torse je savoure ces derniers instants d’abandon...Je t’aime.

[gris]Tia[/gris]