Aux délices de l’octarine
Le 18/11/2009
Sylvia venait d’arriver. Tout comme il l’avait fait pour Shaolynne, l’Apollon du couloir lui remit une clé portant cette fois-ci le chiffre 3, mais à l’envers tel le reflet du miroir, en l’invitant à suivre la direction de son doigt. Sans se troubler, elle attrapa le passe, le fit tournoyer trois fois son sous nez et s’engouffra là où elle pouvait "tout enlever". Elle lui lança en se retournant, comme on lance un défi à un possible amant, un regard de braise qui en disait long sur une soudaine envie...
Les habitants de l’aquarium, à peine remis du passage de Shaolynne, eurent droit à un second strip-tease et, de la même façon, ils virèrent au rouge violacé. Peu après, la silhouette féminine de Sylvia, aérée d’une autre veste de kimono teintée rose orangé, s’évanouissait à travers les franges aux perles nacrées. La salle suivante était en fait un long corridor composé de plusieurs niches éclairées où l’on pouvait admirer de gracieuses sculptures érotiques représentant des couples enlacés. Sur les parois ornées de petites lanternes marocaines, des illustrations du Kama-Sutra et des esquisses du fameux Manara accentuaient le coté sulfureux de l’endroit. Il se terminait par un escalier tourbillon descendant sur un salon feutré proposant, lui-même, trois issues pour continuer. Sylvia remarqua, posé discrètement sur un guéridon en fer forgé, un petit coffre en bois contenant de quoi se protéger. Elle plaça dans l’unique poche de son léger chemisier quelques uns de ces indispensables compagnons. Puis, attirée irrésistiblement par la musique de l’eau, elle se dirigea vers le passage d’où semblait venir le son ruisselant d’une cascade.
Le couloir qu’elle venait d’emprunter ressemblait de plus en plus à un labyrinthe et les murs dorénavant recouverts de carrelage gris foncé habituaient les yeux à l’obscurité. De parts et d’autres de la paroi, des recoins secrets dévoilaient l’entrée de petites pièces alvéolées où l’on pouvait se doucher en toute intimité. Parfois, une ouverture furtive dans le mur permettait d’observer sans se montrer. C’est ainsi que Sylvia découvrit pour la première fois les formes généreuses et appétissantes de la belle Shaolynne. Elle se tut devant tant de splendeur et contempla la scène sans se faire remarquer...
Shaolynne, les yeux à demi clos, laissait l’eau chaude inonder ses pensées. Le son provoqué par le ruissellement du plafond arroseur la transportait littéralement au cœur d’une jungle luxuriante comme il en existe sur certaines îles paradisiaques de l’Océan Indien. Nue et offerte sous la pluie tropicale, elle sentit monter en elle un besoin inavouable...
Ses mains longues et fines, dignes d’une magicienne africaine, massaient maintenant sa poitrine gonflée en pinçant de leurs doigts experts ses tétines excitées. Lorsqu’elle autorisa plusieurs d’entre eux à descendre plus bas, son désir s’enflamma et son corps se cabra. Les autres qui avaient déjà rejoint la cambrure de ses reins, surfèrent sensuellement sur le torrent ruisselant de ses fesses, elle noya son majeur dans les profondeurs d’un canyon parfaitement arrondi. Ses hanches débutèrent alors un langoureux mouvement, la belle ondulait de plaisir en enfonçant un à un les représentants les plus agiles de sa main. Sur la pointe des pieds et les cuisses largement écartées, elle offrait la vision érotique de sa sublime plastique. Ne pouvant plus retenir les flots de son envie, Sylvia s’approcha d’une façon féline. Elle caressa doucement les cheveux et la joue de la néréide tout en libérant amoureusement une langue chaude et humide dans le creux de son oreille. Les yeux fermés et les lèvres ouvertes, Shaolynne frissonna en laissant jaillir un aguichant petit râle suivi d’un sourire. Sylvia, une main enfouie dans sa propre entrecuisse et l’autre occupée à chercher une complice, posa ses lèvres sur les siennes. Leurs bouches affamées se collèrent ardemment et leurs langues rendues folles par autant de délices se léchèrent mutuellement pendant un long moment. Puis les caresses devinrent plus précises, les doigts se firent lubriques, osant s’aventurer sans retenue sur des parois intimes inconnues, explorant par des va-et-vient de plus en plus lointains les profondeurs ruisselantes de la moindre faille, remontant ainsi le lit torride d’une rivière de lave transparente. Dans la moiteur de l’anfractuosité, chacun leur tour, parfois en groupe de deux ou trois phalanges, ils s’adonnaient à ces délices en laissant dans leur sillon l’empreinte digitale d’un 8 subliminal.
