Retour de shows

Le 11/11/2009

Jacques Dutronc chantait à une époque « il est 5 heures, Paris s’éveille….. ». En ce qui me concerne, il est aussi 5h et je sors de boite, à la fois un peu fatiguée, mais aussi surexcitée par la soirée.

Je crois que j’ai peut être trouvé un moyen agréable de faire passer le temps du voyage de retour sans m’en apercevoir.

La soirée à été exceptionnelle, l’ambiance super et mes shows très hard ont déchainés le public et laissé sortir la grosse chienne qui sommeille en moi.

Je me suis vraiment lâchée sans aucune limite, ce soir et n’ai pas fini de hanter les fantasmes de nuit de mes spectateurs ébahis.

Je monte à l’avant de ma Mercedes, deux de mes danseurs s’installent à l’arrière et mon chauffeur démarre pour effectuer les quelques centaines de kilomètres du retour.

L’enthousiasme et les cris du public qui se bousculait pour s’approcher plus près de moi en scandant mon nom et les décibels continuent de résonner dans mes oreilles, je me sens apaisée.

Je me vautre sur mon siège, les pieds écartés sur le tableau de bord, le chauffage a fond et je repasse la musique de mes shows assez fort, on commente ensemble la soirée en détails.

Il fait nuit noire, pas de lune.

Mon chauffeur me fait remarquer que je sens un mélange de sexe, d’huile, de parfum et de transpiration. Il précise que ça l’excite.

Ca me fais rire, je lui dis que c’est normal car je suis aussi très excitée, mes shows ont été encore plus torrides que d’habitude, j’étais presque en train de baiser sur scène et dans la salle. Je me suis trop bien éclatée, complètement nue dans un bain de foule, offerte aux mains de mon public qui n’en revenait pas.

Je revois l’excitation dans les yeux des hommes dans la salle, pendant mes "dirty-shows" et dans mes passages "coyote-bitch".

Je relève ma jupe, j’ai les cuisses écartées et comme je ne porte jamais de string, je suis complètement trempée entre les cuisses, couverte d’huile de mes shows, dégoulinante de transpiration.

Par contre, j’ai envie de me détendre un peu et je décide d’enlever ma jupe pour qu’il puisse facilement me caresser le sexe avec sa main droite pendant que je me repose un peu, tout en conduisant de l’autre main.

Il pose délicatement sa main sur ma cuisse, puis monte jusqu’à mon sexe et me titille le clitoris, me glisse un doigt, me masse le pubis ; ça me détend bien, je frémis et je m’écarte, il me glisse 2 doigts, puis 3. Je continue de papoter avec mes danseurs pendant qu’il me tripote.

J’ai trop chaud, j’enlève le haut et me retrouve complètement nue dans la nuit, dans la chaleur de la voiture, le chauffage à fond. Je me sens mieux, je sens que ma nudité et mon impudeur électrise tous les passagers de la voiture.

Je vais m’amuser à les allumer pour passer le temps….puis on verra bien. On blague.

Je sens leur adrénaline qui monte et leurs hormones qui pétillent de plus en plus, ça m’excite. C’est dû aussi à mes parfums de sexe qui envahissent la voiture.

J’allonge légèrement mon siège en arrière, mon chauffeur continue de me tripoter, il fait de plus en plus chaud, j’adore la musique qui passe, la nuit m’envahit complètement, je ferme les yeux. Je suis bien… j’arrête de parler.

Je sens une seconde main qui m’attrape un sein et le palpe, joue délicatement avec mon téton, c’est un des garçons de derrière qui veut profiter du "voyage", je me retourne pour voir lequel des deux me titille.

J’aime la position et la situation, je ne bronche pas, je gémis doucement, je mouille de plus en plus, au fur et à mesure qu’ils me palpent, lui le sein gauche et le chauffeur mon sexe.

Je tourne légèrement la tète et l’autre garçon me prend la bouche à pleine langue, je dévore la sienne, puis, très entreprenant, il se penche entre les sièges pour me téter voracement le mamelon.

Sa position n’est pas confortable du tout, et il gêne le chauffeur qui grogne, et qui, du coup, arrête de me masturber.

Je n’ai plus envie de dormir mais de me faire caresser.

