Aimée sous les étoiles…
Le 15/03/2013
C’était la nuit des étoiles… Je ne me souviens plus exactement de la date mais ce devait être un soir d’août.
J’étais partie avec mon compagnon de l’époque observer les étoiles filantes. Nous étions arrivés au sommet d’une colline et avons arpenté le sentier dans le noir afin de trouver un endroit plat où disposer nos couvertures et duvets.
Nous avions fini par trouver et étions allongés, au chaud, l’un contre l’autre, main dans la main, à contempler l’immensité du ciel et à faire de nombreux vœux de bonheur quand une jolie traînée filante se déplaça dans le ciel.
J’ai senti soudain les mains de mon ami se glisser sous mon pull pour caresser ma peau chaude, douce et tendre. J’ai immédiatement saisi son sexe à travers l’étoffe de son jean. Il avait l’air déterminé ce membre là, au vu sa raideur. L’insolence et la brusquerie de mon geste on fait émettre un soupir d’étonnement à mon partenaire. Suivit une pression plus forte de ses mains sur les agrafes de mon soutien-gorge : « je veux libérer tes seins de toute cette dentelle qui les emprisonne ». Les douces caresses sur les aréoles ont fait naître des sensations impatientes au niveau de mon petit bouton que je sentais se réveiller doucement. Mes tétons se dressaient, avides de caresses, d’être mangés, sucés, dévorés…
Très vite sa bouche s’est portée sur ces fruits impatients et je me suis sentie aspirée, léchée, dégustée. J’ai frémi sous la main qui pétrissait mon sein, j’ai tremblé sous les assauts répétés de sa langue sur mon autre sein, mes tétons ainsi titillés, je me liquéfiais littéralement. A certains moments, mon homme grognait de satisfaction, à d’autres ce n’était que bruits de succions et frottement de sa queue contre moi.
J’ai saisi sa main pour la glisser doucement entre mes cuisses. Il a empaumé mon fruit d’amour que je sentais se gorger de sang, a fait glisser mes grandes lèvres, l’une contre l’autre, très lentement, froissant mes nymphes. Je me sentais couler dans sa main.
Il s’était ensuite empressé de me déshabiller entièrement pour m’allonger nue sous les étoiles.
Le fond de l’air était frais mais je n’avais pas froid. Il s’était redressé et m’avait m’invité à faire de même.
Nous nous étions déshabillés et je l’avais invité à s’étendre, puis m’étais redressée pour le regarder :
Il était couché sur le dos, les yeux fermés, se reposant nu sur le sac de couchage, ses attributs étalés sur leur nid douillet de poils fins. Je m’agenouillais. Sa respiration s’accéléra mais il n’ouvrit pas les yeux, préférant goûter son plaisir en exacerbant ses autres sens. Je me penchais pour souffler doucement sur ses bourses rasées. Elles s’animaient, sa verge gonflait, le gland se dessinait dans la pénombre. Il est beau. Je fermais les yeux pour me remémorer sa belle couleur rubis, légèrement plus claire au pourtour, sur la couronne et plus foncée sur le frein. Ma bouche remonta vers l’extrémité de la queue en soufflant doucement. Je ne soufflais plus que sur le gland, attendant la première petite perle de plaisir. Je sortis la langue pour la cueillir. C’était bon, plutôt salé, moins âcre que le sperme. Je léchais doucement l’extrémité du gland...j’introduisis ma langue dans son méat pour l’entendre gémir. Penchée sur lui, mes mains posées sur son corps restent passives. Je ne faisais pas rouler ses testicules entre mes doigts, même sachant qu’il adore cela. C’est moi qui décidais de tout, cette nuit-là. Je n’enfonçais pas non plus mes doigts dans son petit trou et posais la tête doucement sur son ventre, aspirant le gland, qui avait bien grossi. Je le suçais très lentement pour faire durer le plaisir. Ma langue s’attarda sur la couronne,en faisant le tour de nombreuses fois. Il haletais et le voulais sa semence sans faire autre chose que sucer son gland. Il me prendrait plus tard ... Son sexe devenu très gros, j’avais un fruit gorgé de sang dans la bouche et je dégustais son jus, tandis qu’il gémissait, se cabrait, explosait sur ma langue. J’avalais son sperme chaud au fur et à mesure, continuant à le sucer très doucement, voulant jusqu’à la dernière goutte, la plus amère, celle qui a un goût de sang.
