Sous le voile de coton : comment la culotte a volé aux femmes leur liberté

Seconde peau

Sous le voile de coton : comment la culotte a volé aux femmes leur liberté

Jusqu’à la fin du XIXᵉ siècle, les femmes vivaient sans culotte. Le sexe libre, ventilé, vivant — comme depuis des millénaires. La culotte, contrairement à ce que l’on croit, n’a rien d’un attribut féminin ancestral. Elle est une invention tardive, imposée (...)


Beducation ou les joies du bon sexe

Enquêtes

Beducation ou les joies du bon sexe

Le premier mot qui me vient à l’esprit, c’est "Bravooooo", avec beaucoup de O, parce que c’est vraiment bien. Depuis dix-sept ans que SecondSexe.com est en ligne, il nous est peu souvent arrivé de nous dire qu’un nouveau site pouvait apporter quelque (...)


Et les fesses, alors ?

Cinq sens & sexe

Et les fesses, alors ?

On ne parle pas assez des fesses, ces joues magnifiquement érogènes qui, lorsque massées, laissent mieux circuler le sang dans le bassin, augmentant en retour l’excitation sexuelle. Ainsi caressées, pétries, pincées, fessées, ou autres, se déclenche (...)


La Rome Antique et la magie du silphium

Avant & ailleurs

La Rome Antique et la magie du silphium

La folie humaine face aux ressources de la planète remonte à loin et ainsi a disparu une herbe aux qualités folles, servant de Viagra aux uns, comme contraceptif ou pilule abortive pour d’autres. Le silphium, également appelé silphion, laser ou (...)

Mais encore...

L’un comprime, l’autre exprime

En 2010, l’inquiétude économique de la planète a provoqué le retour des idées étriquées, qui ne sont ni propices à notre épanouissement de femme, ni à celui de la sexualité en général. Le gouvernement anglais souhaite que les fournisseurs d’accès filtrent (...)

Karelle Prugnaud

Elle a le regard bordé de khôl noir, pas la paupière ourlée et langoureusement féline, plutôt un trait expert et décidé, une hyperféminité qui assoit sa présence. Une chevelure qui tombe en vagues enténébrées. Une femme de ring, faite pour le combat, mais qui aurait gardé toute sa charge érotique. On la sait metteur en scène, comédienne, performeuse. Cela ne suffit pas pour cerner son art, comme fait pour excéder. Son rêve au théâtre serait « de voir un cœur qui bat, un corps qui sue, des mains qui tremblent, des culottes qui se mouillent, des cerveaux qui travaillent, des poumons qui crachent, des regards qui violent, des oreilles qui jouissent ». Son univers décortique et dissèque, met à nu l’obscénité. Entretien avec une femme qui ne cesse de scruter le corps et le désir, avec un sens inouï de l’intime. Spéléologue de l’âme humaine, cette femme n’a peur ni du noir des souterrains, ni de celui de sa robe fourreau.

La nudité faite homme

L’apparition de la photographie coïncide avec des bouleversements de la représentation du corps et de la société. Les images photographiques se font le témoin d’une réalité bien moins idéale que ce que voulait bien nous faire croire la statuaire gréco-romaine. Le corps devient un outil d’information, de propagande, d’expression idéologique ou contestataire.