J’enjambe l’entre siège pour aller m’asseoir sur la banquette arrière entre les deux garçons… Ils me tripotent, m’embrassent, deviennent fébriles, se jettent sur moi et confessent l’envie de me manger.

Je masse leurs sexes à travers leurs pantalons et constate avec satisfaction qu’ils bandent bien tous les deux.

Je m’allonge en travers sur leurs genoux. Ils se remettent à me caresser, ils me palpent, me tripotent, me massent, me chatouillent. Je me détends complètement, cuisses écartées et bras en l’air, ça me donne de plus en plus l’envie de me faire défoncer.

Le garçon assis du coté de mes jambes, se penche et en se contorsionnant s’applique à me bouffer longuement le cul, a me lécher partout, sa langue bien appliquée sur le clito et l’entrée du vagin, il se délecte de mon jus de sexe qui coule comme une source.

Il aime délicieusement les senteurs mélangées de mon corps offert mélangé à leurs transpiration.

Je ferme les yeux et je somnole.

Mais je commence à avoir une crampe dans une jambe et me retourne a plat ventre sur eux. Je sors le sexe de l’autre de sa braguette, il est bien dur, je décalotte son gland et commence à le sucer avec délectation, pendant que le deuxième, ne pouvant plus me lécher, s’amuse à doigter mes deux orifices humides, de plus en plus affamés.

J’aime trop exciter les hommes, qu’ils bandent pour moi, ça me flatte de sentir leurs couilles durcir, se remplir de sperme que je vais déguster au fur et a mesure.

On manque un peu de place, malgré la taille de ma voiture. Je demande à l’un des deux de s’asseoir sur le siège avant et à celui qui reste derrière de se mettre nu.

Ah ! Ca fait tout de suite plus de liberté de mouvement.

Celui qui est resté se met assis confortablement au milieu de la banquette arrière. Je l’enjambe et m’empale sur son sexe avec envie… Je le sens bien, bien décalotté et m’occupe du va et vient en me levant en cadence, en me faisant en même temps tripoter par celui de devant, qui me mange la bouche également.

La buée de la chaleur qu’on dégage couvre toutes les vitres et oblige à mettre la ventilation à fond, les glaces sont fumées et les voitures qui nous doublent, ou que nous doublons, ne peuvent imaginer ce qui se passe a l’intérieur de la voiture.

Je suis bien. Trônant entre les sièges avant, en plein milieu et surélevée, bien empalée, je contemple la route éclairée de nos phares dans la nuit noire.

Je ne sais même plus lequel des deux garçons a son sexe planté dans le mien, et lequel me mange la bouche.

L’important est la sensation extrême que cela me procure. Je sens la moindre variation de la taille de la bite qui me prends, je sens la délicate peau de son gland en contact absolu avec mon vagin, elle est a moi, elle est comme dans un gant, et a chaque va et vient, mon vagin se rétracte quand elle sort, pour mieux se dilater ensuite, quand elle rentre a nouveau jusqu’au fond.

La sensation de plaisir est intense,j’aime trop ça, tous mes sens sont en éveil, je profite au maximum en jouissant en permanence.

Je vois les yeux du chauffeur dans le rétroviseur.

Je sens qu’il est déçu de ne pas participer à mes ébats et lui masse les épaules pendant que je me fais baiser.

Je m’enfonce à fond sur le sexe qui me prend et j’arrête de bouger.

Il est bien planté au fond de mes entrailles. Je contracte le bas ventre, au départ volontairement, puis mes spasmes deviennent involontaires et réguliers, comme les battements du cœur.

Je souris en pensant que mon sexe a quand même une certaine indépendance.

La position me convient. Je recommence a discuter avec les passagers assis à l’avant et, de temps à autre, je bouge, me soulève, vais et viens pour sentir si je suis toujours pénétrée, car sa bite est devenue rapidement une partie de moi-même. C’est très relaxant.

Je caresse la tête et la nuque du chauffeur, le griffe légèrement.

Il apprécie, grogne doucement cette fois, se retourne et me mange également la bouche furtivement, en gardant un œil sur la route…

Je demande à mon partenaire de changer de position, de s’allonger sur toute la longueur de la banquette, je me mets a cheval sur lui et commence une longue série de jouissances en me masturbant sur son sexe, mes cris de plaisir couvrent la musique.

