Libération

Le 15/06/2010

« Cinq courts-métrages tendus fantasques, drôles, dialogues débridés et absolument pornos. (...) Cul et pas cucul, érotique ou pornographique, le résultat est une mosaïque de regards avec pour dénominateur commun : le plaisir au féminin, ce grand absent du porno traditionnel. (...) L’exercice de style de Zoe Cassavettes vaut démonstration »

[gris]Olivier Wicker[/gris]