Par hasard
Le 07/07/2012
Cette nuit où nous nous sommes rencontrés par hasard dans un bar de la ville. Je ne te connaissais pas, mais une attirance physique pour toi a mis mes hormones en ébullition. Ton regard, insistant, m’empêchais de me concentrer sur la conversation que tenaient mes amies, je prétextais alors un appel important pour m’isoler dans un endroit à l’abri des regards, tu compris de suite là où je voulais en venir. Tu m’as rejoint quelques secondes plus tard, j’eu à peine le temps de me retourner que tu étais déjà là, derrière moi. Quand tu as posé ta main dans mes cheveux et que je l’ai senti doucement sur ma nuque m’attirant vers toi, je savais que cette attirance étais réciproque.
Ta bouche pulpeuse posée sur la mienne ,descendant petit à petit sur mon cou, puis ta langue brulante s’infiltrant dans mon décolleté, me léchant les seins, les mordillant, m’électrise. Je glisse ma main délicatement dans ton pantalon pour y caresser ton pénis, qui révèle de toute évidence prouvais ton désir de me sauter. Doucement je relève ton t-shirt pour pouvoir te lécher le torse à mon tour, tout en me baissant lentement pour atteindre avec ma langue ton sexe, déjà en érection. Je le lèche avec délectation de bas en haut comme une glace qui s’apprête à fondre. Ton pénis dans ma bouche, tu m’attrape par les cheveux pour accélérer le va-et-viens de cette fellation si intense qui nous excite tous les deux. Soudain tu me relève, en soulevant ma jupe pour laisser glisser tes doigts sur ma cuisse puis dans mon vagin, vite remplacés par ton pénis si dur et si chaud. Plaquée contre un mur, une jambe relevée, tu me prend si sauvagement que j’en oublie où nous sommes. J’aime cette sensation, cette situation, mais j’ai envie de plus, je me retire et me retourne tout en te chuchotant "prend moi par derrière". Tu t’exécute sans un mot. J’entends ta respiration rapide et le plaisir que tu prends à me baiser, je sens la fin arriver, tu éjacule dans mon cul avec une telle jouissance et te retire toujours sans dire un mot.
Je ne m’étais jamais offerte à un inconnu, dans un lieu public. Cela fais six mois que l’on ne s’est pas revu, pourtant je sens encore ton corps contre le mien.
[gris]Gisèle[/gris]
Commentaires (2)
c’est un récit direct qui décrit ton plaisir à l’état brut. Merveilleux !
C’est exact Adrien, mais je le trouve un peu court et trop rapide. Peut être comme l’acte décrit !