Pornothérapie
Le 02/02/2011
La pornographie, rempart contre le crime sexuel ? C’est la conclusion surprenante que le magazine américain The Scientist tire d’un certain nombre d’études - études effectuées dans un pays où 1/4 des habitués de sites pornographiques téléchargent du X depuis leur lieu de travail. D’après ces chercheurs, la facilitation de l’accès au porno n’entraîne pas une augmentation des comportements antisociaux ou misogynes. Au contraire, il semblerait que les violeurs consomment en moyenne moins de porno que les autres.
Un ultime argument - très cher aux Américains - achève ce plaidoyer pour le porno : "la liberté de tous ne doit pas être restreinte pour prévenir les abus de certains". C’est une bonne nouvelle pour une industrie qui engendre aux Etats-Unis plus de revenus que les compagnies Microsoft, Google, Apple, et Amazon rassemblées.
Commentaires (5)
Enfin de bonnes nouvelles....
C’est les féministes radicales qui doivent avoir la rage en ce moment.....
...Et les féministes pro-sexe (dont je suis), aux anges !
Bah en voilà une nouvelle " qu’elle est bonne " Bon bref c’est très bien comme ça, après tout il n’y a que ceux ou celles qui ne veulent pas en entendre parler, que cette étude peut choquer, mais on sait très bien que dans les secrets de l’alcôve, ils et elles en font de belles, mais surtout en secret, ce ne sont pas des choses que l’on peut avouer, il n’est qu’à voir les révélations en nombre des pédophiles découverts 10, 20, 30 ans après leurs frasques... Prêtres ou surveillants de colonies de vacances et les autres bien sûr... Incapables d’assumer leur sexualité autrement qu’en l’exerçant sur des enfants dans les pires circonstances de l’apprentissage logique du sexe, Sodomie et fellation pour tout apprentissage...
Vivons le sexe, vivons le cul sans tabou comme le faisait il y a deux milles ans les Grecs anciens, et les vieux philosophes qui couchaient entre de très jeunes filles avec les quelles sans doute il ne faisaient pas grand chose, mais cela leur régénérait le sang et les humeurs disaient ils.... Bravo à cette étude...
Etude sans doute financée par l’industrie du sexe...et qui ne tient pas compte des autres conséquences du développement exponentiel du porno dès le plus jeune âge : dégradation des rapports entre garçons et filles entre autres.
C’et quand même fou de considérer que les anti porno sont anti sexe. On peut aimer le sexe et ne pas aimer la pornographie. Le porno c’est la guerre des sexes. Concevoir le sexe comme un échange et non comme un acte de domination !