Shaolynne, la tête en arrière, laissait maintenant Sylvia lui mordiller les seins, elle jouissait de plaisir à chacune de ses tendres morsures. D’un geste flatteur et attirant, elle invita la blonde crinière à fouiller son repère. La langue agile de Sylvia s’en donna à cœur joie, elle suça, aspira, lapa et dégusta sans mesure les cascades de désir de la chaude inconnue. Shaolynne, dont les gémissements s’accentuaient à chaque nouvelle intrusion dans sa fente, s’allongea sur le dos, jambes totalement écartées et sexe ouvert, Sylvia continua sans faillir sa sulfureuse et intime exploration. Sa langue, aidée d’un souffle brûlant venu des abîmes de son propre volcan, parcouru tel le vent chaud sur les blés de l’été les rivages d’une vallée miniature d’où jaillissait une fontaine enchantée. Elle s’attarda un instant, inspectant par de subtiles papilles la moindre aspérité détectée, mordillant affectueusement chaque excroissance érigée, avalant goulûment le tout premier geyser découvert ; puis, en se laissant porter par le flot croissant, elle goûta de façon experte l’anus mouillé de la torride naïade, se régalant avec ardeur de son arôme caramel et savourant par une extrême agilité rotative linguale le goulot succulent de sa grotte à délices. Lorsqu’un index concurrent s’y faufila et qu’une engageante série de soupirs la réclama, Sylvia comprit de sa partenaire l’envie brûlante d’une bouche à satisfaire, elle positionna alors, sans se faire prier, sa chatte inondée sur la bouche de la belle. Celle-ci s’abreuva goulûment du nectar divin jusqu’au fond de sa gorge accueillante. La langue de Shaolynne, longue et musclée, s’insinua habilement dans chacun des orifices offerts, léchant et s’enfonçant profondément dans un rythme endiablé. Sylvia, à son tour, se sentit transporté, ses fesses s’écartèrent de plus belle pour un jouissif doigté. Les va-et-vient cadencés que prodiguait son amante entre ses deux antres la fit se cabrer un instant comme une pouliche à grimper. Elle poussa un long gémissement avant de replonger dans la vulve trempée de l’experte jockette.
Les jambes ensuite s’entremêlèrent, les sexes s’épousèrent et se caressèrent dans un frénétique mouvement de frottements accordés, les cris et les râles du plaisir résonnèrent dans l’arène embrumée. Les deux femmes enlacées comme des lianes étaient prises d’orgasmes à répétition, elles avaient perdu toute notion de pudeur et se donnait dorénavant à l’ivresse des sens avec ferveur et passion, elles touchaient au sublime. Une mystérieuse aura teintée de la couleur féerique de l’octarine recouvrit alors un temps leur torride effusion.
Lorsque les deux sirènes retrouvèrent peu à peu leurs esprits en se lovant sensuellement l’une à l’autre, le halo s’évapora, aspiré tel un nuage de magie par un tourbillon du vent.
Je m’appelle Shaolynne et ta langue est divine, avoua la rêveuse.
Je m’appelle Sylvia et j’ai adoré ça, confirma la voyeuse.
Si nous visitions ensemble le reste de l’établissement ? Proposèrent-elles à l’unisson.
