Les amis de Marie

Le 25/01/2012

Julia et Marc sont mariés depuis de nombreuses années, vivent en harmonie avec un quotidien ordinaire qu’ils entretiennent de façon peu classique. Julia propose à Marc de lui conter une histoire, un fantasme du moment, qu’il se réjouit d’entendre.
Il est installé confortablement dans un grand fauteuil prés du feu.
Silencieux, il écoute attentivement ce que Julia lui chuchote ...

Nous sommes à la veille de Noël.
Un diner d’avant fête chez notre amie Marie est prévu.
Il 20 heures, tu es encore à l’Université, la rédaction d’une lettre de recommandation pour un élève te retient tardivement.
Je suis chez nous, sur le point de partir, afin de passer te récupérer lorsque mon portable sonne.
Toi :
Bonsoir chérie. Je suis désolé, je dois vraiment finir un courrier de recommandation...
Moi :
Bonsoir mon coeur...ça ne peut pas attendre demain ? Nous devrions déjà être chez Marie.
Toi :
Tu n’as qu’a commencer à y aller sans passer par l’Université, je te rejoins au plus vite.
Moi :
Très bien, ne tardes pas trop. Je t’embrasse chéri, à tout à l’heure.

Nous raccrochons, je prends le chemin en direction de chez notre amie.

20h30. Je suis chez Marie. Elle est surprise de me voir seule je lui rapporte notre conversation.
Julien « époux de Marie » est actuellement en déplacement. Nous commençons à boire l’apéritif en t’attendant.

Une coupe de champagne à la main, nous discutons de tout et de rien.
Marie est une très belle jeune femme aux formes généreuses et délicieuses. Nous savons elle et moi que tu n’y es pas indifférent... (sourire).
Me voilà à boire avec elle, une coupe de champagne, deux puis trois, les bulles ne sont pas sans effet...
Nous sommes emplies de joie, de rire et de douceur à la fois. En plein fou rire elle prend une nouvelle gorgée de cette boisson aphrodisiaque, une coulée échappe à son contrôle main/bouche ce qui provoque un débordement entre ses lèvres et menton avant de continuer le chemin vers son cou.
Sous un geste incontrôlé le reste de sa coupe finit sur son chemisier, inondant son décolleté. Instinctivement je passe ma main sous son menton afin d’empêcher les quelques gouttes fuyantes d’aller plus loin, Marie prend ma main, son regard pénètre le mien, à ce moment un désir m’envahit. Elle glisse mes doigts à l’intérieur de sa bouche, les suçant et les léchant, se gorgeant du goût que les bulles ont déposé sur mes longues mains. Je suis tout d’abord étonnée de ce geste, je reste là à la regarder.
Une agréable sensation me pénètre, je la laisse faire puis accompagne son mouvement. Sans réfléchir nous posons nos bouches l’une sur l’autre, elle guide ma main vers les pressions de son chemisier trempé, inondé de champagne laissant entrevoir sa délicieuse poitrine, ronde et ferme. Ses tétons roses se font pointus, une seule pensée me vient à l’esprit. Me voilà à glisser ma main à l’intérieur de ce chemisier en sortant l’un de ses seins pour le masser délicatement avant d’y poser mes lèvres, pour en titiller son téton déjà durci de plaisir...
Une vague de frissons m’envahit, je sens une humidité entre mes cuisses, sans retenue je prends l’une de ses mains, puis la glisse entre mes cuisses afin de lui faire constater dans quel état je suis sous ses avances. Ses caresses remontent ma jambe jusqu’au nombril, puis sa main vient se glisser dans ma chevelure.
J’ouvre la totalité de son chemisier descendant ma langue le long de son corps pour arriver jusqu’à son intimité, une envie pressante de la gouter me fait perdre alors tout contrôle.
Elle est assise sur son canapé, je me glisse à ses genoux lui écartant légèrement ses longues jambes, ma langue et ma bouche finissent par la caresser, lui sucer délicatement son Vésuve, j’y sens ses lèvres gonflées d’envie.
Je n’aurai jamais imaginé qu’un jour je puisse être capable de faire l’amour à Marie, à aucune autre femme non plus d’ailleurs. Pourtant son corps, la vue de ses seins dressés vers mon regard m’ont enlevé tous préjugés, tous tabous.
J’ai pris soin de remonter sa jupe déjà très courte pour mieux admirer et déguster son sexe ; me voila excitée comme une jeune pucelle au point la prendre par la taille comme si je pouvais la pénétrer comme le ferait un homme, mes doigts vont aller la fouiller en écartant ses grandes lèvres avant de la retourner pour glisser cette fois ci ma langue entre ses deux jolies pommes.

