La cage dorée

Le 12/04/2009

Je suis mariée depuis vingt ans. Les dix premières années ont été sexuellement satisfaisantes. J’ai eu trois enfants et, petit à petit, le calme s’est installée sur ce chapitre. Je n’étais pas très motivée et lui ne me provoquait guère qu’une ou deux fois par mois. Notre sexualité semblait dormir benoîtement. Mon mari travaille dans son bureau à la maison. Un jour je suis entrée dans son bureau sans frapper et je l’ai surpris à genou face à son ordinateur portable, en train de se masturber. Plutôt surprise, j’ai refermé la porte comme si je n’avais rien vu. Ensuite, nous n’en avons pas reparlé.

Mais comme je suis d’un naturel curieux, je l’ai un peu surveillé. Plusieurs fois, je suis entrée dans son bureau à l’improviste et j’ai eu l’impression qu’il remontait rapidement son pantalon. Et puis un jour j’ai trouvé une dizaine de kleenex humide et qui sentait l’amande, dans sa corbeille à papier. Je vide sa corbeille tous les jours. Je me suis dit qu’il devait se masturber plusieurs fois pas jour. J’ai un peu culpabilisé mais ça m’a donné des envies. Puisqu’il ne s’occupait pas de moi je me suis acheté un godemiché et j’ai palié son manque d’enthousiasme moi-même. Mais au bout d’un moment, je commençais à me lasser de cette solitude dont je n’osais pas lui parler.

J’en étais là lorsqu’un jour, chez mon coiffeur, j’entendis une conversation entre une cliente et la coloriste qui se plaignait du fait que son partenaire la prenait violemment presque tous les soirs et qu’il faisait si vite qu’elle était toujours déçue. La cliente lui expliqua qu’elle avait trouvé un truc pour être caressée quand et comme elle voulait. Elle avait convaincu son mari d’accepter de porter une cage de sexe dont elle était la seule à conserver la clef. Ainsi disait-elle, il ne se masturbe plus et elle contrôle totalement sa sexualité, donc pas de danger de petit coups à coté.

J’ai immédiatement pensé que je ne voyais pas comment proposer une telle solution à mon mari. Au début, il était plutôt macho, mais au fur et à mesure que naissaient les enfants, j’avais pris la direction de la maison et il ne s’occupait plus que de son travail, le reste c’est moi qui en décidait. Les comptes, les vacances, les études des enfants, bref, je dominais facilement tout mon monde y compris lui. Mais les kleenex continuaient à s’échouer quotidiennement dans la corbeille à papier. Plus il y en avait, et plus je trouvais qu’un peu de câlin me manquait tout de même.

Après y avoir longuement réfléchi j’ai décidé de tenter un truc fou. Chaque année pour notre anniversaire de mariage, mon mari m’emmène dans un très bon restaurant et nous nous offrons chacun un petit cadeau. Pour le 11e anniversaire, à la fin du repas que nous avions bien arrosé, il m’offre un bracelet et moi je lui donne un CB3000. Etonné, il regarde le cadeau et me demande ce que c’est. Je lui explique que c’est une cage de sexe. Il rigole et me demande ce qu’il doit en faire. Je n’était pas très à l’aise, mais l’alcool m’ayant bien inhibé, je me lance. C’est pour jouer. Tu ne t’occupes plus beaucoup de moi, alors pour notre anniversaire j’ai trouvé ce truc pour t’exciter un peu. C’est facile, tu vas aux toilettes et tu te la fixes sur ton sexe. Tu fermes le cadenas et tu me rapportes la clef. Comme ça c’est moi qui déciderait tout à l’heure du moment. Après avoir observé le mécanisme de l’objet dans lequel on glisse la verge et les testicules, puis on ferme la cage avec le cadenas, il part aux toilettes. Ca l’avait plutôt excité. Lorsqu’il revint, il me tendit la clef avec une mine mi-figue mi-raisin.

