The New Joy of Sex
Susan QuilliamLe 31/03/2009
Le besoin de connaissance que fait naître la sexualité n’est pas né d’hier. En 1972, un ouvrage intitulé The Joy of Sex tâchait déjà d’y répondre. Il s’agissait d’offrir une source d’information digne de foi à propos d’un domaine dans lequel il n’était pas toujours évident de savoir à qui s’adresser.
35 ans après, le problème demeure. D’autant qu’Internet offre à présent une formidable caisse de résonance aux rumeurs en tous genres, notamment en matière de sexe. On comprend donc l’intérêt de la parution de The New Joy of Sex (voir ci-contre les premier et dernier exemples de la série), version réactualisée de l’ouvrage précité - qui, précisons-le, a connu depuis plusieurs rééditions modernisées.
Outre le fait qu’elle aborde des thématiques inexistantes lors de l’arrivée de son aînée (cybersexe, sida, viagra), cette nouvelle mouture présente l’intérêt d’avoir été rédigée par une femme : la psychologue Susan Quilliam. Bien que son prédécesseur ne fût pas passé à côté du plaisir féminin, le progrès de la recherche sur la question a nécessité une mise à jour. Alors que l’ancienne édition évoquait brièvement le clitoris, la nouvelle y consacre une place à sa juste mesure.
On regrette cependant le parti pris de ne s’adresser qu’à des couples hétérosexuels. Pourtant, en 2009 comme en d’autres temps, on peut préférer la voile à la vapeur !
[gris]8 janvier 2009[/gris]
[gris]A l’heure où nous publions ces lignes, aucune version française de la dernière édition de l’ouvrage n’est prévue.[/gris]
[gris]Editions Mitchell Beazley
£13.29 (environ 12 €)[/gris]
Commentaires (2)
Walking in the presence of giants here. Cool thinking all aorund !
dit :@Yann Leroux Ou encore : En quoi un atsernpipsage de9sinte9resse9 serait-il moins recommandable qu’un atsernpipsage inte9resse9 Et en quoi l’inte9reat pour l’argent serait-il moins noble que celui qu’on cultive pour la vaine gloire ? Celui qui ne recherche pas l’argent cherche autre chose, qui souvent nous apparaeet avec le temps comme bien davantage obscur et suspect J’aime bien que Freud se soit ve9cu comme un bon clinicien libe9ral, soucieux de soigner sa cliente8le