« [Les femmes] prouvent une nouvelle fois qu’elles ne sont pas en reste quand il s’agit d’apposer leur plumes et leurs regards sur les jeux du désir »
« Et dans ces films qui ont pour but de toucher un public féminin, pas de violence, pas de blonde péroxydée, pas de seins siliconés ou d’ongles américains. » [gris]Sébastien Baer[/gris]
« L’objectif de satisfaire aux interrogations liées à la sexualité féminine » [gris]Ghislain Loustalot[/gris]
« Confier la réalisation de films X à des femmes a permis de combler un manque »
« Cinq courts-métrages tendus fantasques, drôles, dialogues débridés et absolument pornos. (...) Cul et pas cucul, érotique ou pornographique, le résultat est une mosaïque de regards avec pour dénominateur commun : le plaisir au féminin, ce grand absent (...)
« Basculer dans l’univers de la pornographie a été un choix intellectuel, quasi militant. (...) Sophie Bramly n’a rien de commun avec ces personnages de fiction qui ont croisés le monde du X par héritage […] ou par besoin d’argent. (...) Par cette (...)
« Les ’X-Plicit films’ […] ont pour ambition de renouveler le genre pornographique en étant à l’écoute du plaisir féminin » [gris]Xavier Privat[/gris]
« Une nouvelle représentation de la jouissance fondée sur de sérieux critères esthétiques » [gris]Elisabeth Lazaroo et Anne Labarre[/gris]
« [Sophie Bramly] ne veut pas d’une vision trop mélancolique de la sexualité féminine. […] Elle ne veut pas non plus d’une représentation dégradante de l’un ou l’autre sexe. […] Sophie Bramly était consciente que ce choix du cinéma allait être un pari (...)
« Porno et intelligent […] c’est rare, et sans être féministe primaire, c’est le chic du porno filmé par les filles » […] Qualité de la relation, qualité de l’image, qualité du fantasme. Tout y est ! » [gris]Catherine (...)