Je suis maladroite. Je m’emmêle toujours les pinceaux. Mais, bizarrement, jamais dans ces moments-là… Gestes précis, rapides. Je suis prête en un clin d’oeil. Je devance ton désir. Je te surprends. Tu ne t’y attendais pas et je suis déjà à te claquer (...)
J’habite un immeuble ancien joliment restauré dans le cinquième. Ce n’est pas haussmannien. C’est élégant cependant. Adresse provisoire. Je sous-loue à ma cousine qui fait des études d’architecture et qui, pour compléter sa formation, est partie au Canada (...)
Mathilde finit tranquillement son petit déjeuner, parcours les grands titres de la presse et reste un moment rêveuse devant la danse des flocons de neige qui finissent par fondre sur la fenêtre. Elle se lève et se tourne vers Aspen. Suis-moi dans (...)
J’imagine des options estivales nouvelles, que l’hôtel pourrait permettre. J’imagine qu’au bord du lac, tu pourrais être à l’hôtel X, moi à l’hôtel Y, pour son charme suranné. Plutôt que de jouer à la bourgeoise qui t’attend en contemplant l’immobilisme de (...)
On était dimanche, 17h32 quand je lui ai envoyé ce texto. A 21h, il sonnait à l’interphone. J’avais mis de très jolis dessous en mousseline transparente, des bas noirs et des richelieus à talons. Je ne portait qu’une queue de pie de costume d’homme (...)
Les lits du Lut’ les lies du rut : Tu loues ta pute, pour qu’elle turlutte ta flûte. j’enjambe, je grimpe, j’englobe l’engin, je lèche, le flatte... Ta bite dure pète sous la braguette, la bite dure pète. Tes doigts m’astiquent, tu pousses, TU (...)
Je me trouvais face à l’homme que j’avais électrocuté plus tôt dans la soirée. Il semblait bien décidé à se venger, et le fait que je sois attachée à une chaise n’était pas un bon présage. Il avait l’air furieux. J’avais essayé de m’enfuir tant que j’étais (...)