Agnès Giard et les bricoleurs de sextoys du dimanche
Le 22/12/2010
Qui savait que dès 1867, les hommes s’inquiétaient du plaisir physique qu’une femme pouvait éprouver grâce aux trépidations du pédalier de leur machine à coudre ?
C’est Agnès Giard.
Pour en savoir plus sur cette édifiante histoire et celle des bricoleurs du dimanche, qui, aux États-Unis, rentrent de la messe puis construisent des machines infernales quelques fois très performantes, cliquez sur ce lien et retrouvez l’intégralité de l’article d’Agnès Giard, sur son blog :
http://sexes.blogs.liberation.fr/ag...
Commentaires (3)
En 2010, c’est les trépidations du wagon de métro qui crée chez mon amie un frottement divin. Et moi ça ne m’inquiète pas, ça m’excite, hihihi.
Le fantasme du vagin perpétuellement aux aguets me fait toujours marrer.
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