New-York

Le 08/01/2010

Elle avait tout prévu, elle en était sure, tout serait parfait. Cela faisait tellement longtemps que Valérie avait préparé ce voyage, elle en avait rêvé et aujourd’hui son fantasme allait devenir réalité.
Elle regarda une dernière fois dans son sac pour être sure d’avoir les billets d’avion, enfila son manteau et sauta dans la voiture pour aller chercher son ami, Sébastien, au travail. Il n’était au courant de rien, tout allait être une surprise pour lui.
Il savait qu’elle venait le chercher mais ne se doutait pas du week-end qu’elle lui préparait. Elle l’emmena à l’aéroport et ils sautèrent dans un avion, direction New York.

Elle avait mis ses bas, un joli soutien-gorge coloré qui habillait sa poitrine généreuse et cette robe qu’il aimait tant. Assis à côté d’elle dans cet avion, il n’en revenait toujours pas. Il souriait sans pouvoir s’arrêter. Au bout de quelques heures de vol, leur voisin s’étant endormi, elle prit sa main, l’attira à elle et plaça ses doigt entre ses cuisses. Alors il comprit qu’elle ne portait pas de culotte. Son sang ne fit qu’un tour et il commença à être excité à cette idée. Il laissa vagabonder ses doigts sur son clitoris et la regarda. Elle fit tomber sa tête sur le dossier de son siège et ferma les yeux. Le désir montait en elle et elle voulait ne rien perdre de cet instant. Il dirigea sa main un peu plus bas et laissa entrer ses doigt dans son intimité. Une vague de bien être la submergea. Tandis qu’il la branlait, elle respirait de plus en plus fort. Elle ne pouvait pas crier et pourtant elle aurait aimé. Il s’arrêta un instant et elle en profita pour reprendre un peu ses esprits. Elle laissa aller sa main sur le genou de son ami. Elle remonta doucement le long de sa cuisse et déboutonna doucement son jean. Elle enleva le bouton de son caleçon et caressa en douceur l’objet de son désir, le sexe de son ami devenant de plus en plus dur. Alors qu’il était très excité, elle décida de stopper net ses préliminaires afin de prolonger le désir.
Lorsque l’avion atterri à New York, le vol s’était passé sans encombre, ils étaient tous les deux sur un nuage, pressés d’arriver à l’hôtel afin de faire l’amour.

Un taxi les attendait pour les conduire en plein centre de Manhattan. Leur chambre d’hôtel se situait au 45ème étage, juste sous la terrasse panoramique que l’hôtel mettait à disposition de ses clients. Le lit était King Size et la déco était très design. Un dressing faisait face au lit et fermait grâce à de grands miroirs. La salle de bain bénéficiait d’une baignoire ainsi que d’une douche. Elle lui proposa de se préparer pour aller diner et entra dans la salle de bain pour se changer. Elle prit une douche et s’habilla. Elle mit un slip tanga en dentelle noir, pris le soin de mettre le soutien gorge qui allait avec et enfila une paire de bas couleur chair. Elle prit un chemisier noir, légèrement transparent qu’elle ajusta au niveau de sa poitrine. Son 95 E lui permettait beaucoup de fantaisie au niveau de ses décolletés. Elle savait les mettre en valeur. Une jupe noire, droite, tout ce qu’il y a de plus classe, une paire d’escarpins à talon vertigineux, un soupçon de maquillage et elle était prête à passer la nuit la plus chaude de son existence.

Il l’attendait, vêtu d’un jean et d’une chemise blanche. Ils descendirent et commencèrent par prendre un verre au bar de l’hôtel. Après quelques cocktails, elle lui prit la main et l’entraina dans la rue. Elle appela un taxi et donna l’adresse à laquelle elle voulait se rendre au chauffeur. Son ami ne comprit pas de suite pourquoi ce dernier avait fait un petit sourire en coin. Toutefois, il se douta de quelque chose une fois arrivé devant le club où elle l’emmenait.

Il s’agissait d’un club libertin. Une femme vint à leur rencontre afin de les mettre à l’aise. Car même si Valérie en avait rêvée, elle se sentait un peu gauche dans cet endroit où tout était volupté. Elle leur proposa de faire le tour du propriétaire. Passé l’entrée, ils entrèrent dans un bar qui, somme toute, ressemblait à n’importe quel bar select, une ambiance feutrée en plus, peut être. Ensuite, il y avait des salons privés où tout était possible. Ils s’installèrent à une table pour prendre un verre lorsqu’une femme vint s’asseoir avec eux. Elle était brune, de taille moyenne. Elle portait un chemisier blanc sous lequel on devinait une belle poitrine, une jupe courte blanche et des escarpins blancs qui affinaient ses jambes. Elle aussi était française, de passage à New York.
Sans dire un mot, elle se leva, prit la main de Valérie et l’entraina dans un salon privé. A partir de là, Valérie se laissa aller. L’ambiance tamisée, la musique et cette femme qui l’attirait, rien ne serait plus jamais comme avant. Sébastien les avait suivi et les observait.

