Huile et plaisir

Le 03/03/2009

Cela fait maintenant une demi-heure que j’observe son manège, il tourne dans les rayons en regardant autour de lui comme s’il allait tenter un mauvais coup. Je suis à côté des compléments alimentaires, en train de passer mes commandes. Je ne le quitte pas des yeux en essayant de rester discrète. Il doit avoir tout au plus 16 ou 17 ans même s’il a une taille adulte, au moins 1m80 à mon avis. Brun, les cheveux en bataille des jeunes d’aujourd’hui. Du charme malgré son jeune âge. J’imagine que je pourrais presque être sa mère ! Son regard croise furtivement le mien et comme un chat apeuré il continue à lancer ses yeux dans toutes les directions tout en faisant semblant de s’intéresser à quelques produits. Soudain, devant le rayon des huiles, je le vois glisser une bouteille sous son manteau. Le geste a été extrêmement rapide, personne ne l’a vu à part moi. Je vais le coincer à la caisse le petit salaud. Dès qu’il tentera de sortir du magasin, je l’arrêterai. Il faut que je prévienne quelqu’un pour qu’on soit deux.

Mais au lieu de se diriger vers les caisses, il se rapproche tranquillement de l’arrière du magasin, là où sont les toilettes. J’hésite. Que faire ? Je ne peux pas avertir tout le monde alors que je ne suis plus si sûre de moi. A-t-il réellement pris quelque chose du magasin ? Je n’ai plus vraiment de certitude. Sans m’en rendre compte, mes pensées m’ont conduite tout près de la porte du fond, là où il a disparu. Cette porte donne sur toutes les salles à l’arrière du magasin. Je la pousse doucement. Il fait sombre, je tends l’oreille. Rien. M’enhardissant, j’avance un peu dans le couloir sombre pas très fière de moi. Progressivement en avançant, une voix me parvient. En fait, je perçois plutôt des gémissements, des gémissements de plaisir ! Surprise, je n’en crois pas mes oreilles. Ce garçon est en train, là quelque part au fond du couloir, de se donner du plaisir. Sa jouissance monte dans le noir et m’enveloppe. A chaque fois que son plaisir s’élève, j’imagine sa main enserrant son sexe et lui procurant des ondes de volupté. Je sens mon ventre s’échauffer, ces cris m’électrisent, m’inondent le corps et l’esprit, coulent le long de mon dos jusqu’à mes fesses en faisant palpiter ma chatte. J’avance encore, sa jouissance vient du bout du couloir, près de la deuxième réserve que l’on n’utilise presque jamais. La porte est entrouverte et la lumière allumée. Je le vois, caché dans le noir. Il est assis par terre dos au mur, les jambes allongées. Sa tête est renversée en arrière, les yeux fermés, la bouche entrouverte laisse échapper des gémissements qui m’excitent. Mais ce qui me fascine c’est cette bite qu’il tient à pleine main. Une bite gorgée de puissance et de désir qu’il tend vers le ciel en faisant coulisser sa main serré autour. Quand sa main glisse vers le bas de ce sexe gonflé, je vois un gland violacé et distendu apparaître. Je suis tellement excitée par ce jeune étalon en rut que je ressens son gros gland au bord de ma chatte juteuse.

Dans l’autre main, il tient une petite bouteille d’huile. Celle que je l’ai vu prendre dans le rayon. Il se verse quelques gouttes sur le sexe en se masturbant de la main droite. Sa queue est luisante, elle brille d’huile mais cette huile ne fait que mettre en évidence le feu de sa bite. Ma main est dans ma culotte, je mouille comme une femelle en chaleur. Je veux sentir ce sexe dans mon vagin. Je veux goûter à cette jeunesse en rut. Sans vraiment avoir réfléchi à mon geste, j’ouvre brusquement la porte et referme derrière moi en prenant bien soin de tourner le verrou. Surpris, l’adolescent d’un bond se remet debout, relève son pantalon en essayant d’y fourrer sa bite énorme. Je le regarde s’affoler en devinant à sa gêne qu’il n’avait sans doute jamais fait admiré son membre à une personne du sexe opposée. Tant mieux, je serai la première à enfiler ce sexe, à me coller contre ce corps plein de vie. Je vais être son initiatrice. Fais moi confiance, petit puceau, tu vas adorer. Je m’approche de lui doucement en le regardant dans les yeux, il est beau, du charme, accentué par ce regard interrogatif. Je m’approche en glissant ma main sous mon jean, lascivement. Passant ma langue sur les lèvres, mon autre main écarte les siennes, faisant tomber son pantalon qu’il maintenait à grande peine.

Sa bite réapparaît, un peu plus flasque mais tout aussi désirable, ma main la caresse comme un petit chat et je la sens s’emplir à nouveau de désir. Elle pointe très vite vers le ciel, luisante et grasse de l’huile répandue. Je prends la bouteille et verse le liquide sur le gland. M’agenouillant, je regarde l’huile glisser sur cette peau tendue, elle fait le tour du membre et s’étale à la mesure de la palpitation de cet engin lubrique. Je tiens fermement son sexe et ma langue goutte doucement à cette huile. Il a de nouveau fermé les yeux et sa respiration s’accélère. Son sexe est dur, brutal. Il pousse dans ma bouche pour mieux sentir sa jouissance. J’ai la bite d’un jeune étalon en rut dans la bouche, son gland grossit encore et je sens déjà sa sève monter. Il va jouir, je prends ses fesses à pleines mains, tout en gouttant avec plaisir à cette hampe si bonne. Moi, la femelle, je vais faire jouir ce jeune mâle. Sa bite est prise de soubresauts incontrôlables, j’accélère mes caresses et ma langue s’agite sur son gland. Son sperme gicle vers le ciel en jets continus. Sa semence recouvre ma main, mon bras et tâche mon pull. Je suis gluante et poisseuse et cela me rend folle de plaisir.

Sahina

Commentaires (1)

  • charly

    sur l’ancien site, on avait la suite du texte qui était encore mieux...