Nous craignons ton arrivée et décidons d’accélérer notre moment de folie douce.
Je suis complètement trempée et l’envie de sentir ton membre me pénétrer pendant que je la caresse me vient à l’esprit.
Nous avions oublié de fermer la porte d’entrée, ne répondant pas à tes petits coups donnés sur celle-ci, tu as fini par entrer te diriger vers le salon, te voilà face à nous, le regard surpris, presque choqué de la scène qui se présente a toi. Tu restes immobile, impuissant de tout mouvements ne sachant pas comment réagir. Elle est là, mi-assise, mi-couchée sur son canapé, jupe relevée, sexe à l’air puis moi à ses genoux, dévorant celui-ci. Tu comprends par nos regards que nous n’arrêterons pas et que nous souhaitons que tu viennes nous rejoindre.
Tu viens sans attendre, t’approches de moi puis, sans mots, tu attrapes fermement mes hanches et me décale légèrement pour pouvoir à ton tour glisser ta langue entre ses jolies cuisses ouvertes.
Te voilà a ton tour, langue pendante, prêt à la fourrer dans l’intimité très humide de notre amie Marie.
D’un geste rapide tu ouvres les pressions de ton jean pour en sortir ton membre qui commençait déjà à être à l’étroit sous le regard de nos frasques. Sans attendre je me glisse entre vous, sous vous, bouche ouverte, langue envieuse afin de déguster un cocktail, ce cocktail du délice où seront mélangé vos deux sucs.
Nous voilà tout les trois à nous lécher comme des amants assoiffés. Ton membre est si gonflé sous cette excitation que les envies de Marie et moi nous guident vers le partage à deux langues, profitant, à genoux, de l’effleurement de nos deux langues.
Ses doigts me fouillent, les miens en font autant, pendant que ton regard se porte sur nous, te rendant de plus en plus dur, prêt à nous laisser boire ta semence, prêt à jaillir comme un geyser.
Ces deux langues te rende dingue de plaisir, nos petites fesses rebondissent sous tes yeux, nos seins dressés aux bouts pointus te font perdre tout contrôle. Tes mains viendrons nous caresser chacune notre tour, nous dansons l’amour à trois. Tu finiras par couler, verser ta semence sur le bout de nos langue nous demandant de continuer à bien te déguster jusqu’au bout de ta jouissance.

Marie finira par s’envoler à son tour vers le Nirvâna sous la danse de mes doigts, profondément enfoncés dans son monde intime pendant que les siens font de même pour moi, nos baisers fusionnent, nos langues virevoltent en tout sens.Nos gémissements se mélangent, nous sommes en plein orgasme mutuel. Après ces instants surprenants et inoubliables, nous reprendrons le cours de la soirée devant ce fameux diner sans nous poser de questions, juste nous souriant, Julien n’en saura jamais rien.
Nous nous quittons le sourire aux lèvres nous promettant de ne pas recommencer.
Arrivés chez nous, nous prenons place dans notre lit rapidement et partageons à nouveau notre amour, nos nouvelles envies naissantes seront cette fois ci juste pour nous deux.

A la fin de ce conte, Marc se retrouve nu et plein de désirs. Julia à pris soin de l’effeuiller au fur et à mesure de cette petite histoire chuchotée. Quasiment dénudée, elle finira par le chevaucher, lui promettant une nuit gourmande.

[gris]Marie[/gris]

Commentaires (2)

  • Pierre Eiffel

    Merci Marie de partager de si doux fantasmes.

  • cCGTpCaLhPAYL

    Mercotte : je te rassure, je n’ai rien achete9 de pe9rissable en pre9vision de ces vnaccaes...Gracianne, Marie, Be9a, Anne, Cathy : Merci.Virginie : merci Virgine. La premie8re photo repre9sente une chapelle de9saffecte9e, qu’un jour nous avons transforme9e en boeete de nuit ... Bonnes vnaccaes e0 toi aussi.Ste9phane : non je ne vais pas e0 St Maximin cette fois ci... Je m’arreate un peu avant e0 Aix...