La femme brune embrassa doucement Valérie. Elle déboutonna le chemisier noir pour laisser apparaitre cette poitrine généreuse. Doucement, elle fit glisser une bretelle sur le bras de Valérie et caressa ce sein ainsi libéré, se penchant pour lécher son téton. Avec son autre main, elle libéra le deuxième sein et les lécha tous les deux, les pétrissant aussi avec ses doigt durant de longues minutes. Elle poussa Valérie sur le sofa afin qu’elle y tombe et fit glisser ses mains sur ses cuisses pour les découvrir. La jupe ainsi remontée, elle put lui retirer son slip.
Mise à nue de cette façon, Valérie était tout excitée. Elle déboutonna à son tour le chemisier de cette inconnue et, pour la première fois, caressa des seins de femme qu’elle put aussi lécher. L’inconnue l’arrêta et enleva elle-même sa jupe.
Assise sur le sofa, elle fit s’agenouiller Valérie, lui prit les cheveux et avança doucement sa tête entre ses cuisses. L’odeur intime de l’inconnue excita Valérie qui commença à lécher cette chatte si gentiment offerte. Sa langue commença de timides va et vient. Plus la chatte ruisselait, plus l’excitation grandissait. L’inconnue remarqua Sébastien qui regardait toujours sa femme, une bosse au creux du pantalon.

Elle lui fit signe d’approcher et il ne se fit pas prier pour se mettre debout à côté d’elle. Pendant que Valérie léchait et caressait ce sexe féminin, l’inconnue déboutonna le jean de Sébastien et mis son sexe en bouche, ce sexe gros et dur qu’elle commença à sucer avec envie. Elle fit un signe à Valérie pour qu’elle se joigne à elle. Toutes deux sucèrent Sébastien. Son sexe grossissait encore. Valérie s’allongea sur le sofa pour que l’inconnue la lèche. Son excitation était tellement grande que la jouissance fut rapide sous les coups de langue experts de cette femme. Peu de temps après le sexe de Sébastien entra dans le ventre de l’inconnue. La scène était excitante. Sébastien en train de prendre une autre femme. Valérie en profitait pour lui caresser les seins, les lui lécher, lui pincer les tétons. L’inconnue, sous les mains novices de Valérie, sous les coups de reins de Sébastien sentit monter en elle la jouissance et explosa dans un cri.
Sébastien se retourna vers Valérie et la fit sucer cette queue si grosse et prête à jouir. Ensuite, il retourna son amie afin de la prendre à son tour. Après l’avoir fait jouir, une jouissance vaginale extrême, il lécha son petit trou pour mieux la sodomiser. Il rentra son sexe dans l’anus de Valérie et leurs jouissances respectives furent rapides mais sans aucune équivalence. Fatigués de ce moment intense, ils s’assoupirent tous les deux quelques minutes. Lorsqu’ils rouvrirent les yeux, l’inconnue était partie en laissant un petit mot : Merci.

Quand ils revinrent à l’hôtel, Sébastien repensait encore à ce moment magique qu’ils venaient de vivre. Dans la chambre, il mit Valérie devant le miroir et se posta derrière elle. Il déchira son chemisier et sorti les seins de son amie de leur soutien-gorge. Il les caressa en demandant à Valérie de regarder. Ensuite, il remonta sa jupe et enleva son slip. Son chemisier déchiré, sa jupe retroussée, sans slip et perchée sur ses escarpins, elle avait l’air d’une prostituée et il avait l’intention d’en profiter. Tout ce spectacle l’excitait. Il la fit s’agenouiller, lui prit la tête entre ses mains et l’obligea à le sucer. Pour mieux profiter du spectacle, il retroussa un peu plus la jupe pour pouvoir voir son cul dans le miroir. Il récupéra la ceinture de son jean et en asséna quelques petits coups sur les fesses de Valérie. Excitée, elle augmenta la cadence des va et vient qu’elle opérait avec sa bouche. N’en pouvant plus, il retira sa queue de cette bouche si bonne, allongea Valérie sur le dos et plaça son sexe entre ses seins. Il mit des coups de reins jusqu’à se faire jouir au milieu de ces seins si excitants.

Complètement épuisés, ils s’endormirent…

[gris]Patricia C.[/gris]

Commentaires (7)

  • Anonyme

    J’ai beaucoup aimé même si, dans le style, il y a quelque chose qui ne me plait qu’à moitié.

  • Anonyme

    Un peu bourrin, non ?

  • Anonyme

    Bof ! rien d’original hormis l’orthographe plus que sommaire !

  • ambre

    bof bof, y’a vraiment rien...du vu, revu, relu.....
    C’est vraiment d’une banalité ....

  • J

    Moi j’aime bien. C’est pas du Proust mais c’est excitant.

  • tQsHftFiS

    PWBb1u Kewl you sohlud come up with that. Excellent !

  • Pink Daisy

    Je n’aime pas la fin !
    Sinon pas mal excitant !