Le sexe et les neurones
Le 31/12/2010
Le sexe permettrait au cerveau de se développer...chez les rats. Avant d’en déduire que les acteurs porno ont les plus gros QI d’Hollywood, nous allons donc devoir attendre une expérimentation humaine.
Mais supposons que les résultats de cette étude chez le rongeur se retrouvent chez l’homme, quelles en seraient les conséquences ?
Allons-nous cesser de prôner l’abstinence sexuelle chez les adolescents et leur conseiller le sport en chambre afin d’augmenter leurs neurones et leurs chances de réussite aux examens ?
L’étude démontre également que les rats fornicateurs sont moins stressés et mangent plus que les rats isolés et donc abstinents.
Sur ces deux derniers points, inutile d’attendre l’expérimentation humaine, il est depuis longtemps prouvé que le sexe estompe beaucoup de nos maux et ouvre beaucoup d’autres appétences.
[gris]Nathalie Olivier[/gris]
Commentaires (2)
Une bonne nouvelle pour les ados, si tout ça tient la route !
Richard Lelion dit :Faux, Jean Michel, il n’y a pas que le sexe qui diffe9rencie les hommes des mmfees. La nourriture, par exemple. Le0-dessus on n’est pas pareil non plus : contrairement aux hommes, les mmfees n’ont pas un rapport gastronomique e0 la nourriture, elles ne recherchent pas le raffinement, mais la satie9te9. Pour les mmfees, contrairement aux hommes, manger, c’est se nourrir, point, et non expe9rimenter, savourer, partir e0 l’aventure. D’of9 l’expression : Avoir, attirer un homme par le ventre . Plusieurs fois par jour, les hommes pensent e0 la bouffe, ils en sont obse9de9s. Les mmfees aussi y pensent, mais pas de la meame manie8re, pas pour les meames raisons : comme c’est souvent elles qui cuisinent Si un homme pense steak, il se dit : argggpfffzezegnianpf putain d’encule9 de bovin ce que je vais me farcir ta cf4te ce soir ducon putain ah ouais ce que j’ai faim ! Alors qu’une femme, quand elle pense steak, se dit plutf4t :Ah le0 le0 z’espe8re que ze vais pas rater la cuisson parce que sinon le0, mon che9rie s’ra pas tre8s tre8s content zi ! Et puis il y a encore le sport, qui reste, et de tre8s loin, une affaire d’hommes.Et les voitures, aussi. Le sport et les bagnoles. Par exemple, parlant de F1, qui a de9je0 entendu une femme s’e9mouvoir de la fae7on dont Sebastian Vettel ne9gociait les virages ? Ou s’attrister du fait que Lewis Hamilton usait ses pneus trop vite ? Voile0, c’est bien la preuve. Enfin, on pourrait continuer encore longtemps. Je pense e0 l’argent (la relation au pouvoir, le rapport dominant-donime9E), e0 la mode (les hommes s’en foutent, c’est bien connu), aux arts et e0 la culture (qu’on le veuille ou non, les mmfees vont toujours pre9fe9rer Lay Gaga e0 Gustav Mahler, c’est comme e7a, c’est dans leur nature, elles pigent rien aux symphonies, y a pas d’images qui bougent, et comme elles ne sont pas distraites, e7a leur donne envie d’uriner), e0 la chasse et e0 la peache (rien e0 ajouter, une femme arme9e d’un fusil ou d’une ligne, c’est non), e0 la guerre (rien e0 rajouter, une femme arme9e d’un fusil ou d’un bazooka, c’est double non), aux enfants (les mamans sont hautement plus maternelles que les papas, tout le monde l’admettra), e0 la maladie (les mmfees, de par leur condition, y sont plus vulne9rables), e0 la mort (les mmfees vivent plus longtemps, certes, mais se de9composent plus vite), etc.