Mais en rentrant à la maison, je lui dit que j’étais fatigué et qu’on jouerait plutôt le lendemain. Il était surpris et tenta de la retirer, mais c’est très bien fait et une fois fermé ça ne bouge plus. Comme il commençait à s’énerver, je lui fit remarquer que j’étais au courant de ses masturbations quotidiennes qui m’énervaient aussi et qu’il ferait mieux de s’occuper de moi. Il me dit qu’il était prêt à le faire tout de suite. Je refusais. Il me dit qu’il devait ouvrir pour aller faire pipi. Je lui expliquais qu’il n’avait qu’à s’asseoir sur le siège et que ça marcherait aussi bien que pour les femmes. et qu’on en discuterait demain. Le lendemain fut le jour le plus pénible. Dès le matin, il demanda l’ouverture. Je lui dit que le jeu continuait et que désormais c’est moi qui déciderait. Visiblement cette situation l’excita, mais il n’en dit rien de plus. Il était un peu étonné… ou vexé.

J’avais lu quelque part que certains hommes éprouvent des désirs de soumission, je me disais qu’il aimerait peut-être que je lui résiste un peu. J’avais la clef et donc c’était à moi de décider de la suite. Maintenant que j’avais fait le plus dur je me persuadais d’attendre un peu pour voir sa réaction dans le temps. Je savais au moins qu’un changement allait intervenir tout de suite : il allait en finir avec la masturbation en cachette. Au départ, il supplia, il cria, il me demanda de ne pas lui interdire cela, mais je dirige à présent, et je fixe les règles. Pendant la première semaine, je ne l’ai pas libéré car je voulais qu’il comprenne que le jeu allait durer un peu plus qu’une soirée. Puis, un soir je me suis faites très câline et je l’ai un peu provoqué. Il était tellement excité qu’il m’a caressé comme jamais. A chaque fois qu’il tentait de me toucher le sexe, je lui remontait les mains vers mes seins ou mon dos pour qu’il fasse durer ces préliminaires que j’adore et qu’il avait jusqu’à présent toujours un peu écourtés dès qu’il bandait trop. En fait, avant, quand il était près, il me pénétrait et moi il fallait que je m’en arrange. Résultat, ça marchait toujours pour lui et une fois sur deux ou sur trois pour moi. Mais ce jour-là, je commençais à être si bien que j’avais une folle envie de le libérer. J’avais tellement fait duré le plaisir, qu’il était extrêmement excité et il me dit que si je ne le libérais pas tout de suite, il ne pourrait pas me pénétrer. Alors je lui ai tendu le godemiché en lui disant de le sucer comme s’il faisait une fellation afin de le lubrifier pour me l’introduire lentement et en douceur. Tandis qu’il s’exécutait et qu’il l’agitait en moi, j’ai commencé à me masturber et en très peu de temps, je suis arrivée au nirvana.

Pendant le temps où je reprenais mes esprits, je lui fis signe de ne plus me toucher. Il s’allongea à coté de moi, sans bouger. J’ai attendu un bon quart d’heure avant de rouvrir les yeux. Sa tension était redescendue et sa verge, qui avait été gonflée dans la cage pendant le jeu, avait maintenant reprit ses aises. Il avait débandé. Je partis dans la salle de bain et en revenant je l’embrassais tendrement en le complimentant et en lui disant que jamais ça n’avait été aussi bien depuis le début de nos relations. Il s’attendait à être libéré. Je lui dit que s’il restait comme ça, c’est parce que je voulais voir si le lendemain, il en aurait autant envie et s’il me ferait la même fête. Alors il accepta d’attendre encore un jour. Le jeu semblait avoir commencé à lui plaire. La journée du lendemain, il a été adorable et a passé un partie de son temps à m’aider dans mes tâches ménagères. Il a fait les lits et passé l’aspirateur. Je lui ai fait remarqué que le temps qu’il avait utilisé à se masturber était mieux employé à m’aider et que j’appréciais particulièrement. Le soir, ce fut fantastique également et tous les autres soirs ensuite. Mais pour faire court, je dois vous avouer que j’avais peur que ça cesse et qu’en fait je ne l’ai pas libéré avant 3 semaines. Alors je l’ai libéré et l’ai autorisé à se masturber devant moi. Il a beaucoup aimé. Dès que sa verge est redevenue flasque, pendant qu’il reprenait ses esprits et avant qu’il ne réagisse, je lui ai remis la cage en place et l’ai rebouclée.

