Un délicieux cadeau

Le 14/08/2009

Les rues de Paris sont désertes en aout. Les parisiens ont fui et les touristes se réfugient dans les musées à l’ombre des climatiseurs. Presque seul, je marche, depuis une heure, à la recherche d’un cadeau pour mon oncle. « Quelle idée de naitre en plein mois d’aout ! » me dis-je sans la moindre idée de ce qu’il conviendrait d’acheter.

Soudain, je tombe nez à nez devant la vitrine d’un magasin de cigares. Je sais mon oncle amateur de bonnes choses et une boite de cigare devrait le séduire. J’entre dans l’échoppe. Des milliers de cigares se présentent à moi et toute l’Amérique du Sud est à ma disposition. Lequel choisir ? Face à ma perplexité, une vendeuse s’approche de moi. « Puis-je vous être utile » dit d’elle d’une voix très douce. Je lève les yeux et découvre devant moi une ravissante dame toute en rondeurs gracieuses. Je lui explique mon idée et lui faisait part de ma totale ignorance du sujet.

Elle commence alors à m’expliquer les différence entre tous ces vitoles. Je ne l’écoute que d’une oreille. Je suis obnubilé par ces formes, ses fesses rondes, ses seins généreux que je devine au travers de son corsage. Mon sexe se durcit et je dois glisser ma main dans la poche de mon pantalon pour cacher mon érection naissante. Je me masturbe lentement tout en essayant de suivre le fil de ses propos. Elle me pose mille questions sur mon oncle, ses gouts culinaires, ses vins préférés afin de l’aider à dégoter le cigare le plus à même de lui convenir. Mes réponses à retardement trahissent mon absence totale de concentration.« Le jeu du plaire à l’ingénue » comme on dit. Elle choisit un cigare et me proposa de le déguster dans une salle attenante à son échoppe. J’acceptai.

Pendant que je me lovais dans un grand canapé en cuir, elle me présenta le cigare, me le fit sentir, fumer à cru puis l’alluma. Elle tira plusieurs fois dessus et me le tendit. En humectant le cigare, je sentit l’humidité de sa salive. Cette sensation inédite gonfla mon désir. J’avais, sans m’en rendre compte, enlevé ma main de ma poche depuis un moment et mon sexe était tendu et saillant. Lorsque j’ouvris les yeux, ma vendeuse déboutonnait lentement, un à un, ces boutons en me souriant. Je fumais mon cigare nerveusement. La pièce se chargeait de fumée au fur et à mesure qu’elle se déchargeait de ses vêtements. Nue devant mes yeux, elle me fit signe de continuer à fumer. Elle se caressait doucement, ses doigts pétrissaient ses tétons dressés puis ses mains empoignaient ses seins avec plus de vigueur.

Lorsqu’elle s’approcha de moi, je voulu poser le cigare mais son regard me fit comprendre que je devais rien changer à ma posture. A genoux, elle caressera sensuellement mon sexe au travers de mon pantalon. Le « foin » était consommé, j’attaquais le « divin » quand elle déboutonna mon pantalon. Elle encercla alors mon sexe entre ses seins et se mis à me masturber. Je ne cachais plus mon désir et l’exprimais à pleine voix. Tout en masturbant ma verge entre ses seins elle titillait mon gland avec sa langue. Je ne savais plus où j’étais.

Son jeu s’intensifia lorsqu’elle engouffra mon sexe dans sa bouche brulante. Jamais une fellation n’avait été aussi sirupeuse. Sa langue effectuait des aller-retour le long de ma verge. Elle aspirait langoureusement mon gland, le mordillait puis redescendait. J’avais toutes les peines du monde à me retenir de jouir. Le contact de sa langue sur mes testicules éleva encore d’un cran mon excitation.

Il fallait tenter quelque chose pour éviter l’inondation. Je lui proposa d’une voix fluette et hésitante d’échanger les rôles. Elle accepta en m’ôtant le cigare de ma bouche. Elle s’allongea en travers sur le grand canapé. Je me mis immédiatement à mordiller ces tétons et à caresser ses seins lourds et puissants. Je frottais mon visage contre eux et léchais pleinement son corps. Elle émettait de langoureux soupirs ponctuées de grande bouffées de fumée.

J’interprétais ces signaux de fumées comme une invitation à poursuivre la dégustation et descendis lentement vers son sexe. Je compris alors que la belle avait déjà éprouvé beaucoup de plaisir. Son sexe était trempé. Je me mis alors à aspirer son foutre et à lécher de haut en bas sa chatte. J’engouffrais ma langue à l’intérieur de son sexe puis remontait aspirer son clitoris dans ma bouche. Une fois son bouton entre mes dents je venais le titiller avec ma langue. Le mélange de foutre et d’arôme de tabac se mariait admirablement. Ma vendeuse s’exaltait et exprimait son plaisir au travers de cris brefs qu’elle tentait tant bien que mal de retenir.

Elle me rendit alors le cigare et me fit signe de me rasseoir. J’aspirais la fumée quand elle fit pénétrer ma verge capotée dans son sexe chaud et humide. En appuyant ses mains sur mes épaules, elle entama une danse nuptiale composée de va et vient incessants qui décuplait nos plaisirs. J’étais au comble du bonheur, ma respiration était si rapide que la tête du cigare rougissait. Je ne pensais plus qu’à deux choses : retenir mon éjaculation pour préserver l’instant et ne pas bruler ma douce avec mon cigare.

Ses mouvements s’étaient considérablement accélérés lorsque j’atteignis le purin du vitole. Elle criait son plaisir à pleins poumons tandis que le cigare me brulait les lèvres. Pris dans un demi-apnée, je ne pu retenir mon sperme qui jaillit par à-coups. A la même seconde, je sentis son sexe se contracter violemment. Elle jouissait d’une telle force que le reste de sperme présent dans mon pénis s’éjecta en me procurant presque un second orgasme. Nous étions aux anges dans un demi-rêve. Un quart d’heure plus tard, je sortais du magasin avec une boite de cigares dans un papier cadeau. Je n’y connais toujours rien en cigares mais désormais j’en porte un dans mon cœur !

Anonyme

Commentaires (1)

  • c

    Merci, un délicieux cadeau, pour un mois d’Août à Paris.
    N’y a t’il pas une autre naissance ? un amateur de beaux vêtements dans votre famille ?

    ,-)