Wolinski s’expose
Le 04/03/2011
"Il y a deux sortes de femmes, les moches et les salopes. Et encore, j’en connais des moches qui sont de belles salopes" : l’art de la provocation prend bien souvent des accents phallocratiques chez Wolinski. Mais il cache mal la tendre obsession qu’il nourrit pour ses "filles" - en témoigne le nombre de planches qu’il leur consacre.
La Galerie Petits Papiers présente en mars « Wolinski s’expose », un retour sur l’œuvre du dessinateur, du début des années 1960 - à Hara-Kiri - à son dernier livre, La Sexualité des Français de De Gaulle à Sarkozy. Une constante sous son crayon : la sexualité. Dans une interview pour le journal LePoint, il avoue avoir découvert les charmes de la chair à travers les livres - les Mémoires de Casanova ! - et c’est avec une irrévérence hilarante qu’il les met en scène dans ses dessins depuis 50 ans.
"Wolinski s’expose" du 4 au 26 mars 2011
à la Galerie Petits Papiers, 91 rue Saint-Honoré 75001
Commentaires (3)
Glad I’ve filalny found something I agree with !
ce tjrs comme ca avc les meufs,l es question response, si tout ce ce complique a lafin elle leve l encre,
dit :@ Gunthert : techniquement c’est faux Peu imtproe, l’important est que ce soit contractuellement juste, comme l’indique l’intitule9 de notre fonction ( enseignant-chercheur ).Beaucoup de mes colle8gues qui ne publient pas s’en de9fendent en disant Pff ben oui mais que veux-tu si on n’a rien d’original e0 produire et si on ne se sent pas porte9 e0 cela Une objection de fond : personne ne nous demande d’eatre de bons chercheurs mais de remplir notre contrat, id est de produire les savoirs que nous enseignons.Une objection de forme : c’est exactement la meame chose que de dire Pff ben oui mais si on ne se sent pas porte9 e0 l’enseignement pour justifier que l’on ne se pre9sente pas e0 ses propres cours.