J’ai tout à coup envie de me faire enculer, de me faire défoncer le cul.

Pendant qu’il continue à me baiser, je réfléchis à la position adéquate.

Ca y est ! j’ai trouvé ! Je demande au garçon de devant d’incliner son siège au maximum, je me couche à plat ventre sur le haut du dossier, les cuisses écartées, mon cul bien écarté et offert et il peut commencer à me sodomiser comme il faut.

Ca c’est du sport, quelles acrobaties !!!

Sa bite à la taille idéale, légèrement petite, très dure, elle rentre facilement dans mon petit cul, comme dans du beurre, après qu’il m’ait délicatement écarté les fesses de ses doigts.

Je sens ses couilles pleines qui tapotent mes fesses en cadence.

J’arrive à prendre la bite du garçon de devant dans la bouche, je le décalotte et je le suce en le léchant... il est un peu coincé par le tableau de bord.

Je leur demande d’éjaculer ensemble, ce qu’ils s’empressent de faire et ils m’inondent presque immédiatement de leurs spermes chauds, l’un dans le fond de ma gorge, l’autre au fond de mon cul.

Je constate avec soulagement qu’ils continuent de bander tous les deux, et suis ravie qu’ils puissent encore continuer à me baiser. J’ai encore envie et ai eu peur qu’ils débandent.

Le jour s’est levé… je veux encore et encore, je voudrais que ça ne s’arrête jamais, je suis insatiable, je veux profiter au maximum.

Mais le chauffeur me dis qu’on s’arrêtera quand même de baiser, juste avant le péage qui est encore à plus d’une heure de route.

Juste le temps d’avoir leurs spermes, l’un après l’autre, dans mon vagin gourmand qui a encore très faim.

On abaisse complètement le siège avant et les deux garçons se relayent à tour de rôle dans mon vagin. Soudain, empalée sur l’un des deux, je sens qu’un m’écarte les fesses et l’autre se faufile et me pénètre le cul, je suis prise en sandwich. Nos sueurs dégoulinent les uns sur les autres.

Je jouis encore et encore….ils éjaculent, je suis emplie de leur semence de tous les cotés.

Quel bonheur !!!!

Mais voila, il est déjà dix heures du matin, je n’ai pas vu le temps passer et nous sommes arrivés en ville.

Nos avons passé le péage sans même que je m’en aperçoive. Vive les péages automatiques et…les vitres fumées !

C’est un excellent moyen de voyager agréablement, je le referais régulièrement...

On rentre dans le parking complètement désert.

Je me rends compte que les garçons bandent toujours autant après avoir éjaculés 2 fois chacun… sûre que je suis trop excitante, vraiment trop bonne, ils confirment mon point de vue.

Nous sommes presque contrariés d’être arrivés si vite.

Je leur propose de les sucer une dernière fois avant de nous séparer et je suggère à mon chauffeur qu’il me pénètre une fois qu’on sera couchés et qu’on s’endorme comme ça.

Je les suce et ils éjaculent rapidement ensemble et pour la troisième fois, dans ma bouche cette fois.

Ca y est, ils débandent un peu, leurs couilles sont vidées …pour l’instant.

Je rentre me coucher avec mon chauffeur, qui me pénètre à peine allongé et, loin de s’endormir, me fais profiter de quelques positions du Kama Soutra, apparemment sans être gêné par le sperme des garçons qui coule de tous mes orifices.

Donc, sans compter mes ébats sur scène, je me suis faite dans la nuit trois mecs et 7 éjaculations en 6 h de temps environ.

Pas mal, bon score, et j’ai jouis sans arrêt. Je sens le sperme de partout. J’aime ce parfum : Sperme N°7, trop fort !

Je suis vraiment une grosse salope quand même, quelle pute !

J’aime trop le sexe et plus je baise, plus j’ai envie de baiser, l’appétit vient en mangeant.

Bon, je m’arrête et il faudrait que je pense à prendre un bain…… demain matin.

Axelle

Commentaires (1)

  • Antonia

    J’aime quand je lis une histoire ou la femme prends vraiment et sincèrement du plaisir. Sans faire semblant. C’est rare et ça fait du bien.