Hardcore in London

Le 16/03/2011

Elle n’avait pas trouvé mieux que la manière forte pour s’introduire dans la villa du bord de mer. Ce petit fromage de Dougherty l’avait dupée pour aller encore s’engluer dans son vice toxique et les sbires de Ben Tarik l’avait évidemment piégé comme un rat de laboratoire. Pour une première mission, elle était gâtée. Ce merdeux devait maintenant croupir dans les soubassements de la maison et c’était son boulot à elle de le sortir de sa cage.
Les deux gardes en bas avaient été neutralisés sans trop de difficulté et ils contemplaient maintenant les étoiles éternelles, couchés dans l’herbe comme des marionnettes abandonnées par un manipulateur pris d’ivresse.
 

Elle monta les escaliers heureusement molletonnés de splendides tapis choisis avec raffinement par le maître de céans. Elle traversa encore deux vastes pièces et s’immobilisa lorsqu’elle entendit comme un murmure lointain.
 

C’était une voix d’homme. Elle dégaina son couteau de chasse et avança en tapinois.

  L’individu était nu, son corps était musclé et bronzé. Il ne pouvait la voir, mais elle le voyait distinctement sous le jet fumant de la vaste salle de bain grâce aux multiples miroirs qui se renvoyaient un jeu complexe de reflets. L’homme prenait une douche sans idée de ce qui l’attendait. Elle observa et vit alors que son sexe était dressé et raide sous le jet ruisselant.
  Ce salaud le tenait dans sa main couverte de bagues argentées et se masturbait en fredonnant. Elle retint son élan et l’observa tandis qu’il rejetait sa tête en arrière et faisait glisser ses doigts sur son pénis. Le spectacle se mit à l’exciter et elle différa son attaque pour le contempler. Quel gâchis de flinguer un si bel étalon, mais le devoir l’exigeait. Pourtant, elle frémit à l’idée de sucer cette belle queue éclaboussée d’eau et se frotta les cuisses un instant avant de tremper ses doigts dans son vagin dessous le pantalon de sa tenue de combat.
L’homme continuait de se caresser et il fallait le tuer, mais elle ne pouvait s’y résoudre immédiatement. Attendre encore un peu -pensa-t-elle- malaxant ses petites lèvres et regardant l’homme accomplir sa besogne. Trouver le moment propice. L’occasion se présenta dans un gémissement de l’homme nu : la main de celui-ci resta subitement figée sur son gland gonflé comme un petit ballon de sucre alors qu’il allait jouir. C’est là qu’elle prit l’initiative. Elle fut sur lui en un quart de seconde, lui décrocha un atémi sur le plexus, il glissa et se reçut sur le dos, sa tête percutant le carrelage.
 

La vasque de la douche était vaste, au moins quatre personnes auraient pu y tenir. Elle immobilisa l’homme que le coup avait sonné. Son sexe cependant était resté tendu et droit et il n’avait pas eu le temps d’éjaculer. Elle croisa ses bras dans son dos et le menotta contre un portant de la douche. ??L’eau tiède ruisselait maintenant sur elle exhibant la pointe de ses seins durcis par l’action et l’excitation. L’homme revenant à lui se mit à la regarder avec un sourire lubrique. Son sexe toujours dressé était comme un défi. Elle le retint alors immobile et s’accroupit sur lui puis commença à le sucer. Il gémissait tandis qu’elle plantait son gland au fond de sa gorge et léchait sa queue vibrante d’excitation...

  « Salope : tu venais me tuer et tu me baises ! »
 

Elle lâcha sa bite, se releva et le frappa d’un coup de poing.
Le sexe de l’homme se mit à frémir et une petite giclée de sperme en jaillit. Elle ne tint plus et retira le bas de sa combinaison de combat. Sa chatte était trempée, il fallait qu’elle lui offre cette belle queue à se fourrer. Elle s’approcha de l’homme et planta son sexe hypertendu dans son con brûlant et moite. Il poussa un court cri rauque et elle sentit son membre plonger en elle, presque au bord de la jouissance. Elle initia un langoureux mouvement de va et vient. L’homme essaya alors de la mordre mais elle lui asséna un retentissant coup de tête pour le calmer. La douleur fit ramollir son sexe et elle redoubla le rythme de sa cadence pour en restaurer la vigueur. L’effet fut rapide tandis qu’elle enfonçait cette queue dans la douceur veloutée de son intimité.Elle lui massait maintenant les couilles et gémissait à chaque fois qu’elle enfonçait le membre dans sa chatte.
 

"Sale chienne tu es vraiment tordue. Tu vas me faire jouir ! J’aurai pas pu souhaiter crever autrement, soupira l’homme dont la queue devenait énorme dans son sexe à elle, qui sentait la sève monter depuis les tremblements dans les cuisses de ce salopard".
C’est alors qu’il entendit la voix de Ginza pour la première et la dernière fois :
 

"Ne viens pas maintenant, motherfucker. Retiens-toi, car ce sont tes derniers instants dans le monde des vivants. Dès que tu auras joui je te tuerai. Alors prolonge ce moment de ta vie autant que tu le peux".
   

Cela dit, elle s’arcbouta encore plus pour planter son con jusqu’à la garde de son pénis et lui faire perdre le contrôle. Elle remuait lascivement tout en scrutant le visage harmonieux de l’homme qui luttait contre l’emballement de ses sens et refoulait son envie d’éjaculer à l’intérieur de sa caverne moite. Il réussit à tenir encore quelques minutes en se mordant les lèvres jusqu’au sang puis épuisé et vaincu expulsa un jet tiède et abondant dans son vagin.

  Elle jouit avec lui en silence, comme un continent, se releva, le regarda une dernière fois tandis qu’il soufflait et l’implorait de ses grands yeux verts. Alors, elle sortit son arme et lui trancha la gorge......

  Florent Lassale

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Commentaires (1)

  • ZBeKeirLiGliAAe

    I came, I read this article, I conqerued.