Elles se cachent derrière les grandes lèvres et permettent d’avoir des sécrétions filantes, incolores et lubrifiantes qui facilitent la pénétration du pénis. C’est l’anatomiste danois Caspar Bartholin le Jeune, qui en a fait la première description, au (...)
Le point G a été découvert en 1950 par Ernest Gräfenberg. C’est une zone érogène très sensibilisée. Chez certaines femmes, lorsqu’il est stimulé, il permet d’obtenir une excitation sexuelle intense. Mais, si la zone existe (environ 1 à 2 cm de diamètre (...)
Elles recouvrent le clitoris et les petites lèvres. Leur aspect varie d’une femme à une autre. Lors de l’excitation, elles deviennent plus sensibles, gonflent et peuvent dans certains cas procurer une sensation de chaleur qui sont les effets de (...)
Autrefois plus connu sous le nom de Olisbos, cet objet phallique est destiné à la pénétration, mais il ne vibre pas. Il est antérieur à l’antiquité (on en trouve des traces dès la préhistoire). Même s’il existait et que son utilisation était avérée, il a (...)
C’est la tête du phallus. Il augmente en volume et en rigidité lorsqu’il y a érection, mais de façon moins évidente que le reste de la verge. Très dense en réseaux nerveux, c’est une des zones les plus sensibles du plaisir (...)
Attirance pour les personnes âgées, chez les hommes comme chez les femmes. On ne parle de paraphilie que lorsque l’excitation, le désir, ne sont provoqués que par la présence d’une personne nettement plus âgée, que cette dernière soit consentante ou (...)
Relation sexuelle d’une personne avec plusieurs partenaires. En général, il s’agit d’une femme avec plusieurs partenaires hommes. La situation inverse, bien plus rare hélas, s’appelle "Reverse gang-bang". La pratique est rare en dehors des films (...)