Un éclat de rire se perdit aveuglement dans les méandres de la tuyauterie, des oreilles attentives se dressèrent et 8 mains volontaires se levèrent...
Shaolynne et Sylvia marchait à présent vers ce qui semblait être une salle de repos, plusieurs fléchettes lumineuses tirées par des jolis petits cupidons tout ronds les y dirigeaient. Elles traversèrent un rideau de soie fine dans lequel elles jouèrent à s’enrouler comme des enfants, quelques baisers se prirent dans le précieux filet. La pièce était chaleureuse, éclairée comme il se faut par de joyeuses chandelles semblant se sourire entre elles, et emplie d’une effluve de jasmin que diffusait un brûleur sur la main d’un Bouddha ; un arôme de menthe poivrée se mêlait à la fête. Elle y découvrirent, soigneusement pliées sur un coffre créole, des serviettes encore tièdes et, idéalement posé entre deux chaises longues, un plateau argenté contenant une fière théière orientale entourée de ses sujets ainsi qu’une ribambelle de tentants entremets aux formes triviales et allongées. Le cliquetis mélodieux d’une fontaine à brumes sur des galets enchantés apportait à l’ambiance une atmosphère très zen, elles s’y reposèrent sans hésiter.
Confortablement étendues sur les transats, un verre de thé à la main, nos deux héroïnes bavardaient. As tu remarqué cette étonnante couleur à l’entrée ? Interrogea Sylvia.
Oui, le bellâtre du guichet m’a gentiment donné son nom, l’octarine, qui aurait le pouvoir de sublimer le plaisir.
Intéressant ! Lâcha Sylvia en immergeant doucement l’extrémité d’un biscuit dans la boisson berbère.
Oui, comme tu dis, ça à l’air prometteur ! Je te propose d’essayer d’en apprendre davantage, il doit bien se trouver une personne ici pour nous renseigner, as-tu rencontré quelqu’un depuis ton arrivée ?
Personne, c’est à se demander qui fait tourner la boutique ! A peine avait-elle terminé sa question qu’un léger grincement se fit entendre...
Écoute !
Dans le lointain d’un couloir, une porte sembla s’ouvrir, puis se refermer...
On y va ?
Je te suis, peut-être trouverons-nous par là un hammam ou un sauna ?
Voir un jacuzzi et un salon de massage approfondi ? Ajouta une Shaolynne inassouvie. Avec des masseurs bien montés, n’est-ce pas ? S’excita Sylvia en pinçant les fesses de sa nouvelle amie. Les potions magiques avalées et les courtes tuniques enfilées, nos deux exploratrices s’enfoncèrent à l’intérieur d’un curieux corridor éclairé seulement par de discrets plafonniers alternant le violet et l’orangé. Plus elles avançaient dans le tunnel, plus l’air se faisait chaud et dense. Le sol, habillé d’un étroit mais incommensurable tapis, s’étirerait en pente régulière sous une voûte constituée d’étonnantes pierres de taille qui, au contact de la main, semblaient exhaler un flux torride et pénétrant. De petites alcôves ténébreuses dans lesquelles se consumaient des brûleurs orientaux, laissaient croire en la présence de djinns du désert flottant au-dessus de leur lampe berbère. De temps à autres, quelques mystérieux bruits de bain accompagnés de chuchotements secrets ensorcelaient les oreilles attentives.
