Érections masculines
Le 17/06/2012
J’ai 40 ans, ainsi que mon conjoint. Nous avons une vie sexuelle que je qualifierais de normale. Un seul regret, les érections de mon ami sont fermes, mais il a tendance à ne pas prolonger l’acte sexuel et je dois dire que cela me frustre parfois. Nous en avons bien sur parlé ensemble, mais il a du mal a conserver une érection affirmée. Comment puis-je l’y aider ? Y a-t-il des trucs ? Des médecines douces ? Je ne voudrais par que cela devienne une source de blocage.
Vous n’indiquez pas la durée des érections de votre conjoint. Si la pénétration dure moins de trois minutes, il y a peut-être une raison de vouloir agir, mais au-dessus, nous sommes dans des durées dites normales, mais souvent trop courtes au goût des femmes. Dans ce cas, il importe que les rapports qui viennent avant la pénétration soient plus longs, ou bien qu’il vous fasse d’abord jouir avec ses doigts, un godemiché ou vibromasseur, sa langue, etc. Vous pouvez aussi tester l’anneau pénien, qui garde l’afflux sanguin dans la verge et peut donc prolonger la durée de l’érection ; et veiller à ce que son alimentation ne charge pas ses reins.
Top des Érections masculines
- Mon partenaire lorsqu’il est excité, n’arrive pas pas à durcir son sexe longtemps pour pouvoir me pénétrer, et quand il essaye, il le tient d’une main, soit disant pour le guider lors de la pénétration. Son sexe est un peu dur, mais il n’est pas dressé droit devant lui. Il m’a dit se masturber régulièrement. De quoi peut venir ce blocage ?
- Mon ami a eu des problèmes d’érection d’où la prise de Cialis 10mg. iI voudrait passer à 20mg pour avoir un sexe plus rigide et pour pouvoir prolonger la pénétration, car même avec une fellation il ne se sent pas performant. Qu’en pensez vous ?
- Pendant mes érections la peau de mon pénis n’est pas tendue et continue de recouvrir en partie mon gland. Que puis-je faire ?
- J’ai 40 ans, ainsi que mon conjoint. Nous avons une vie sexuelle que je qualifierais de normale. Un seul regret, les érections de mon ami sont fermes, mais il a tendance à ne pas prolonger l’acte sexuel et je dois dire que cela me frustre parfois. Nous en avons bien sur parlé ensemble, mais il a du mal a conserver une érection affirmée. Comment puis-je l’y aider ? Y a-t-il des trucs ? Des médecines douces ? Je ne voudrais par que cela devienne une source de blocage.
- J’ai 27 ans, et j’ai déjà eu de nombreuses relations avec des hommes. Jusqu’à présent, je n’ai jamais eu de difficulté à provoquer le désir chez mes partenaires. Je suis depuis 8 mois avec mon compagnon et dès le départ, il a eu des difficultés pour bander. Entre le stress du boulot (il était à un moment crucial de sa vie professionnelle) et la nouveauté de la relation (ça faisait 2 ans qu’il était célibataire) il avait du mal à tout gérer. Nous en avons parlé, il y a eu une amélioration et nous sommes montés à une moyenne d’environ 2 fois par semaine. Mais ce qu’il préfère c’est regarder la télé avec son ordinateur sur les genoux ... Il me dit qu’il me trouve désirable et qu’il s’en veut de ne pas éprouver de désir sexuel. Depuis 3 semaines, nous n’avons fait l’amour qu’une fois et je suis au bout du rouleau. Comment le sortir de sa torpeur et faire en sorte qu’au moins nous nous touchions ? Car j’ai envie de lui et la masturbation ne me suffit plus.
- J’ai eu de multiples partenaires uniquement pour le sexe avant mes 40 ans, mais je n’ai jamais pu avoir d’orgasmes avec eux. Actuellement, je suis en couple avec un homme merveilleux qui m’aime et que j’aime beaucoup. Il est très charnel, me fait des baisers, des caresses, tout ce que j’adore, mais nous n’avons pas encore pu atteindre ce plaisir ensemble, car il a parfois du mal a avoir une érection qui dure. J’y arrive seule en me masturbant et cela me frustre de ne pas pouvoir partager ces émotions avec lui. Que me conseillez-vous ?
- On dit toujours que les hommes ont une période réfractaire au contraire des femmes. Pourtant, l’envie sexuelle me passe très vite et j’ai fréquenté un homme qui pouvait au contraire enchaîner les rapports, ce qui était pénible pour moi qui n’avais plus envie. Pourquoi affirme-t-on partout comme une vérité absolue ce phénomène alors que j’ai pu constater qu’il n’était pas toujours avéré ?
