Une performance totale
Le 23/04/2010
De l’obsession de l’éjaculation, c’est ainsi que pourrait s’intituler le podcast que propose Arte Radio, consacré à ces travailleuses du sexe méconnues que sont les femmes officiant dans des salons privés. Entre stripteaseuses, performeuses et prostituées, ces filles racontent comment elles sont arrivées à à faire ce difficile métier qu’est de faire jouir les hommes sans avoir de rapports sexuels.
"C’est un savoir-faire hallucinant" explique fièrement l’une, tandis qu’une autre avoue être touchée, d’une façon ou d’une autre, par ces êtres humains, parfois bizarres, qui semblent incapables de communiquer entre eux. Comme ce garçon viril, tatoué, brut, qui se masturbait en pleurant. "Même les bizarreries ont du sens."
Comme souvent quand on laisse la parole aux travailleuses du sexe, nous découvrons un monde sans condamnation morale ni provocation facile. C’est un document élégant, drôle et parfois étrange que nous livrent ces trois femmes.
Une bémol, cependant : le montage sonore. Si ces voix féminines sont envoûtantes, on pourra regretter le mélange de bruits d’usine et de sons bouddhistes, un raccourci un peu facile.
Salon privé : trois travailleuses du sexe racontent sur Arte radio.
http://www.arteradio.com/son.html?615813
[gris]Arthur Gibert[/gris]
Commentaires (3)
Actrices porno ou strip-teaseuses, ces femmes savent parler de sexe sans juger leurs "partenaires"
Kewl you souhld come up with that. Excellent !
Agir sans comprendre ! Elle a mit du cyunare dans le repas qu’elle nous a servis et vous, Mme les Fe9ministe, vous l’en remercier. Ce9der l’ensemble des droits de citoyens et sans restriction, e0 des personnes morales, des eatres qui n’existes que sur du papier, vous trouvez e7e0 normale. De9libe9re9ment ,l’on vous fait ignorer qu’a chaque anne9e au Que9bec, il y a plus de 10,000 citoyens qui se batte seul devant ce monstre qu’est la S.A.A.Q.. Si, un humain n’a pas le droit d’enlever les droits d’un autre humain, pourquoi un inhumain en aurait le droit ? Maintenant continuer de vouer une admiration sans borne e0 Mme Payette tout en ignorant qu’elle vous a fait prisonnie8re d’un syste8me dictatorial et elle pourra toujours pre9tendre le No Fault !