Oh ! My Gode

Le 25/11/2010

Neuf artistes femmes ont exploré le thème du sextoy et ont détourné l’objet en l’adaptant chacune à son univers.
Une source d’inspiration ludique et prolifique puisque 69 (!) œuvres en sont issues et seront présentées durant une semaine à la Galerie Celal dans le cadre de l’exposition Oh ! My Gode.




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Lors d’une exposition précédente, les deux artistes Miette et Stoul découvrent avec amusement un castor qui dissimulait un vibromasseur. L’idée leur vient alors de jouer sur le détournement autour du sextoy, c’est en rencontrant Virginia Ennor que le tout se concrétise. Voilà en résumé la genèse de Oh ! My Gode. Les 9 artistes internationales réunies ici s’expriment sous différentes formes : la peinture, la sculpture, le toyz, la photo, les dolls et la customisation. Le jouet pour adulte ne vous avait jamais semblé si déboussolant, étrange ou amusant. La vente aux enchères qui suivra l’inauguration de l’exposition se fera au profit du Sidaction. Une sexposition solidaire, à découvrir dès le 1er décembre.

Artistes de l’exposition :
Stoul, Miette, Mllz Fannib, Isabelle Lameloise, Peggy V, Axelle Russo, Eliz, Eva D et Edgar

Oh ! My Gode, du 1er au 7 décembre 2010 à la Galerie Celal, 45 rue Saint Honoré, à Paris. Entrée libre tous les jours de 11h à 19h.

Commentaires (2)

  • Stéphane

    A une époque, on cachait des images grivoises dans le pommeau d’une canne, ou à l’intérieur d’une montre à gousset, je pense aussi aux petits verres à liqueur dans les restos asiatiques qui laisse apparaître des images polissonnes. C’est une bonne idée de s’amuser artistiquement autour de l’objet sexuel.

  • jJKppFhYCcnUZ

    Je serai lost in translation Etre de9sabuse9 ne veut pas dire eatre libre ni sans souci. Je me deandme de quoi je me pre9occupe : de moi-meame ou de toute la socie9te9. L’angoisse est le0, nous hante sans treave et cherche l’occasion de nous e9craser. On n’attend plus de nos concitoyens : comme tu le dis, meame si je traduis les textes de Stiegler et les leur distribue, ils ne liront pas. Et je me persuade que toi, tu ne tentes non plus d’eatre entendu meame si tu ne cesses de nous crier dans ce blog. C’est l’histoire de Sisphe qui se re9pe8te ici. Personne n’est libre. Les autres ne se libe8rent pas de la spirale infernale, nous ne nous de9barrassons pas du douleur d’eatre conscient.