Ainsi, il avait eu le temps de comprendre que maintenant, je contrôle ses orgasmes. Bien sûr depuis je lui ai appris à satisfaire mes propres besoins sexuels, dont il prend soin avec sa langue ou avec un de mes petits jouets sexuels. Il fait un superbe travail et mes désirs sont totalement comblés. Par sécurité, j’ai déposé dans mon tiroir de table de nuit une clé de secours scellée à la cire avec mon empreinte de doigt. Et je la regarde régulièrement. Maintenant, non seulement il m’aide davantage dans mon activité de ménagère, mais c’est devenu un amant fantastique. Il m’arrive de le réveiller en pleine nuit parce que j’ai une envie de câlin. Je tire sur sa cage, ça l’excite toujours beaucoup et il se précipite pour me combler. Récemment, il m’a dit qu’il aimait bien cette frustration. Alors j’ai tenté, lorsque je l’ai libéré, de lui attacher les mains dans le dos tandis que je le masturbais. Il était aux anges. Je lui ai demandé de me prévenir juste avant d’exploser pour que ça ne gicle pas partout. Lorsqu’il m’a dit que ça venait, j’ai cesser de le toucher. Sa semence est sortie lentement sans qu’il ait d’orgasme. Il a hurlé qu’il trouvait cela injuste et humiliant et frustrant, etc. Je lui ai remis la cage et délié les mains. Mais finalement, je crois qu’il a aimé car depuis, je fonctionne toujours ainsi.

Dominou

Commentaires (5)

  • Contenta

    Je suis dingue de cette histoire ! Magnifique retournement de femme.

  • Adrien

    une étonnante expérience de frustration d’un homme qui exacerbe les désirs du couple. Avec la réciprocité d’une cage adaptée au sexe de la femme, ce doit être superbe à vivre.

  • TSM

    Bonjour,
    Je ne sais si cette magnifique histoire est véridique mais elle est coule sous les yeux avec une certaine logique.

    Il semble toutefois dans cette logique que le souhait masculin n’est pas développée l’homme n’acceptant pas aussi facilement le port d’une cage de chasteté 24h/24h.

    Malgré le plaisir de la frustration, (étonnante mais bien réelle) les nuits sont souvent agitées par l’inconfort et de dédoublement des envies de faire pipi sans parler des efforts physiques dans la journée.

    Malgré ces gênes, l’homme est souvent demandeur...... et l’auteur décrivant la soudaine bonne volonté masculine de son mari sous cage ne se trompe pas.

    Pour ceux et celles qui souhaiteraient "creuser" le sujet, il existe un site GRATUIT qui est bourré de trucs et astuces LOGIQUES puis de conseils. Je vous donne le lien :

    http://www.fessestivites.com/fre/Ar...

    Merci pour ce remarquable site
    TSM

  • Pascal

    Je porte une CB quotidiennement. Cela m’est imposé par mon épouse depuis que je l’ai trompée. Cette histoire, moi elle ne me fait pas rire du tout, car moi je souffre physiquement de devoir porter un tel instrument de torture. De plus, en vérité, pour l’hygiène c’est loin d’être romantique. J’ai honte autant que cela me bûle. J’en pleure tous les jours, mais je dois le supporter pour ce que je lui ai fait.

  • Clara

    Tu n’avais pas à tromper ta femme Pascal, bien fait pour toi, il ne faut pas prendre les femmes pour des idiotes...