Parvenues à la fin du couloir, elles découvrirent un séduisant colimaçon agrémenté d’authentiques chandeliers hindous. Placés de manière à enrichir les courbes de celles qui l’empruntaient, ils projetaient sur le mur leurs silhouettes ondulantes tout en faisant vibrer, au souffle de leurs désirs, de fins et mélodieux anneaux indiens. Telles deux gracieuses sibylles descendant à demi-nues vers l’autel aux offrandes, nos deux vénus abordèrent timidement une esplanade dominant une vaste salle des plus originales, une courte échelle en bois d’ébène permettait de s’y glisser. A mi-parcours, le pied déjà pointé à terre, l’autre enroulant un barreau, Shaolynne ne put s’empêcher d’empoigner charnellement les fesses offertes au dessus d’elle, les retenant ainsi à hauteur de sa bouche affamée. Au toucher de dix doigts obsédés, pétrissant, malaxant et écartant ses chairs et assujettie aux assauts endurants d’une langue fougueuse, enfileuse et experte, Sylvia se cramponna comme elle put. Les jambes écartées et calées, son cul cambré à l’africaine, elle laissait couler sur ses lèvres clitoridiennes les ruisseaux de son plaisir orgasmique. A chaque profonde introduction dans sa fente, elles lâchait de petits râles excitants qui enflammaient de plus belle son aspirante amante. Elles atteignirent une vaste pièce octogonale comprenant quatre portes magnifiquement ciselées de gravures érotiques et un plafond, lui aussi décoré de quatre remarquables fresques libertines. Là s’élevait une splendide stalle en marbre blanc où trônait une sculpture à l’exaltation évocatrice : deux Adonis aux mensurations herculéennes soutenaient à bout de bras les cuisses ouvertes d’une plantureuse déesse semblant espérer, tête penchée vers le bas et le regard envieux, que les colosses l’assoient sur un phallus cristallin de taille conséquente et de diamètre osé.
Wouahou, on est sur le bon chemin, je crois ! S’exclama Sylvia. Regarde, il y a deux peignoirs accrochés là-bas près de la porte vitrée.
Essayons de trouver leurs propriétaires, s’empressa d’ajouter Shaolynne.
Tout en se dévêtant, elles posèrent un regard intéressé sur le dessin coquin et poussèrent doucement le sas embué...
Dans le mystère d’une alcôve ombragée, un couple dont on devinait à peine les mouvements débutait avec douceur les préliminaires d’un futur sulfureux. Les filles se rapprochèrent sans se faire repérer. Elles s’assirent sans bruit à coté de la niche occupée et observèrent déjà excitées la scène du baiser enflammé.
L’homme, un mâle plutôt costaud et plutôt bien équipé, se tenait debout, le dos légèrement vouté par le mur de l’arcade. Il caressait les cheveux et les joues de sa compagne tout en laissant vagabonder lubriquement quelques doigts sur ses lèvres gourmandes. Elle, accroupie en tailleur telle une grenouille prête à bondir et ses mains solidement cramponnées sur le ferme fessier, entamait avec appétit une fellation lente et exquise. Ses hanches dansantes et joliment cambrées semblaient cadencer sa bouche expérimentée qui allait et venait sur la verge puissante du viril étalon. Parfois, tout en poursuivant son ouvrage, elle relevait ses yeux amoureux pour croiser ceux de son amant. Sa langue veloutée s’enroulait alors sensuellement autour d’un gland long et épais, avant que ses lèvres affamées ne fassent disparaître la totalité du nœud dans le fond de sa gorge. Suçant et tétant de plus en plus activement le membre consistant de son homme, une main massant fermement les bourses gonflées et l’autre s’aventurant entre les fesses, elle sembla subitement prise d’une frénésie sexuelle. Son corps visiblement chaud et humide, se cambra et ses cuisses luisantes, écartées et offertes aux yeux lubriques de nos deux héroïnes, laissèrent entrevoir une vulve surexcitée, brûlante et ruisselante à souhait.
Les murmures de plaisir qu’elle laissait s’échapper entre deux aspirations buccales ainsi que les déhanchements suggestifs de sa jolie croupe en disait long sur son envie de goûter à la semence salée. Lorsqu’elle enfonça les trois quarts de son majeur dans l’anus de son partenaire, tout en continuant à le traire, sa langue sentit les premiers soubresauts d’une éjaculation imminente. Elle intensifia volontairement sa pression, resserrant d’une seule paume la base du vigoureux gourdin tout en positionnant chaleureusement celui-ci sur les lèvres gourmandes de sa bouche grande ouverte ; prête ainsi, telle une vierge vestale accomplissant un rituel primordial, à recevoir l’élixir magique de son divin mâle.
