La cellulite, c’est comme la mafia, ça n’existe pas
PulsatillaLe 31/03/2009
Pulsatilla, c’est la nouvelle Bridget Jones à l’italienne. En moins dépressive et plus transgressive ! Son langage cru donne du piment à sa vie quotidienne de femme et ses batailles font écho en chacune de nous. Sa drôlerie est efficace et le livre se parcourt un sourire accroché aux lèvres. Pour la petite histoire, Pulsatilla est la fille, normalement perturbée de parents d’extrême gauche cultivés et normalement incapables, bercée par l’ennui et la gastronomie des Pouilles, l’adolescence entre le pensionnat, l’anorexie, la boulimie ou l’épilation laser, la politique, la télé et le Net, les garçons…
Elle a fait rire toute l’Italie et n’est apparemment pas prête de s’arrêter.
En tant que non-italien, vous pouvez néanmoins vous dispenser des vingt pages consacrées aux exemples du patois de sa région, qui ne doivent être drôles que quand on connaît un peu l’italien (un peu comme le français et le ch’ti par exemple…).
[gris]24 avril 2008[/gris]
[gris]Editions Au Diable Vauvert
17€[/gris]