Branlette brésilienne
Le 20/05/2011
Après la branlette espagnole…la branlette brésilienne ? A défaut de désigner, comme la première, une position érotique précise, cette nouvelle expression se rapporte plutôt à une revendication originale : le droit de se masturber sur son lieu de travail.
C’est en effet dans le cadre de son activité professionnelle d’experte-comptable que Ana Catarina Silvares Bezerra, une Brésilienne de 36 ans, mère de trois enfants, a su imposer, après plus de deux ans de procédure, cette forme inédite d’avantage professionnel.
Atteinte d’un déséquilibre neurochimique et faute de trouver suffisamment d’hommes pour la contenter, Ana était contrainte de se masturber quarante-sept fois par jour (même pour celles douées d’un tempérament de feu, avouons que c’est beaucoup).
Lasse de ce rythme d’enfer qui nuisait à sa productivité et donc à sa carrière, elle s’est dans un premier temps tournée vers la médecine. La prise de médicaments lui a alors permis de réduire sensiblement le nombre de ses caresses journalières (dix-huit en moyenne, tout de même).
Constatant néanmoins que ses collègues et son patron jugeaient ses jeux de main sous le bureau d’un œil plutôt défavorable, la Brésilienne s’est adressée en dernier recours aux tribunaux de son pays. Lesquels viennent de lui donner gain de cause. Ana devient ainsi la première salariée dans le monde à avoir légalement le droit de se masturber au boulot, à raison de quinze minutes toutes les deux heures. Les juges lui ont en outre octroyé la liberté de surfer à sa guise sur les sites pour adultes avec son ordinateur professionnel.
Espérons que cela lui permettra, si ce n’est pas déjà fait, de découvrir notre collection de films spécialement conçus pour le second sexe…
[gris]Armande Béjart[/gris]
Commentaires (2)
moi aussi je me masturbe au travail mais seulement de temps en temps.
j’aime bien l’expression "déséquilibre neurochimique" !on pourrait peut-être ajouter "psychologique" ,non ?