Les premières gouttes aphrodisiaques allèrent percuter violemment les cloisons de sa gorge, certaines se permirent même une caresse sur sa luette avant de se perdre définitivement sur les pentes du larynx. La giclée qui suivit eut un tout autre effet. La verge paraissait s’animer, un courant de vibrations intenses provenant de l’artère qui nous lie à la vie parcouraient chacune des veines internes, gonflant inexorablement le flot lorsqu’un dernier coup de langue provoqua l’abondante décharge. Le palais inférieur, submergé par l’écume opaline, fit dresser au plus haut ses ultimes papilles, et la gorge enflammée avala d’une seule traite la succulente substance. La bouche se remit à pomper, la langue à lécher et la main à branler. La jeune femme aspira jusqu’à la dernière goutte la sève brûlante de son amant tout en enfouissant dans son vagin trois de ses doigts les plus hardis.
Malgré l’euphorie qu’elle avait ressentie à l’instant où son homme avait joui, tout son corps réclamait encore du plaisir et Sylvia, aguerrie à ce genre de défi, s’aventura plus près. Ce fut l’homme qui, le premier, posa un regard intéressé sur les courbes généreuses de la nouvelle venue, l’invitant par un geste sensuel à venir déguster le désir entre les fesses humides de son insatiable compagne. Le sourire complice qu’elle lui adressa au moment où la belle Shaolynne fit son apparition propulsa sa libido.
Les deux femmes s’attelaient maintenant à satisfaire avec ardeur les deux orifices exaltés de la consentante concubine, le troisième étant toujours occupé à sucer une verge qui reprenait progressivement de l’altitude. Sylvia, confortablement allongée sous la femme, la tête plongée entre ses cuisses dorées, explorait minutieusement les contours et l’entrée clitoridien de son vagin, taquinant de ses dents les crêtes charnelles et enflammées de la femelle. Shaolynne, quand à elle, tout en se laissant caresser les seins par les robustes mains de l’inconnu, s’adonnait au délice de la pénétration anale, elle enfilait et vrillait sa langue experte dans le délicat chenal, dilatant ainsi le sulfureux conduit. Entraînée par des vagues d’extase de plus en plus continues, la cavalière chevaucha aisément les doigts regroupés de Sylvia, jusqu’à s’assoir proprement dit sur son poignet engagé, elle ressentit alors une série d’orgasmes vigoureux venus des profondeurs de ses entrailles. Lorsque Shaolynne la souleva pour l’enfoncer en une seule fois sur le hampe durcie de son mari, elle hurla de plaisir. Lui, complètement envoûté par les débordements sexuels des trois amazones, léchait goulument le sexe inondé de Sylvia, idéalement positionné sur sa figure, tout en fourrant son gros pouce et la totalité de son index dans les cavités intimes de la séduisante Shaolynne.
Pendant encore de longues minutes, perdu dans une brume octarine, le trio infernal prolongea sa quête du sublime en enfourchant, l’une après l’autre, la puissante érection de l’obscur objet de leurs désirs. La queue raide comme un totem érigé vers le ciel, le guerrier enfila sans débander les complices du délice, passant d’une bouche à l’autre, grimpant tel un félin affamé sur les croupes offertes, pénétrant sans vergogne le moindre trou à sa portée. Une fois repues, les diablesses en chaleur honorèrent le phallus majuscule d’une fellation à trois langues que son propriétaire n’était pas près d’oublier. Shaolynne et Sylvia s’échappèrent discrètement du libertin hammam, abandonnant le couple torride à son repos mérité.
Lupita77
Commentaires (3)
C’est chiant non ?
Nicole a trouvé exactement le terme que je cherchais pour qualifié cette histoire !!!
Mmmmmmmmmmmh !