Nous nous reposâmes un bon moment, en silence, en contemplant la voûte étoilée. Je voulais à présent me donner totalement. Jouant doucement avec ses bourses, les fouillant, cherchant à saisir les douces amandes qui se dérobaient sous mes doigts, il gémit, sa verge se gonfla, se redressa, atteignant le point de rupture…
Puis, je me mis à genoux pour m’emparer de son sexe redevenu bien dur, - Dieu que c’est beau un phallus dressé - le parcourant longuement avec ma langue, soufflant de l’air chaud, depuis la base jusqu’à l’extrémité, le décalottant lentement pour poser ma langue dans le petit creux qui court le long de la base du gland. Il frémit et j’avalais son gland en le caressant tendrement du bout de la langue et glissant de temps en temps dans le creux du méat. Il saisit ma tête entre ses mains et la relevait doucement pour m’inciter à me lever. Plongeant son regard dans le mien, je devinais une passion intense. Il me saisit alors par la taille et me souleva. Je voulais qu’il me prenne sans attendre et que plus tard, il me suce, me boive aussi.
J’écartais les cuisses de mes mains et glissais son sexe tout au fond de moi très vite. Je gémis imperceptiblement, comblée d’être serrée dans des bras forts et tendres, toute remplie de lui. Il s’adonna alors à de vigoureux mouvements du bassin pour aller et venir très fort tout au fond de moi. Son pubis heurtait mon bouton, provoquant des ondes de plaisir. Je sentais ses couilles battre contre moi à chaque poussée…
C’est terriblement excitant de faire l’amour dans l’obscurité, à la seule lueur des étoiles. Mais notre position était un peu trop sportive, alors il me posa délicatement sur le sol. Je me mis à 4 pattes dans une position obscène que j’adore, lui présentant ma croupe arrondie et désireuse d’en connaître davantage. Il me saisit les hanches et commença par promener son pénis dans le creux de mes fesses, effleurant mon petit trou. Je frémissais. Pui, il longea ma fente humide et chaude, étalant le miel chaud que je produisais.
Sans me prévenir, il me pénétra au creux des reins, forçant mon anus, douleur et plaisir se mêlaient. Il s’enfonça jusqu’au fond du jardin des délices.
Je me sentais pleine. Un jour peut-être irai-je plus loin, prenant en même temps une queue devant. C’est un fantasme. Mais à ce moment-là, je me sentais prise, pleine et à lui, ce qui me comblait. Je ressentais des ondes de plaisir, une houle m’emporta vers des sommets. Puis, je me libérais de notre étreinte et lui proposais de s’asseoir et moi assise sur lui, je le laissais me pénétrer à nouveau et blottis l’un contre l’autre nous repartîmes à l’assaut du plaisir, moi chevauchant sa verge avec des mouvements entiers, forts, profonds sa verge.
Il jouit avant moi et de l’entendre crier si fort son plaisir me fit envoler vers des hauteurs insoupçonnées. Je m’allongeais, épuisée et heureuse. Il posa sa tête entre mes jambes pour se mettre à me lécher doucement. Il écarta mes lèvres de sa langue, lapant nos jus mêlés, aimant boire ainsi son propre sperme mêlé de mes sécrétions les plus intimes, têter mon petit bouton. Il prit tout son temps le salaud, sa langue allait et venait, furetait, me pénétrait ... Ouvrant les yeux, je voyais les étoiles.
Il posa son front sur mon mont de vénus, le frotta légèrement, redressa la tête et me frotta avec son nez ; ma vulve était humide de nos liquides et chaude.
Il remonta très lentement en appuyant le nez là où les grandes lèvres se rencontrent. Il appuya comme pour les séparer ; je gémis doucement, la pression sur le clitoris me fit gémir plus fort.
Avec sa langue, il sépara les deux grandes lèvres qui ne demandent qu’à s’ouvrir et lècha les petites lèvres que j’ai très discrètes, comme à peine dessinées.
Il lécha le périnée puis plus bas, il effleura mon anus enflammé, sans trop s’y s’attarder. Je bougeais au rythme de ses caresses. Il continuait de lécher le clitoris, de le mordre aussi. J’explosais. Supernova…
Soudain la fraîcheur de la nuit se rappella à nous. Nous nous enlacions encore plus fort, nous blottissant dans nos duvets, attendant de reprendre nos esprits pour regagner notre maison et notre grand lit, où, lui tournant le dos, je comptais m’endormir lovée tout contre lui et à l’abri dans ses bras amoureux.
[gris]Ezra Cantos[/gris]
Commentaires (1)
Très beau récit très excitant j aimerai que ma femme soit aussi coquine et libéré sexuellement qu’ elle n ai pas tout ses tabous qui fait croire que le sexe c est sale, pas du tout quand il y a du plaisir et du désir le sexe n est pas sale mais juste le meilleur moyen d aller au plaisir