La douceur de mes caresses…
Le 13/04/2009
Mes seins sont lourds, alors j’aime les sortir de mon pull, retirer mon soutien gorge, et les tenir à ma disposition, pour les regarder, les caresser, ou imaginer que quelqu’un le fasse. Ma peau est tendue à cet endroit, comme un sexe extrêmement lisse et lourd, la peau est d’une grande douceur, le mamelon très dur. Mes seins sont dressés, et le moindre frôlement me met en émoi.
Une nuit j’ai entièrement rasé ma chatte, les lèvres intérieures, les abords, le haut des cuisses, l’aîne, et lorsque je l’ai fait, devant un miroir grossissant, la simple vue du rasoir passant sur les lèvres a fait sortir mon clitoris, et ce qui était au départ une paire de grandes lèvres fermées s’est entrouvert pour laisser l’aperçu luisant et rouge sombre du haut des lèvres intérieures. Alors, toujours en regardant mon sexe dans le miroir, j‘ai passé mon doigt pour entrouvrir progressivement les lèvres, et j’ai écarté suffisamment les cuisses pour qu’on voit maintenant l’intérieur du sexe, les petites lèvres roses, un peu marron sur le bord, le haut des lèvres harmonieusement en corole autour du clitoris rose et érigé , et en écartant le bas des petites lèvres, j’ai découvert l’entrée du vagin, comme une corole repliée.
Très excitée par ce que je voyais, j’ai commencé à me caresser à l’aide de mon doigt. Mais au bout d’un moment, j’ai eu envie de pénétrer à l’intérieur du vagin, tout en continuant de me regarder faire dans le miroir grossissant. J’ai réussi à faire pénétrer deux doigts, et j’ai introduit le pouce dans mon anus, pour rendre la jouissance plus forte. Mais elle ne fut pas suffisante à calmer mon désir. Pour tenter de me faire jouir encore, dans l’espoir de calmer mon excitation, j’ai introduit dans mon vagin un objet rond et long, et j’ai commencé un mouvement de va-et-vient, de plus en plus rapide. Comme la posture ne pouvait pas tenir longtemps, je me suis assise au rebord de la baignoire, les jambes écartées, le miroir posé, entre les jambes, sur un tabouret, et j’ai pu m’adonner à ma masturbation en regardant tour à tour ma chatte et son godemiché, mes seins, mon visage, dans les miroirs que j’avais disposé autour de moi. Puis je suis allée m’allonger sur mon lit, avec un miroir grossissant sur pied entre les jambes, et j’ai profité du fait d’être allongée pour utiliser un second godemiché plus petit, que j’ai introduit dans mon anus lorsque celui-ci a été suffisamment ouvert. Je me suis branlée très violemment, en poussant des cris sauvages, en proférant des paroles obscènes, et j’ai sorti le godemiché principal que j’ai mis dans ma bouche, et j’ai fini de me masturber en mettant les deux mains entre mes jambes, et en leur imprimant un mouvement de va-et-vient qui a déclenché une jouissance spasmodique… un liquide fluide et chaud s’est répandu sur mes mains, dont je me suis enduit les seins…
A plusieurs reprises au cours de cette même journée, à n’importe quel moment, peu importait mon activité, j’ai plongé ma main dans ma culotte et j’ai fouillé avec mes doigts, mes grandes lèvres, les petites, le clitoris, et je me suis branlée en une minute chrono. En me couchant le soir, je me suis rendue compte que la peau des grandes lèvres, sans les poils pubiens, était d’une infinie douceur, à peu près comme celles de la bouche, et que, sans la protection des poils, elles étaient exposées sans cesse, comme le gland dénudé d’un pénis, aux frottements. Comme je viens juste de les raser, mes lèvres sont d’une énorme sensibilité, ce qui fait que je suis obsédée par le sexe, en permanence. Je touche une surface et je sens l’humidité monter entre mes jambes, je regarde un objet qui ressemble à un pénis et, si je suis seule, je le porte à ma bouche.
Sur l’autoroute, un matin de la semaine, je me suis rabattue sur la file de droite, entre deux camions, et tout en continuant de rouler, j’ai passé ma main dans ma culotte et j’ait introduit deux doigts dans mon sexe, en un mouvement extrêmement doux de masturbation, que j’ai fait durer des kilomètres. Puis, avisant une station service, je me suis arrêtée, et j’ai parcouru les rayons à la recherche d’un objet pourme pénétrer. J’ai porté mon choix sur un flacon de déodorant pour homme, puis j’ai été dans les toilettes « Hommes », pour me l’introduire et me masturber sans faire le moindre bruit. J’ai entendu des hommes rentrer dans les cabines, et j’imaginais qu’ils sortaient leur sexe pour uriner, sans se douter qu’une femme se masturbait dans la cabine d’à côté, et cela redoublait mon plaisir. Lorsque j’ai joui, j’ai immédiatement sorti le flacon de mon sexe et l’ai porté à ma bouche. J’ai attendu qu’il n’y ait plus de bruit dans les toilettes, et je suis sortie.
J’ai été sur des forums de discussion sur la sexualité, parce que j’étais inquiète sur mes tendances hautement masturbatoires, et je me demandais si d’autres personnes étaient victimes des mêmes troubles que moi. Je n’ai trouvé que des propositions de sex’cam, et au bout de deux jours, j’ai sauté le pas. Comme je maitrisais bien mon exhibitionnisme à force de me regarder faire dans la glace, je me suis très exactement masturbée (les lèvres rasées, écartées, un objet dans le vagin, un objet dans l’anus, et mes mains pour les accompagner) devant l’œilleton de ma web cam, pendant qu’un homme se masturbait lui aussi en gros plan, ce qui était nettement moins intéressant que ce que je lui montrais. J’avais plus de plaisir à le rendre fou qu’à en regarder le résultat sur lui. Comme je ne voulais pas lui montrer mon visage, je n’avais cadré que mon sexe et il n’a pas vu lorsque j’ai retiré le godemiché de mon vagin pour le sucer…
Eda Mane
Commentaires (2)
trés excitant je me dois l’avouer ; j’aurais voulu être cette petite souris pénétrante, voyeuse et jouisseuse...peut être pour un prochain voyage aventure
J’aime bien le style sobre et sans emphase, les descriptions charnelles sans clichés, et le fait que l’auteure nous épargne la description d’un physique de mannequin en préambule à ses épanchements érotiques... Je ressens ça comme à la fois super intime et très partagé : un peu le vécu de chaque femme aimant le plaisir solitaire - avec les moments de grosse grosse envie, de 5 fois par jour, d’envie de se montrer ou pas, et les jours de pas du tout...