Jambes et souffles mêlés. Variété des sons : respiration précipitée, ahanement après effort, soupirs qui s’éternisent, saccades du souffle déclenchées par la surprise. De sa bouche, dans l’entrejambe, il goûte la jouissance. Il s’amuse à la prolonger. (...)
La porte grinça tout doucement et Simon apparut. Il était encore en tenue de travail puisqu’il était de quart à la passerelle et était à ce moment censé faire sa ronde sur le navire. Sa cotte de travail de matelot, orange, éblouit mon visage dans la (...)
Tu rentres du travail, et je t’accueille… les scènes tu les choisies, chambre-salle à manger, ou salle à manger et chambre. Je te déshabille, tu m’effeuilles, et l’on se découvre… tu t’allonges je te masse, huile sensuelle, tes petites fesses en premier (...)
C’est par là qu’il faudra qu’il commence. Se délecter de la beauté d’abord. S’imprégner des sensations que l’élaboration de cette beauté a occasionné chez elle à l’idée de la lui présenter. Au bas de la ligne les deux renflements bien dégagés laissent deviner (...)
La demeure de ma tante est emplie d’une atmosphère d’intimité. Les personnes que l’on peut y croiser échangent avec vous les plus beaux sourires et vous adressent des regards confiants et amusés, et pas seulement parce que je ne suis aux yeux de la (...)
Immobile à coté d’elle je la regarde en coin par-dessus mon bouquin et une curiosité s’éveille sur le sens de cette nuisette ce soir. Je me prends à rêver qu’il s’agit d’un message à mon intention, les femmes ont parfois de ces façons de nous manifester (...)
On était dimanche, 17h32 quand je lui ai envoyé ce texto. A 21h, il sonnait à l’interphone. J’avais mis de très jolis dessous en mousseline transparente, des bas noirs et des richelieus à talons. Je ne portait qu’une queue de pie de costume d’homme (...)
Je cliquai sur « Envoyer » et il ne me restait plus qu’à attendre les réponses des hommes correspondant à mon annonce : des hommes très joueurs dotés d’un solide sens de l’humour. Je m’étais rendue compte qu’Internet était le seul moyen de réaliser mon (...)
Mon adolescence me servit à affiner mes techniques avec l’innocence d’une Lolita. Je savourai mes petits plaisirs, quitte à passer pour la distraite de service. Il manquait souvent deux boutons à mon chemisier. De sorte que chacun pouvait avoir une (...)
Mon collaborateur est un homme à femmes, un dragueur qui ne se prive pas de faire des remarques qu’on pourrait considérer comme déplacées. Entre nous, l’ambiance est sympa, on s’entend plutôt bien. J’aime les regards admiratifs qu’il pose sur moi, je les (...)